L’opposition leur reproche des manquements graves et répétés à leur droit républicain. Ainsi, Moustapha Niasse, Tanor Dieng, Macky Sall, entre autres, invitent les élus locaux ainsi que tous les citoyens attachés aux valeurs de la république à faire front face « à la stratégie grave et périlleuse d’agressions contre la démocratie et la volonté populaire».
Seydou Sy Sall de la Ligue démocratique a expliqué, dans les colonnes de L'Obs, que le redécoupage requiert un certain nombre de préalables. «Il faut faire une étude de terrain pour savoir si la collectivité locale a les moyens de dégager des ressources lui permettant de fonctionner», relève-t-il avant d’indiquer que ce travail n’a pas été fait.
Selon le Jallarbiste, le redécoupage de 2011, deux ans seulement après les élections locales, est une véritable régression démocratique par rapport à celui de 1996 qui donnait aux élus locaux un pouvoir direct de contrôle de la légalité.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
Seydou Sy Sall de la Ligue démocratique a expliqué, dans les colonnes de L'Obs, que le redécoupage requiert un certain nombre de préalables. «Il faut faire une étude de terrain pour savoir si la collectivité locale a les moyens de dégager des ressources lui permettant de fonctionner», relève-t-il avant d’indiquer que ce travail n’a pas été fait.
Selon le Jallarbiste, le redécoupage de 2011, deux ans seulement après les élections locales, est une véritable régression démocratique par rapport à celui de 1996 qui donnait aux élus locaux un pouvoir direct de contrôle de la légalité.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com