
D'après lui, cité par La Tribune, « Handicap International » a remplit un certain nombre de tâches sur la dépollution de la Casamance et cela s’est fait avec expertise et professionnalisme. Malgré ce travail remarquable, l’Etat n’a pas manqué de désister à la mission de cette organisation non gouvernementale (Ong) pour se ranger du coté de Mechem, une société privée sud-africaine. Jean Marie François Biagui n’a pas hésité à pointer du doigt le gouvernement par rapport à ce manque de confiance vis-à-vis de cette organisation. Il affirme en outre que cette décision de l’Etat est frustrante car « Handicap International » était à la hauteur de cette mission. Aussi, s'interroge-t-il sur le levier qu’il faudrait mettre en évidence pour régler les litiges entre les deux parties, si chacune d'entre elles était consciente de la nécessité de dépolluer la Casamance.