Dans la plupart des pays occidentaux et industrialisés, l’homosexualité est acceptée à condition que la chose reste discrète et confidentielle. Il est parfois difficile de déterminer si cette exigence tire son origine de l’homophobie, ou simplement de la gêne et de la honte suscitées par la différence, ou bien encore d’un désaccord moral avec la pratique homosexuelle.
En réalité, les trois aspects sont souvent concernés. David Field, dans son livre sur l’homosexualité, distingue deux sortes de personnes homosexuelles : celles qui n’ont jamais eu d’attirance sexuelle envers une personne du sexe opposé et seraient donc victimes d’un renversement de leur instinct sexuel. Et, celles qui ont été hétérosexuelles et se sont détournées de leurs dispositions naturelles, à un moment donné de leur existence.
A l’heure actuelle, l’homosexualité est illégale et fortement réprimée dans beaucoup de pays islamiques. Quelques pays européens punissent encore actuellement les relations entre personnes de même sexe à des peines de prison : Chypre, la Bosnie, la Serbie et la Roumanie, où la loi est appliquée de façon stricte (5 ans de réclusion). Même en Europe centrale, une fois sortie du cadre urbain, il reste difficile de vivre une relation homosexuelle ouvertement.
Ailleurs dans le monde, plus de cent pays criminalisent encore l’homosexualité. Nombre d’entre eux, de l’Arabie Saoudite à l’Iran, en passant par l’Égypte, l’Irak, le Soudan, ou le Zimbabwe prévoient la prison, parfois la peine de mort.
O WADE Leral
En réalité, les trois aspects sont souvent concernés. David Field, dans son livre sur l’homosexualité, distingue deux sortes de personnes homosexuelles : celles qui n’ont jamais eu d’attirance sexuelle envers une personne du sexe opposé et seraient donc victimes d’un renversement de leur instinct sexuel. Et, celles qui ont été hétérosexuelles et se sont détournées de leurs dispositions naturelles, à un moment donné de leur existence.
A l’heure actuelle, l’homosexualité est illégale et fortement réprimée dans beaucoup de pays islamiques. Quelques pays européens punissent encore actuellement les relations entre personnes de même sexe à des peines de prison : Chypre, la Bosnie, la Serbie et la Roumanie, où la loi est appliquée de façon stricte (5 ans de réclusion). Même en Europe centrale, une fois sortie du cadre urbain, il reste difficile de vivre une relation homosexuelle ouvertement.
Ailleurs dans le monde, plus de cent pays criminalisent encore l’homosexualité. Nombre d’entre eux, de l’Arabie Saoudite à l’Iran, en passant par l’Égypte, l’Irak, le Soudan, ou le Zimbabwe prévoient la prison, parfois la peine de mort.
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