Les faits, rapporte Ibrahima Sané à Leral, portent sur un prêt de 10 000 000 de francs Cfa que lui a octroyé le Crédit mutuel du Sénégal. Dans le contrat, ils se sont convenu en échéancier de remboursement de 916 800 Francs Cfa pour un montant annuel et global de 11 001600 Francs Cfa représentant le Capital et les intérêts de droit.
Mais curieusement, se désole-t-il "quelques semaines après le Cms lui aurait fait légaliser un montant de nantissement (garantissant le prêt) pour un montant annuel et global de 12 647 153 Francs Cfa".
C’est donc, le début de ses déboires, puisque l’institution financière pour une dette "imaginaire et fondamentalement frauduleuse de 2 600 000 francs Cfa a eu le pouvoir de légaliser une forfaiture" ayant abouti à la vente aux criés de son immeuble, sans titre d’exécution. Ce, en complicité avec l’huissier de justice Me Diouf Sarr. Ce dernier, accuse Ibrahima Sané, qui a servi tous les actes précédant la vente l’a volontairement caché ladite vente pour s’adjuger mon immeuble d’une valeur exportable de 28 000 000 Francs Cfa pour une modique sommes de 3 000 000 Francs Cfa.
Pour ainsi rentrer dans ses droits, il déclare alors avoir saisi le 28 novembre 2012 Alioune Diop, Procureur de la République près le tribunal régional de Kolda. Une plainte contre Mamadou Touré et Me Diouf Sarr pour les délits d’escroquerie à jugement, faux en écritures publiques authentiques, faux et usage de faux et prise illégale d’intérêt dans l’adjudication.
Mais coup de théâtre, alors qu’il espérait obtenir gain de cause, le représentant de la société lui aurait tout bonnement signifié que " le Dg du Cms Mamadou Touré est un homme du sérail et par conséquent il se devait d'obtenir l’aval de ses chefs hiérarchiques" pour le poursuivre.
Pourtant, par correspondance N° 01107 du 2 mars 2012-MJ/CAB/DC et N°000098 (Parquet général), Cheikh Tidiane Sy à l’époque ministre garde des Sceaux et le Procureur général près la Cour d’appel Youssoupha Mbodj avaient été saisis respectivement de l’affaire. "Ils avaient ordonné de diligenter la plainte. En vain. Puisque, le dernier nommé a usé la croix et la bannière pour que le procureur acceptât d’ouvrir un simulacre d’enquête dans laquelle Mamadou Touré a refusé de déférer à la convocation du Commissaire de police de Kolda. Et ceci sans autre forme de procès" se désole-t-il.
Macky Sall et Aminata Touré saisis
Ibrahima Sané qui n'est pas prêt à lâcher du lest, s’est en fin tourné vers le président de la République Macky Sall et la ministre de la Justice Aminata Touré. Ces derniers espoirs mais qui tardent à réagir. "J’ai toujours pas reçu de réponses et pourtant je leur ai saisi deux fois. Le Président Macky Sall a été saisi par courriers du 26 juin 2012 et le 19 novembre de la même année tout comme le ministère de la Justice, Aminata Touré par courriers le 16 novembre et le 10 Août et corresp N° 6911 du 19 novembre 2012", confie-t-il hier au bout du fil.
Mais curieusement, se désole-t-il "quelques semaines après le Cms lui aurait fait légaliser un montant de nantissement (garantissant le prêt) pour un montant annuel et global de 12 647 153 Francs Cfa".
C’est donc, le début de ses déboires, puisque l’institution financière pour une dette "imaginaire et fondamentalement frauduleuse de 2 600 000 francs Cfa a eu le pouvoir de légaliser une forfaiture" ayant abouti à la vente aux criés de son immeuble, sans titre d’exécution. Ce, en complicité avec l’huissier de justice Me Diouf Sarr. Ce dernier, accuse Ibrahima Sané, qui a servi tous les actes précédant la vente l’a volontairement caché ladite vente pour s’adjuger mon immeuble d’une valeur exportable de 28 000 000 Francs Cfa pour une modique sommes de 3 000 000 Francs Cfa.
Pour ainsi rentrer dans ses droits, il déclare alors avoir saisi le 28 novembre 2012 Alioune Diop, Procureur de la République près le tribunal régional de Kolda. Une plainte contre Mamadou Touré et Me Diouf Sarr pour les délits d’escroquerie à jugement, faux en écritures publiques authentiques, faux et usage de faux et prise illégale d’intérêt dans l’adjudication.
Mais coup de théâtre, alors qu’il espérait obtenir gain de cause, le représentant de la société lui aurait tout bonnement signifié que " le Dg du Cms Mamadou Touré est un homme du sérail et par conséquent il se devait d'obtenir l’aval de ses chefs hiérarchiques" pour le poursuivre.
Pourtant, par correspondance N° 01107 du 2 mars 2012-MJ/CAB/DC et N°000098 (Parquet général), Cheikh Tidiane Sy à l’époque ministre garde des Sceaux et le Procureur général près la Cour d’appel Youssoupha Mbodj avaient été saisis respectivement de l’affaire. "Ils avaient ordonné de diligenter la plainte. En vain. Puisque, le dernier nommé a usé la croix et la bannière pour que le procureur acceptât d’ouvrir un simulacre d’enquête dans laquelle Mamadou Touré a refusé de déférer à la convocation du Commissaire de police de Kolda. Et ceci sans autre forme de procès" se désole-t-il.
Macky Sall et Aminata Touré saisis
Ibrahima Sané qui n'est pas prêt à lâcher du lest, s’est en fin tourné vers le président de la République Macky Sall et la ministre de la Justice Aminata Touré. Ces derniers espoirs mais qui tardent à réagir. "J’ai toujours pas reçu de réponses et pourtant je leur ai saisi deux fois. Le Président Macky Sall a été saisi par courriers du 26 juin 2012 et le 19 novembre de la même année tout comme le ministère de la Justice, Aminata Touré par courriers le 16 novembre et le 10 Août et corresp N° 6911 du 19 novembre 2012", confie-t-il hier au bout du fil.