« Dangote révise ses contrats chinois ». C’est par ce titre que l’hebdomadaire panafricain « Jeune Afrique » confirme l’information que nous donnions la semaine dernière relativement à la révision des contrats chinois du groupe nigérian en Afrique. Par des contrats qui la liaient au Groupe nigérian Dangote, la société chinoise Sinoma devait construire 12 cimenteries dans six pays africains dont une au Sénégal et qui devaient coûter la bagatelle de 3,3 milliards de dollars, comme cela avait été annoncé initialement.
Le groupe nigérian a désormais revu ses ambitions africaines à la baisse et décide d’en construire, au lieu de 12 cimenteries dans six pays africains, 3 et au Nigérian seulement et pour 690 millions de dollars (environ 276 milliards de FCfa). Le secteur du ciment au Sénégal semblait beaucoup intéresser le groupe nigérian qui avait manifesté, déjà en 2007, son intention de s’y implanter. Mais comme nous l’écrivions dans une de nos éditions de la semaine dernière, dans l’état actuel des choses, le marché sénégalais est tel que l’implantation d’une troisième cimenterie ne se justifie pas.
Ce sont plus ou moins les mêmes raisons qui sont invoquées par les responsables du groupe nigérian dont un porte parole du groupe nigérian interrogé par notre confrère et qui fait état du ralentissement prévisionnel du secteur de la construction en Afrique, ainsi que de l’allègement par le Nigéria des droits de douane sur les matériaux.
La grande ambition du groupe était de produire plus de ciment en Afrique que le français Lafarge, rappelle notre confrère. Cette ambition demeure, en somme, c’est juste l’échéance qui serait repoussée, si l’on en croît le porte-parole interrogé par notre confrère.
Dangote Cement, plus grand fabricant de ciment du Nigeria, souhaitait augmenter sa capacité de production à 26 millions de tonnes d’ici 2010 et à 50 millions de tonnes d’ici 2012 dans l’ensemble de ses filiales en Afrique. La compagnie avait, pour cela, signé un contrat avec la société chinoise Sinoma Engineering International afin de réaliser cet objectif. Un accord de 1,85 milliards de dollars avec Sinoma avait été signé pour la construction de trois nouvelles usines de ciment, une au Sénégal et deux nouvelles chaînes de production à Obajana Cement Plant au Nigeria.
C’est ce contrat qui vient ainsi d’être renégocié.
Le groupe nigérian a désormais revu ses ambitions africaines à la baisse et décide d’en construire, au lieu de 12 cimenteries dans six pays africains, 3 et au Nigérian seulement et pour 690 millions de dollars (environ 276 milliards de FCfa). Le secteur du ciment au Sénégal semblait beaucoup intéresser le groupe nigérian qui avait manifesté, déjà en 2007, son intention de s’y implanter. Mais comme nous l’écrivions dans une de nos éditions de la semaine dernière, dans l’état actuel des choses, le marché sénégalais est tel que l’implantation d’une troisième cimenterie ne se justifie pas.
Ce sont plus ou moins les mêmes raisons qui sont invoquées par les responsables du groupe nigérian dont un porte parole du groupe nigérian interrogé par notre confrère et qui fait état du ralentissement prévisionnel du secteur de la construction en Afrique, ainsi que de l’allègement par le Nigéria des droits de douane sur les matériaux.
La grande ambition du groupe était de produire plus de ciment en Afrique que le français Lafarge, rappelle notre confrère. Cette ambition demeure, en somme, c’est juste l’échéance qui serait repoussée, si l’on en croît le porte-parole interrogé par notre confrère.
Dangote Cement, plus grand fabricant de ciment du Nigeria, souhaitait augmenter sa capacité de production à 26 millions de tonnes d’ici 2010 et à 50 millions de tonnes d’ici 2012 dans l’ensemble de ses filiales en Afrique. La compagnie avait, pour cela, signé un contrat avec la société chinoise Sinoma Engineering International afin de réaliser cet objectif. Un accord de 1,85 milliards de dollars avec Sinoma avait été signé pour la construction de trois nouvelles usines de ciment, une au Sénégal et deux nouvelles chaînes de production à Obajana Cement Plant au Nigeria.
C’est ce contrat qui vient ainsi d’être renégocié.
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