Omar Daff, défenseur à l’aise aussi bien sur le flanc droit que du côté gauche a été rappelé par le nouvel entraîneur de l’équipe de football, Amara Traoré, avec lequel il fut sélectionné lors de la coupe du monde de 2002. Il est revenu, parce que jugé par tous comme étant le « sage de la tanière ». Il a 33 ans. On a toujours besoin d’un vieux dans un village, enseigne l’adage. En le rappelant dans le cercle des « lions » du football, le nouveau coach indique qu’il a choisi de travailleur avec les joueurs disciplinés et déterminés. Un choix qui vrai semblablement écarte le retour du phénoménal attaquant sénégalais, qui arborait le n° 11, Elhadj Ouseynou Diouf. Talentueux, ses frasques l’ont perdu. Il avait, après la débâcle des Lions à Tamale, envoyé sa démission de l’équipe nationale de football aux autorités compétentes. Venu passer les vacances au Sénégal, il a muliplié les opérations de charme, pour revenir. Il a même amené le célèbre chanteur Youssou Ndour à plaider publiquement sa cause. Mais pour le match contre le Cap Vert du 11 Aout, Amara Traoré ne veut pas de lui, qui estime être le seul capable de tirer l’équipe nationale de football dans le trou, où il s’enfonce de plus en plus.
Amara lui a posé des conditions qui sont en fait un refus poli : faire, d’abord, ses preuves dans l’équipe de Blackburn, où il évolue. Ce qui ne peut être évalué que dans le temps. Une demande presqu’impossible, parce que Dioufy, comme on le surnomme, n’arrive plus à briller constamment sur le terrain, mais par des scandales. Ensuite, Amara, qui a refusé la requête de Youssou Ndour a demandé à Diouf d’adresser une correspondance pour faire son mea culpa et demander sa réintégration. Ce qui est possible. Mais, même le faisant, Elhadj Diouf risque de ne plus enfiler le maillot national. Car, son retour est perçu comme un facteur de division dans l’équipe nationale. Dernièrement, lui qu’on surnomme le « bad boy » s’était attaqué aux binationaux, qui lui en veulent depuis. Elhadj Diouf est également connu pour les clans qu’il cultivait dans la « tanière ». Or, le retour de l’équipe du Sénégal au sommet passe par la discipline et la cohésion.
Auteur: xibar.net
Amara lui a posé des conditions qui sont en fait un refus poli : faire, d’abord, ses preuves dans l’équipe de Blackburn, où il évolue. Ce qui ne peut être évalué que dans le temps. Une demande presqu’impossible, parce que Dioufy, comme on le surnomme, n’arrive plus à briller constamment sur le terrain, mais par des scandales. Ensuite, Amara, qui a refusé la requête de Youssou Ndour a demandé à Diouf d’adresser une correspondance pour faire son mea culpa et demander sa réintégration. Ce qui est possible. Mais, même le faisant, Elhadj Diouf risque de ne plus enfiler le maillot national. Car, son retour est perçu comme un facteur de division dans l’équipe nationale. Dernièrement, lui qu’on surnomme le « bad boy » s’était attaqué aux binationaux, qui lui en veulent depuis. Elhadj Diouf est également connu pour les clans qu’il cultivait dans la « tanière ». Or, le retour de l’équipe du Sénégal au sommet passe par la discipline et la cohésion.
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