Sept personnes ont été arrêtées par la Garde civile espagnole. Les mis en cause, rapporte "Wal Fadjri", citant des médias espagnols, sont considérés comme étant les capitaines d'une pirogue, qui avait à son bord plus de 200 migrants. L'enquête a révélé que l'embarcation a quitté la Gambie, avant de faire cap sur l'île de Bassoul, au Sénégal, où la majorité des passagers, au nombre de 207, ont embarqué, lit-on dans "Seneweb".
Horreur en mer
Interrogés, les occupants de la pirogue accusent gravement les convoyeurs. «i[Après trois jours de navigation, trois des capitaines, chargés de [faire régner] l'ordre à l'intérieur du bateau, ont décidé de riposter contre plusieurs migrants. La raison en était que l'un des occupants, peut être affecté par la dureté du voyage, a subi un épisode de désorientation, ce qui a amené les trois patrons à lui imputer le malheur du voyage, en lui infligeant de sévères coups, ainsi qu'à ceux qui l'ont défendu]i», soulignent des témoins, repris par le journal.
Pis, «les responsables de la pirogue auraient décidé d'assassiner quatre d'entre eux pour effrayer le reste des migrants», pointe la reconstitution des faits.
«Un des migrants débarqués à La Restinga, a dû être transféré à l'hôpital où il a été opéré après une blessure profonde au thorax, qui pourrait être compatible avec un coup de couteau», souligne le communiqué de la Garde civile espagnole parcouru par "Wal Fadjri". Qui souligne que la gendarmerie sénégalaise a été saisie par les enquêteurs espagnols, pour l'identification de l'une des quatre victimes, dont trois ont été identifiées et leur famille respective informée.
Horreur en mer
Interrogés, les occupants de la pirogue accusent gravement les convoyeurs. «i[Après trois jours de navigation, trois des capitaines, chargés de [faire régner] l'ordre à l'intérieur du bateau, ont décidé de riposter contre plusieurs migrants. La raison en était que l'un des occupants, peut être affecté par la dureté du voyage, a subi un épisode de désorientation, ce qui a amené les trois patrons à lui imputer le malheur du voyage, en lui infligeant de sévères coups, ainsi qu'à ceux qui l'ont défendu]i», soulignent des témoins, repris par le journal.
Pis, «les responsables de la pirogue auraient décidé d'assassiner quatre d'entre eux pour effrayer le reste des migrants», pointe la reconstitution des faits.
«Un des migrants débarqués à La Restinga, a dû être transféré à l'hôpital où il a été opéré après une blessure profonde au thorax, qui pourrait être compatible avec un coup de couteau», souligne le communiqué de la Garde civile espagnole parcouru par "Wal Fadjri". Qui souligne que la gendarmerie sénégalaise a été saisie par les enquêteurs espagnols, pour l'identification de l'une des quatre victimes, dont trois ont été identifiées et leur famille respective informée.