Ousmane Sonko a d’abord rappelé les valeurs fondamentales qui guident le Pastef : le consensus et la concertation. Selon lui, le parti met un point d’honneur à offrir une place importante à ses militants, mais il a exhorté ces derniers à la prudence, face aux « pièges » tendus dans l’espace public.
Les règles entourant les nominations
Ousmane Sonko a expliqué que certaines nominations sont encadrées par des règles strictes, indépendantes de la volonté directe du Président de la République. Ces choix, a-t-il précisé, sont souvent faits à partir de propositions venant de milieux socio-professionnels spécifiques, conformément aux procédures établies. Concernant le cas d’Aoua Bocar Ly Tall, le chef de l’État avait consulté Ousmane Sonko pour avis. Ce dernier a confirmé avoir donné son approbation, tout en assumant une part de responsabilité dans cette nomination, au même titre que le Président.
Appel à la sérénité et au sens des responsabilités
Le leader de Pastef a également critiqué ceux qui profitent de cette situation, pour « raconter des inepties ». Il a qualifié d’illogique, l’idée que le Président nommerait volontairement des personnes qui l’auraient critiqué dans le passé. Pour illustrer son propos, il a évoqué le cas de Bassirou Diomaye Faye, qui, selon lui, a été en prison pour avoir défendu les idéaux de Pastef.
Il a également invité les militants à revoir leur approche, dans la contestation des décisions du pouvoir, soulignant qu’un État ne peut fonctionner sur la base de revendications excessives ou de menaces. « Tout le monde ne peut pas avoir un poste », a-t-il affirmé, en appelant à un engagement désintéressé pour le projet du parti.
L’avenir du Pastef
Pour Ousmane Sonko, l’heure est désormais à la stabilisation du pouvoir, plutôt qu’à sa conquête. Reconnaissant que le système politique reste inchangé, il a évoqué le travail acharné qui attend son équipe pour redynamiser l’État. Il a également annoncé le lancement prochain de diverses activités, notamment les travaux de construction du siège du Pastef.
Enfin, Ousmane Sonko a salué les efforts du ministre Alioune Sall, qu’il a présenté comme un artisan clé du succès du Pastef en France, tout en dénonçant les amalgames et les malentendus qui entachent parfois l’action de son parti.
Exhortation à la confiance
« Parfois, Pastef est le problème de Pastef », a déclaré Ousmane Sonko, appelant ses militants à continuer de faire confiance au président de la République et à son gouvernement. Il a conclu en exhortant les membres du parti à permettre au Chef de l’État et à son équipe, de travailler dans l’intérêt des 18 millions de Sénégalais.
Les règles entourant les nominations
Ousmane Sonko a expliqué que certaines nominations sont encadrées par des règles strictes, indépendantes de la volonté directe du Président de la République. Ces choix, a-t-il précisé, sont souvent faits à partir de propositions venant de milieux socio-professionnels spécifiques, conformément aux procédures établies. Concernant le cas d’Aoua Bocar Ly Tall, le chef de l’État avait consulté Ousmane Sonko pour avis. Ce dernier a confirmé avoir donné son approbation, tout en assumant une part de responsabilité dans cette nomination, au même titre que le Président.
Appel à la sérénité et au sens des responsabilités
Le leader de Pastef a également critiqué ceux qui profitent de cette situation, pour « raconter des inepties ». Il a qualifié d’illogique, l’idée que le Président nommerait volontairement des personnes qui l’auraient critiqué dans le passé. Pour illustrer son propos, il a évoqué le cas de Bassirou Diomaye Faye, qui, selon lui, a été en prison pour avoir défendu les idéaux de Pastef.
Il a également invité les militants à revoir leur approche, dans la contestation des décisions du pouvoir, soulignant qu’un État ne peut fonctionner sur la base de revendications excessives ou de menaces. « Tout le monde ne peut pas avoir un poste », a-t-il affirmé, en appelant à un engagement désintéressé pour le projet du parti.
L’avenir du Pastef
Pour Ousmane Sonko, l’heure est désormais à la stabilisation du pouvoir, plutôt qu’à sa conquête. Reconnaissant que le système politique reste inchangé, il a évoqué le travail acharné qui attend son équipe pour redynamiser l’État. Il a également annoncé le lancement prochain de diverses activités, notamment les travaux de construction du siège du Pastef.
Enfin, Ousmane Sonko a salué les efforts du ministre Alioune Sall, qu’il a présenté comme un artisan clé du succès du Pastef en France, tout en dénonçant les amalgames et les malentendus qui entachent parfois l’action de son parti.
Exhortation à la confiance
« Parfois, Pastef est le problème de Pastef », a déclaré Ousmane Sonko, appelant ses militants à continuer de faire confiance au président de la République et à son gouvernement. Il a conclu en exhortant les membres du parti à permettre au Chef de l’État et à son équipe, de travailler dans l’intérêt des 18 millions de Sénégalais.