« L’Etat est une continuité et à ce titre, il doit préserver et consolider les emplois au lieu d’envoyer les gens au chômage. Une personne qui perd son travail, c’est toute une famille qui bascule dans la pauvreté », fait remarquer le patron d’Ecotra.
A l’en croire, un dirigeant doit avoir un bon cœur pour pouvoir préserver des emplois. « Ce qui n’est malheureusement pas le cas », se désole de constater Abdoulaye Sylla. Face à cette situation, la tête de liste de Abs invite la jeunesse de Fatick à ne rien attendre de l’Etat et à promouvoir l’auto-emploi.
« C’est ce que j’ai fait. Je n’ai pas attendu l’Etat pour avoir du travail. J’étais comme vous, mais j’ai persévéré en bon Baol-Baol, dans des conditions difficiles, pour devenir aujourd’hui milliardaire. Si j’ai pu réussir, vous aussi, vous pouvez y arriver. Il suffit d’y croire, d’être audacieux et déterminé », explique le théoricien de l’auto-emploi, décidé à accompagner ces entrepreneurs en termes de financement, notamment pour les femmes et les jeunes.
Poursuivant, il a appelé les nouvelles autorités à faire de la souveraineté alimentaire leur cheval de bataille. A l’en croire, un pays qui aspire au développement doit obligatoirement miser sur la productivité.
Les Echos
A l’en croire, un dirigeant doit avoir un bon cœur pour pouvoir préserver des emplois. « Ce qui n’est malheureusement pas le cas », se désole de constater Abdoulaye Sylla. Face à cette situation, la tête de liste de Abs invite la jeunesse de Fatick à ne rien attendre de l’Etat et à promouvoir l’auto-emploi.
« C’est ce que j’ai fait. Je n’ai pas attendu l’Etat pour avoir du travail. J’étais comme vous, mais j’ai persévéré en bon Baol-Baol, dans des conditions difficiles, pour devenir aujourd’hui milliardaire. Si j’ai pu réussir, vous aussi, vous pouvez y arriver. Il suffit d’y croire, d’être audacieux et déterminé », explique le théoricien de l’auto-emploi, décidé à accompagner ces entrepreneurs en termes de financement, notamment pour les femmes et les jeunes.
Poursuivant, il a appelé les nouvelles autorités à faire de la souveraineté alimentaire leur cheval de bataille. A l’en croire, un pays qui aspire au développement doit obligatoirement miser sur la productivité.
Les Echos