Un projet de loi sur le code du sport, qui devrait lui permettre de s’autofinancer : c’est en tout cas, la proposition de la tête de la liste Pôle alternatif 3e voie Kiraay ak Natangue, dirigée par Birima Mangara, lors de sa caravane dans les rues de Diourbel. Selon lui, le sport ne doit plus attendre l’Etat pour se développer. « Les règlements que sont les décrets et les arrêtés seront fondus pour les faire évoluer, afin que le sport puisse faire vivre ses pratiquants. Cela constituera l’une des premières propositions de lois à l’Assemblée nationale », a-t-il fait savoir.
Pour Mélissa Gningue, la tête de liste départementale, le Pôle alternatif 3e voie Kiraay ak Natangue est passé de 435 voix à 4 000 voix entre les élections locales et présidentielles et l’objectif est d’atteindre 40 000 voix aux élections législatives, pour leur permettre de gagner le département. « Les infrastructures qui existent à Diourbel, remontent en 1977, avec la fête de l’Indépendance décentralisée, avec la construction du stade Elimanel Fall et les locaux de la gouvernance. Les inondations mais aussi l’emploi des jeunes constituent des difficultés pour Diourbel. Je n’ai jamais vu le slogan en wolof Dogue Mouy Dokhe. Ce dont nous avons besoin, est une consolidation de la formation professionnelle. Les pays les plus développés comme le Canada et la Suisse, ont plus réussi dans la formation professionnelle », a dit la tête de liste départementale. Et de conclure : « Le professeur des universités de ces pays n’est pas plus rémunéré que le carreleur. Il faut valoriser le travail. Le pôle alternatif veut le développement des terroirs, pour développer le Sénégal dans une dynamique d’ensemble ».
Sud Quotidien
Pour Mélissa Gningue, la tête de liste départementale, le Pôle alternatif 3e voie Kiraay ak Natangue est passé de 435 voix à 4 000 voix entre les élections locales et présidentielles et l’objectif est d’atteindre 40 000 voix aux élections législatives, pour leur permettre de gagner le département. « Les infrastructures qui existent à Diourbel, remontent en 1977, avec la fête de l’Indépendance décentralisée, avec la construction du stade Elimanel Fall et les locaux de la gouvernance. Les inondations mais aussi l’emploi des jeunes constituent des difficultés pour Diourbel. Je n’ai jamais vu le slogan en wolof Dogue Mouy Dokhe. Ce dont nous avons besoin, est une consolidation de la formation professionnelle. Les pays les plus développés comme le Canada et la Suisse, ont plus réussi dans la formation professionnelle », a dit la tête de liste départementale. Et de conclure : « Le professeur des universités de ces pays n’est pas plus rémunéré que le carreleur. Il faut valoriser le travail. Le pôle alternatif veut le développement des terroirs, pour développer le Sénégal dans une dynamique d’ensemble ».
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