La Langue de Barbarie doit supporter une nouvelle épreuve. Avec la mort de 7 pêcheurs d’une même famille et habitant le quartier Goxu Mbacc, la communauté des «moles» est dans le désarroi. Ils étaient partis en mer le 4 février dernier, pour une partie de pêche communément appelée dans le jargon des gens de la mer, «marée». Elle devait en principe durer au maximum 4 jours seulement.
Malheureusement, ils ne reviendront jamais malgré les recherches engagées par leurs familles, aidées en cela par les autres pêcheurs de la Langue de Barbarie. Au total, six pirogues avaient été envoyées à leur recherche, mais en vain. Finalement, leurs parents se sont résolus à faire le deuil, après avoir retrouvé la pirogue avec à bord une seule personne sans vie, identifiée comme étant un membre de l’équipage.
Avant que cette affaire ne finisse de faire du bruit dans la vieille ville, une autre est survenue, toujours dans cette partie de la ville qui polarise toutes les activités de pêche, mais cette fois-ci dans l’embouchure du fleuve Sénégal, avec le chavirement samedi matin d’une pirogue qui avait à son bord 5 membres d’équipage appartenant à une même famille.
Un seul rescapé, nommé Pape Cheikh Guèye, a été identifié et les 4 autres portés disparus. Ces cinq pêcheurs appartiennent également à une même famille et sont certainement décédés, selon le témoignage de certains pêcheurs chevronnés, qui nous ont fait savoir qu’avec la température qu’il fait sur cette partie de la mer et la profondeur de l’eau, aucune personne ne peut y survivre pendant plusieurs heures.
Lequotidien.sn
Malheureusement, ils ne reviendront jamais malgré les recherches engagées par leurs familles, aidées en cela par les autres pêcheurs de la Langue de Barbarie. Au total, six pirogues avaient été envoyées à leur recherche, mais en vain. Finalement, leurs parents se sont résolus à faire le deuil, après avoir retrouvé la pirogue avec à bord une seule personne sans vie, identifiée comme étant un membre de l’équipage.
Avant que cette affaire ne finisse de faire du bruit dans la vieille ville, une autre est survenue, toujours dans cette partie de la ville qui polarise toutes les activités de pêche, mais cette fois-ci dans l’embouchure du fleuve Sénégal, avec le chavirement samedi matin d’une pirogue qui avait à son bord 5 membres d’équipage appartenant à une même famille.
Un seul rescapé, nommé Pape Cheikh Guèye, a été identifié et les 4 autres portés disparus. Ces cinq pêcheurs appartiennent également à une même famille et sont certainement décédés, selon le témoignage de certains pêcheurs chevronnés, qui nous ont fait savoir qu’avec la température qu’il fait sur cette partie de la mer et la profondeur de l’eau, aucune personne ne peut y survivre pendant plusieurs heures.
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