En effet, El Watan titre son édition du 19 mai 2012 par un « Christopher Ross : l'homme qui fait trembler le Maroc », Donne Ton Avis, pour sa part intitule son article par un « Sahara Occidental : Les États-Unis désavouent le Maroc », El Moudjahid en date du 19 mai 2012, baptise son article comme suit « Sahara occidental : Campagne contre l'autodétermination », quant à Liberté-Algérie , dans son édition du 20 mai 2012 on peut lire un article nommé « quoi joue le Royaume chérifien ? »
Les articles consacrés par ces quotidiens algériens, et ils ne sont pas les seuls, à la décision souveraine et légitime du Maroc de récuser Monsieur Ross en sa qualité d’Envoyer Spécial du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara constituent la preuve flagrante d’une bérézina de la diplomatie algérienne mais aussi, et surtout, de son implication directe dans ce conflit artificiel qu’elle a créé de toute pièce ainsi que de l’émoi qu’a suscité la décision marocaine au sein de l’oligarchie militaro-financière algérienne qui dirige l’Algérie depuis son indépendance en 1962.
A travers les différentes déclarations des responsables algériens et des articles diffusés par la presse algérienne, sur commandite de la DRS, unique gestionnaire de ce dossier du Sahara, il apparait nettement que le pouvoir en place à Alger est au bord de la déprime.
Cette déprime s’explique très facilement par les récentes découvertes potentielles de pétrole et de gaz sur le territoire national marocain.
Ces découvertes, si elles se confirment, mettront l’Algérie dans une position très inconfortable sur le plan régional, africain quant à sa volonté d’asseoir son hégémonie et son leadership.
De plus ces découvertes en hydrocarbures conduiraient à l’implosion du pouvoir des militaires algériens. Certains se rangeront à la solution proposée par le Maroc sur la question du Sahara, d’autres tenteront par tous les moyens de faire soulever les sahraouis pour sauvegarder leurs intérêts financiers et politiques.
C’est ce qui explique l’attitude récente du régime algérien. Il lui faut, par tous les moyens, empêcher le Maroc d’avoir accès à ses richesses potentielles en hydrocarbures par des stratégies d’ententes avec des multinationales étrangères en contrepartie de concessions.
Et c’est ici que l’on voit le rôle maléfique dévolu par la DRS à Monsieur Ross, impliqué déjà dans de nombreux contrats pétroliers en Algérie et partenaires dans de nombreuses sociétés implantés dans ce même pays. Un rôle qu’il joue à la presque perfection. Mais le Maroc a éventé sa forfaiture.
Face à ce dilemme sheaksperien, le régime militaire algérien, aujourd’hui au bord de la crise de nerf, s’efforce d’injecter des milliards de dollars pour éradiquer politiquement, voir physiquement, toute opposition.
Que les militaires et les politiques algériens se l’incrustent dans leur tête une bonne fois pour toute le Maroc n'a jamais armé des gens contre un pays ni remis en cause l'intégrité territoriale d'un autre pays. Mais, s’il le faut il saura défendre ses intérêts comme tous les autres états le font. Et le régime algérien doit comprendre que s’il y a du pétrole au Maroc, c'est toute la donne politique et économique qui changera.
L’oligarchie militaro-financière algérienne devrait savoir et comprendre que la course à l’armement ne servirait plus à l’Algérie car le Maroc en a, et en aura.
Quoi qu’il en soit, le Maroc restera engagé, avec sérieux et bonne foi, dans les initiatives et les efforts de l'ONU pour dépasser l'impasse et mettre fin à la situation actuelle sur le dossier du Sahara, sur la base de l'initiative d'autonomie et dans le respect total de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Royaume, conformément à la résolution 2044 du Conseil de sécurité.
Aussi, faudrait-il que la DRS règle ses problèmes internes, car il semblerait, selon nombre d’informations, que Bouteflika serait sur le départ. Son discours à Sétif annonçant une passation de pouvoir à une nouvelle génération ne laisse point de doute.
Mais vu le rôle prépondérant de la DRS, véritable décisionnaire du pays, ne conduira bien entendu qu’à un simple transfert du pouvoir vers d'autres hommes sans légitimité révolutionnaire, mais toujours dans le cadre du même système politique, ce faux souhait ne verra pas le jour.
Enfin, si l'Algérie, mais surtout la DRS, le veut, le dossier du Sahara marocain serait très rapidement plié. Toutes les forces vives de la Nation se sont toujours opposées avec fermeté à toute tentative de porter atteinte aux intérêts du Royaume, ainsi qu'à toute dérive ou dépassement, quel qu'en soient les auteurs. Le Sahara a été, est et restera à jamais marocain.
Par ailleurs, la Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a récemment déploré les entraves à l'intégration économique entre les pays du Maghreb, y compris la frontière fermée entre le Maroc et l'Algérie, regrettant que lesdites entraves empêchent la liberté des échanges commerciaux et se mettent au travers de toute dynamique de création d'emplois dont a tant besoin la jeunesse de la région. Mettant en exergue plusieurs difficultés liées aux accords commerciaux avec les autres pays et à l'ouverture des frontières.
Elle a également insisté sur le caractère impérieux de la fluidité des échanges commerciaux et son incidence sur la création d'emplois en faveur des jeunes.
Une allusion sans fioriture à l’Algérie qui s’obstine à garder fermer les frontières entre le Maroc et l’Algérie.
Cette déclaration du chef de la diplomatie américaine contredit de plus totalement celle présumée de l’Ambassadeur américain à Alger, Henry S. Ensher, qui n’a, d’ailleurs, jamais été confirmée par la Secrétaire d’Etat américain, Madame Hillary Clinton, selon laquelle Christopher Ross, également ex-ambassadeur américain à Alger, jouit toujours du soutien et de la confiance de l’administration américaine.
Un ex_ambassadeur et un ambassadeur en fonction américains qui soutiennent l’Algérie et le polisario sans tenir compte de leur hiérarchie et des résolutions internationales interpelle le commun des mortels sur leur réelle motivation.
Le régime algérien a tout faux et il serait inutile pour lui de s’activer à soutenir Monsieur Ross et le polisario. Les dés sont jetés et il a perdu.
A lui de trouver une sortie de crise qui lui soit honorable. Le Maroc est disposé à étudier toute proposition sérieuse dans le cadre du respect de sa souveraineté et de son intégrité territoriale. C’est l’Algérie qui s’est embourbée dans ce conflit qu’elle a créé, c’est a elle de trouver une porte de sortie et de la proposer au Maroc.
Le Maroc a fait sa proposition acceptée unanimement par la communauté internationale à l’Algérie d’y consentir. Point final.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel à cette demande serait appréciée.
Cordialement. Farid Mnebhi.
Les articles consacrés par ces quotidiens algériens, et ils ne sont pas les seuls, à la décision souveraine et légitime du Maroc de récuser Monsieur Ross en sa qualité d’Envoyer Spécial du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara constituent la preuve flagrante d’une bérézina de la diplomatie algérienne mais aussi, et surtout, de son implication directe dans ce conflit artificiel qu’elle a créé de toute pièce ainsi que de l’émoi qu’a suscité la décision marocaine au sein de l’oligarchie militaro-financière algérienne qui dirige l’Algérie depuis son indépendance en 1962.
A travers les différentes déclarations des responsables algériens et des articles diffusés par la presse algérienne, sur commandite de la DRS, unique gestionnaire de ce dossier du Sahara, il apparait nettement que le pouvoir en place à Alger est au bord de la déprime.
Cette déprime s’explique très facilement par les récentes découvertes potentielles de pétrole et de gaz sur le territoire national marocain.
Ces découvertes, si elles se confirment, mettront l’Algérie dans une position très inconfortable sur le plan régional, africain quant à sa volonté d’asseoir son hégémonie et son leadership.
De plus ces découvertes en hydrocarbures conduiraient à l’implosion du pouvoir des militaires algériens. Certains se rangeront à la solution proposée par le Maroc sur la question du Sahara, d’autres tenteront par tous les moyens de faire soulever les sahraouis pour sauvegarder leurs intérêts financiers et politiques.
C’est ce qui explique l’attitude récente du régime algérien. Il lui faut, par tous les moyens, empêcher le Maroc d’avoir accès à ses richesses potentielles en hydrocarbures par des stratégies d’ententes avec des multinationales étrangères en contrepartie de concessions.
Et c’est ici que l’on voit le rôle maléfique dévolu par la DRS à Monsieur Ross, impliqué déjà dans de nombreux contrats pétroliers en Algérie et partenaires dans de nombreuses sociétés implantés dans ce même pays. Un rôle qu’il joue à la presque perfection. Mais le Maroc a éventé sa forfaiture.
Face à ce dilemme sheaksperien, le régime militaire algérien, aujourd’hui au bord de la crise de nerf, s’efforce d’injecter des milliards de dollars pour éradiquer politiquement, voir physiquement, toute opposition.
Que les militaires et les politiques algériens se l’incrustent dans leur tête une bonne fois pour toute le Maroc n'a jamais armé des gens contre un pays ni remis en cause l'intégrité territoriale d'un autre pays. Mais, s’il le faut il saura défendre ses intérêts comme tous les autres états le font. Et le régime algérien doit comprendre que s’il y a du pétrole au Maroc, c'est toute la donne politique et économique qui changera.
L’oligarchie militaro-financière algérienne devrait savoir et comprendre que la course à l’armement ne servirait plus à l’Algérie car le Maroc en a, et en aura.
Quoi qu’il en soit, le Maroc restera engagé, avec sérieux et bonne foi, dans les initiatives et les efforts de l'ONU pour dépasser l'impasse et mettre fin à la situation actuelle sur le dossier du Sahara, sur la base de l'initiative d'autonomie et dans le respect total de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Royaume, conformément à la résolution 2044 du Conseil de sécurité.
Aussi, faudrait-il que la DRS règle ses problèmes internes, car il semblerait, selon nombre d’informations, que Bouteflika serait sur le départ. Son discours à Sétif annonçant une passation de pouvoir à une nouvelle génération ne laisse point de doute.
Mais vu le rôle prépondérant de la DRS, véritable décisionnaire du pays, ne conduira bien entendu qu’à un simple transfert du pouvoir vers d'autres hommes sans légitimité révolutionnaire, mais toujours dans le cadre du même système politique, ce faux souhait ne verra pas le jour.
Enfin, si l'Algérie, mais surtout la DRS, le veut, le dossier du Sahara marocain serait très rapidement plié. Toutes les forces vives de la Nation se sont toujours opposées avec fermeté à toute tentative de porter atteinte aux intérêts du Royaume, ainsi qu'à toute dérive ou dépassement, quel qu'en soient les auteurs. Le Sahara a été, est et restera à jamais marocain.
Par ailleurs, la Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a récemment déploré les entraves à l'intégration économique entre les pays du Maghreb, y compris la frontière fermée entre le Maroc et l'Algérie, regrettant que lesdites entraves empêchent la liberté des échanges commerciaux et se mettent au travers de toute dynamique de création d'emplois dont a tant besoin la jeunesse de la région. Mettant en exergue plusieurs difficultés liées aux accords commerciaux avec les autres pays et à l'ouverture des frontières.
Elle a également insisté sur le caractère impérieux de la fluidité des échanges commerciaux et son incidence sur la création d'emplois en faveur des jeunes.
Une allusion sans fioriture à l’Algérie qui s’obstine à garder fermer les frontières entre le Maroc et l’Algérie.
Cette déclaration du chef de la diplomatie américaine contredit de plus totalement celle présumée de l’Ambassadeur américain à Alger, Henry S. Ensher, qui n’a, d’ailleurs, jamais été confirmée par la Secrétaire d’Etat américain, Madame Hillary Clinton, selon laquelle Christopher Ross, également ex-ambassadeur américain à Alger, jouit toujours du soutien et de la confiance de l’administration américaine.
Un ex_ambassadeur et un ambassadeur en fonction américains qui soutiennent l’Algérie et le polisario sans tenir compte de leur hiérarchie et des résolutions internationales interpelle le commun des mortels sur leur réelle motivation.
Le régime algérien a tout faux et il serait inutile pour lui de s’activer à soutenir Monsieur Ross et le polisario. Les dés sont jetés et il a perdu.
A lui de trouver une sortie de crise qui lui soit honorable. Le Maroc est disposé à étudier toute proposition sérieuse dans le cadre du respect de sa souveraineté et de son intégrité territoriale. C’est l’Algérie qui s’est embourbée dans ce conflit qu’elle a créé, c’est a elle de trouver une porte de sortie et de la proposer au Maroc.
Le Maroc a fait sa proposition acceptée unanimement par la communauté internationale à l’Algérie d’y consentir. Point final.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel à cette demande serait appréciée.
Cordialement. Farid Mnebhi.