Le pastoralisme en Afrique a été passé en revue par d'éminents experts et acteurs du secteur pour aboutir à des conclusions permettant de relancer ce sous-,secteur de l'élevage. La rencontre de quatre jours a été un cadre d'échanges autour de la problématique pastorale qui peine à voir le bout du tunnel, ce, malgré tous les plaidoyers portés à travers le continent africain et le monde entier.
Pourtant, comme l'ont constaté les participants dont le directeur de l'ISRA, M. Alioune Fall, le pastoralisme est en mesure de remettre nos économies sur les rails de l'émergence. Les travaux ont porté sur des sujets cruciaux du pastoralisme comme les dynamiques actuelles et futures de l'élevage pastoral et agropastoral, dans un contexte de changements globaux, les chaines de valeurs marchandes et informelles de l'élevage pastoral et agropastoral, l'intégration du pastoralisme dans l'action publique en Afrique. Les participants ont convenu que si les rencontres organisées jusque là sur la question pastorale n'ont pas porté leurs fruits, cela est dû au manque de suivi des mesures prises.
Dés lors, l'une des recommandations phares consiste à faire en sorte que les recommandations tirées de cette réunion soient traduites en actes. Autres préoccupations, la gestion de l'espace pastoral, afin de faire cette activité, "un axe de développement de l'élevage". Car souligne le directeur de l'ISRA, la plupart des gens se limitent au coté intensif de l'élevage, qui se résume à la production de lait et de la viande.
De manière plus concise, le directeur de l'ISRA estime que les atouts qu'offre le pastoralisme n'ont pas été explorés pour lui permettre de jouer son véritable rôle dans les économies africaines. Ainsi, il ressort des conclusions que les pays concernés par la question, doivent négocier pour l'instauration de ce code en vue de "réglementer le secteur".
Les panélistes ont aussi exprimé leur souhait de vider les problèmes fonciers qui s'amplifient d'année en année dans les régions africaines. Pour y parvenir, ils estiment que les difficultés persistent dans l'occupation des terres, c'est parce que la question foncière, qui est transversale, doit impliquer toutes les parties prenantes. Ce que les décideurs ne font pas. Sur ce point, il a été retenu que pour régler cette question foncière "il faut une cogestion qui implique les collectivités locales et les agropasteurs au début et à la fin du processus de prise de décision sur le foncier".
Le Témoin
Pourtant, comme l'ont constaté les participants dont le directeur de l'ISRA, M. Alioune Fall, le pastoralisme est en mesure de remettre nos économies sur les rails de l'émergence. Les travaux ont porté sur des sujets cruciaux du pastoralisme comme les dynamiques actuelles et futures de l'élevage pastoral et agropastoral, dans un contexte de changements globaux, les chaines de valeurs marchandes et informelles de l'élevage pastoral et agropastoral, l'intégration du pastoralisme dans l'action publique en Afrique. Les participants ont convenu que si les rencontres organisées jusque là sur la question pastorale n'ont pas porté leurs fruits, cela est dû au manque de suivi des mesures prises.
Dés lors, l'une des recommandations phares consiste à faire en sorte que les recommandations tirées de cette réunion soient traduites en actes. Autres préoccupations, la gestion de l'espace pastoral, afin de faire cette activité, "un axe de développement de l'élevage". Car souligne le directeur de l'ISRA, la plupart des gens se limitent au coté intensif de l'élevage, qui se résume à la production de lait et de la viande.
De manière plus concise, le directeur de l'ISRA estime que les atouts qu'offre le pastoralisme n'ont pas été explorés pour lui permettre de jouer son véritable rôle dans les économies africaines. Ainsi, il ressort des conclusions que les pays concernés par la question, doivent négocier pour l'instauration de ce code en vue de "réglementer le secteur".
Les panélistes ont aussi exprimé leur souhait de vider les problèmes fonciers qui s'amplifient d'année en année dans les régions africaines. Pour y parvenir, ils estiment que les difficultés persistent dans l'occupation des terres, c'est parce que la question foncière, qui est transversale, doit impliquer toutes les parties prenantes. Ce que les décideurs ne font pas. Sur ce point, il a été retenu que pour régler cette question foncière "il faut une cogestion qui implique les collectivités locales et les agropasteurs au début et à la fin du processus de prise de décision sur le foncier".
Le Témoin