"De la tolérance pour les homosexuels face à l’avenir de notre Nation (les étudiants) au temple du savoir (UCAD), en présence de Mélenchon (celui-là même qui a fait voter la loi autorisant le mariage homosexuel en France), à la TOLÉRANCE ZÉRO face à la liberté d’expression et de circulation…
Nous rappelons qu’entre 2021 et 2024, les insultes, invectives, diffamations ont valsé librement, touchant aussi bien le citoyen lambda que les plus hautes institutions : juges, forces de défense et de sécurité, préfets, guides religieux et coutumiers, entre autres…
Le Sénégal est au-dessus de nous. L’humilité et la prise de conscience de la mission d’un État, doivent prévaloir sur les menaces. Ce qui doit primer, c’est le travail, encore le travail, toujours le travail — pour alléger les souffrances des Sénégalais, répondre aux besoins spécifiques des femmes et prendre soin de l’avenir de notre nation : les enfants.
Quelle politique est proposée pour les personnes handicapées ?
Et pour les forces de défense et de sécurité qui veillent sur nous ?
Comment redorer l’image de notre pays à travers une diplomatie forte et digne ?
Où en sommes-nous avec la culture ?
Et le sport, après nos cinq coupes et les stades construits ou rénovés : qu’est-ce qui est proposé au-delà de l’infrastructure ?
Dans tous les domaines, après un budget voté, une DPG prononcée, qu’est-ce que ce gouvernement propose ?
Dans un État de droit, qui a vu passer des hommes épris de justice et de démocratie — certains y ont laissé leur vie — que propose-t-on aujourd’hui à part :
Des menaces, de la prison, des gardes-à-vue, encore des menaces, des annonces spectaculaires (voleurs de 1000 milliards), des menaces, des baptêmes, des mariages et remariages… et toujours des menaces ?
Quand est-ce que le citoyen sera réellement au cœur des discussions ?
Quand travaillera-t-on à soulager le quotidien du Sénégalais, alors que le budget est en train d’être consommé ?
Quand débattrons-nous de l’essentiel dans notre hémicycle, sans se balancer sur un fauteuil avec arrogance et mépris devant les élus du peuple, au lieu de s’attarder sur le travail d’un autre pouvoir (le pouvoir judiciaire) ?
C’est triste pour mon jeune pays démocratique, en voie d’émergence.
Hommes et femmes élus, nommés, ressaisissez-vous. Prenez conscience que le résultat prime sur tout.
Les Sénégalais vous ont tout donné. Il est l’heure. Il est l’heure de travailler et de dépasser les égos.
Non, vous ne rêvez pas.
Oui, vous êtes réellement à la tête du Sénégal !!! »
Diéguy Diop Fall,
Responsable Apr
Nous rappelons qu’entre 2021 et 2024, les insultes, invectives, diffamations ont valsé librement, touchant aussi bien le citoyen lambda que les plus hautes institutions : juges, forces de défense et de sécurité, préfets, guides religieux et coutumiers, entre autres…
Le Sénégal est au-dessus de nous. L’humilité et la prise de conscience de la mission d’un État, doivent prévaloir sur les menaces. Ce qui doit primer, c’est le travail, encore le travail, toujours le travail — pour alléger les souffrances des Sénégalais, répondre aux besoins spécifiques des femmes et prendre soin de l’avenir de notre nation : les enfants.
Quelle politique est proposée pour les personnes handicapées ?
Et pour les forces de défense et de sécurité qui veillent sur nous ?
Comment redorer l’image de notre pays à travers une diplomatie forte et digne ?
Où en sommes-nous avec la culture ?
Et le sport, après nos cinq coupes et les stades construits ou rénovés : qu’est-ce qui est proposé au-delà de l’infrastructure ?
Dans tous les domaines, après un budget voté, une DPG prononcée, qu’est-ce que ce gouvernement propose ?
Dans un État de droit, qui a vu passer des hommes épris de justice et de démocratie — certains y ont laissé leur vie — que propose-t-on aujourd’hui à part :
Des menaces, de la prison, des gardes-à-vue, encore des menaces, des annonces spectaculaires (voleurs de 1000 milliards), des menaces, des baptêmes, des mariages et remariages… et toujours des menaces ?
Quand est-ce que le citoyen sera réellement au cœur des discussions ?
Quand travaillera-t-on à soulager le quotidien du Sénégalais, alors que le budget est en train d’être consommé ?
Quand débattrons-nous de l’essentiel dans notre hémicycle, sans se balancer sur un fauteuil avec arrogance et mépris devant les élus du peuple, au lieu de s’attarder sur le travail d’un autre pouvoir (le pouvoir judiciaire) ?
C’est triste pour mon jeune pays démocratique, en voie d’émergence.
Hommes et femmes élus, nommés, ressaisissez-vous. Prenez conscience que le résultat prime sur tout.
Les Sénégalais vous ont tout donné. Il est l’heure. Il est l’heure de travailler et de dépasser les égos.
Non, vous ne rêvez pas.
Oui, vous êtes réellement à la tête du Sénégal !!! »
Diéguy Diop Fall,
Responsable Apr