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[Exclusif]. Latif répond à Amadou Lamine Faye : " tu es un idiot, un nul, un énergumène, tu fais des fautes de syntaxe" lamentables

Depuis la France où il se trouve le journaliste Abdou Latif Coulibaly a réagi vivement aux propos d’ Amadou Lamine Faye du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) qui vient de publier un nouveau livre intitulé « les mercenaires de la nouvelle mission civilisatrice ».

Xalimasn.com


Rédigé par leral.net le Samedi 19 Décembre 2009 à 01:23 | | 49 commentaire(s)|

[Exclusif]. Latif répond à Amadou Lamine Faye : " tu es un idiot, un nul, un énergumène, tu fais des fautes de syntaxe" lamentables
Dans cet ouvrage c’est le journaliste écrivain, Abdou Latif Coulibaly qui a été principalement visé par les flèches du libéral adressées aux détracteurs du président Wade.

De Latif l’écrivain du président Wade l’accuse de vouloir "mener les sénégalais à la révolte". Pire, il l’accuse « d’un journaliste politico-affairiste" qui "vise à porter un coup mortel à l’alternative wadienne pour aider la famille politique du parti socialiste néocolonial à revenir au pouvoir".

La réaction de Latif ne s’est pas fait attendre, à Bordeaux où il présentait ce vendredi son dernier ouvrage "Contes et Mécomptes de l’ANOCI", le patron de la gazette a réagi durement aux propos de Lamine Faye qu’il qualifie d’un "idiot", d’un "nul", bref d’un "énergumène".

Pour Latif la qualité d’écriture de monsieur faye fait défaut, et qu’il produit des textes truffés de faute de "syntaxe" : " il écrit des livres remplis de fautes, qu’un étudiant de première année n’allait jamais produire".

Toujours en réponse à monsieur Faye, qui l’accuse de vouloir faire tomber Wade, latif lance : " je m’en félicite, c’est un honneur pour moi de faire tomber Wade même si je n’ai pas les moyens, si j’en avais, il ne resterait pas au palais demain. Je suis un opposant de conscience, je l’assume"

Il souligne par la suite que "ses livres ne commencent pas avec l’avénement de abdoulaye wade"

Rappel, la prestation de Latif a été diffusée en direct et en video dans votre site ,xalimasn.com en collaboration avec 02 radio.

leral .net


1.Posté par Azou le 19/12/2009 01:51 | Alerter
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merci que le bon Dieu vous protège toi , Souleymane Jule Diop, Yerim Seck pour l'honneur que vous donner au sénégal

2.Posté par alioune diop le 19/12/2009 09:19 | Alerter
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latif tait toi tu nous amerde avec tes propos parlent nous autres choses que de la politique si tu a des problémes avec prési wade régle le avec lui et merde sa wakh barina nit kou bakh dou bari wakh

3.Posté par Ndiaye gaindé le 19/12/2009 11:06 | Alerter
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Alioune Diop je vois que tu es une marque des personnes faibles qui se prêtent aux injures pour argumenter. Ce n'est pas responsable et honorable! Le respect et lhonneur c'est tout ce qu'il faut cultiver quand il ne reste plus rien à l'homme.
Latif est un journaliste qui fait un travail extraordinaire même si ce n'est pas parfait. Les crimes financiers qu'il a relevés dans son livre comptes et mécomptes de l'anoci sont d'une portée vitale et démocratique. Il a risqué sa vie et celle de sa famille au nom de la nation sébégalaise; donc il mérite du respect. Ce qu'il a fait pour moi reléve d'un courage et d'un patriotisme à copier pour que le Sénégal avance dans le bon sens. Les mensonges qui sont mis en avant dans ce gouvernement de Wade si on le slaissent passer c'est tout un peuple qui prendrait la voie de la barberie. Donc acceptons les débats d'idées et ne serait-ce que pour ça Karim Wade doit s'expliquer devant toute la nation au lieu de payer des gens de vil et médiocre vocabulaire pour répondre à sa place à tarvers ce livre de Amadou Lamine Faye. Ce n'est pas responsable et ça devrait être une occasion d'or pour Karim si tel en est qu'il méritait en terme de compétence ce qu'on lui a confié ou s'il a géré sans fraudes ni crimes de bien vouloir avoir l'audace de défier Latif par lui-même en s'expliquantcomme il l'avait fait de façon non intelligement orchestrée pour affronter Tanor. Je le répéte pour des raisons multiples; le Sénégal a besoins de ses dignes fils dans tous les secteurs et non des gens qui sont là parce que le pur hasard politique les a favorisés.
Latif mérite du respect encore une fois de la part de tous les sénégalais fussent-ils des suppôts de Wade car il a allumé sa lampe torche dans une zone dont la transparence n'est qu"en apparence. Sa conscience d'homme de valeur ne lui a pas permis de se taire parce que l'honneur, la vérité et la dignité demeurent ses compagnons de bataille.
Merci grand Latif et ne ta fatigue pas, votre livre gardera tjrs sa valeur d'actualité même si l'académie française viendrait pour répondre à la place de l'enfant protégé dont l'incendie a débouté récemment parce que indéfendable.

4.Posté par biku le 19/12/2009 11:35 | Alerter
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latif il ya des gens a qui il ne faut méme pas repondre toi tu est 1 vrai domou GAINDE HEUREUSEMENT KIL YA DES GENS COM VOUS MERCI LATIF

5.Posté par vérité le 19/12/2009 12:32 | Alerter
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merci abdoul latif, ce gigolo de lamine faye n'est qu'un idiot ni plus ni moins.
vous savez ce qu'est un idiot:"un idiot est un fils d'idiot et il engendre des idiots"
a bon entendeur!!

6.Posté par Félix le 19/12/2009 13:10 | Alerter
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Ceux qui défendent WADE c'est pour de l'argent

7.Posté par a.wade le 19/12/2009 13:13 | Alerter
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merci Latif on sait que vous en avez deja mais du courrage encor.MERCI BCP

8.Posté par ndiaye le 19/12/2009 13:38 | Alerter
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merde a tous ceux ki n aime pas latif il n est pas comme nos genres d imam ki defenden le monument de wadek dieu te benisse

9.Posté par le professeur Diop le 19/12/2009 13:58 | Alerter
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Abdou Latif perd la sereinité que doit avoir un intellectuel face à l'appel à un débat que lui lance Amadou Lamine Faye. Ce n'est pas avec des insultes que abdou latif convaincra les sénégalais qu'Amadou Lamine Faye ne mérite pas le respect dû à un intellectuel. Faye est à son 3 ème livre. il faut avouer quand même qu'il a une grande capacité d'écriture et qu'il aborde des thématiques difficiles à cerner même par un professeu d'université. j'ai lu ces 3 livres. Je ne trouve pas que latif a une qualité d'écriture supérieure au sien. Les critiques de latif ne sont objectivement pasfondées

10.Posté par ANCIEN SOLDTA le 19/12/2009 14:06 | Alerter
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A. L.FAYE TU N'EST PAS DIGNE D'1 SERRERE JE S8 DESOLER DE LE DIRE. ENCORE ET ENCORE GRAND MERCI A TOI GRD LATIF TOUT NOS ENCOURAGEMENT... WA SALAM

11.Posté par twiter le 19/12/2009 15:25 | Alerter
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les gens du régime ne répondent que meubler , mais ils n'ameneront aucun argument .

12.Posté par diakher le 19/12/2009 15:48 | Alerter
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tout ce que fait latif n"est pas gratuit ....c"est un mercenaire dont la plume est armée a coups de milliards par des forces tapies dans l"ombre.....il s"enrichi en nous manipulant

13.Posté par hamedin le 19/12/2009 16:07 | Alerter
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L´insulte est, comme disait l´autre, l´arme du menteur et pire menteur qu’Abdou Latif Cannibalisme, ce monde n´en connait pas. Lui qui se veut donneur de cours de français sans fautes devrait avoir honte et se souvenir de la manière dont il a été ridiculisé par de vrais patriotes sénégalais qui soulignèrent toutes les fautes grammaticales, les fautes de syntaxe lamentables et autres bêtises de ce traître à la bonne cause Africaine, après parution de son premier pamphlet d´après alternance sur le chef d´Etat sénégalais Abdoulaye Wade. Cet homme, que dis-je, ce mercenaire de la plume roule pour le fric. Ses maîtres occidentaux qui souhaitent tout sauf l´émergence de patriotes africains qui défendent les intérêts de notre continent, trouvent en ce ch… errant de l´impérialisme un animal fidèle. Mais que cet individu d´une époque révolue garde en mémoire qu´[Abdoulaye Wade ] a la confiance de l´écrasante majorité du peuple sénégalais et que, par conséquent, les vendus comme lui les trouveront toujours sur leur chemin.
L´Afrique d´hier, celle des mercenaires qui faisaient et défaisaient les gouvernements en Afrique comme bon leur semblait est morte de sa belle mort. L´Afrique est à présent debout grâce aux dignes fils du continent, à la tête desquels se trouve aujourd´hui Abdoulaye Wade.

Merci Amadou Lamine Faye pour ces écrits qui permettront aux patriotes africains de mieux comprendre l´action politique de Maître Abdoulaye Wade.

14.Posté par modou le 19/12/2009 21:32 | Alerter
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Professeur a des problèmes pour cerner les thématiques développées par Faye, c'est normal car tu es la nullité même......

15.Posté par modou le 19/12/2009 21:34 | Alerter
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Hamedin se veut donneur de leçons, l'insulte à la bouche. On vous comprend tous car vous avez vendu vos âmes souillées à Wade....

16.Posté par Stylo rouge le 20/12/2009 00:42 | Alerter
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Hamédine tu ne vaut que ce qui tu emets. Un sarognard à la merci des Wade. A lire tes propos tu es tout sauf démocrate et je te vois un enfant de mauvaise intelligence car Latif est infiniment plus digne que ton pére même. Et plus honnête que lui il n'y en a pas de ce mascarade de régime de Wade.
Je te recommande de t'édulcorer de ces attitiudes de piques-assiettes auprés des Wade dont la morale la plus élémentaire refuserait de cautionner leur gestion à l'envers nous accuse des torts inommables.
Latif lui n'est pas aussi affamé comme les libéraux arrivistes qui ont passé tout leur temps à chanter les conneries des Wade et à comploter rien pour soutirer les fonds amassés sur le dos des contribuables. C'est honteux et lâche!
Latif sa plume est hors de portée de corruption comme c'en est le cas dans ce monstrueux régime de Wade, Séguragate éclare. Sa plume est engagée et n'épargne personne fut-il son proche si tel en est qu'il a comploté au détriment du peuple. Le ps en sait quelque chose. Archives clarifie!
Boucle la alors et regarde autour de toi pour te rendre compte que personne parmi eux ne peut se mesurer à Latif sur le plan valeur ajoutée au profit du pays et du continent. C'est un artisan de la démocratie et de la bonne gouvernance à travers sa plume saine et éloquente. L'avenir fera de lui un homme symbolique, une personnalité à remercier pour avoir de par sa plume sauver une nation qui vit sous la torture financiére et des crimes moraux destabilisateurs qui ne sont que l'oeuvre de Wade, un opposant éternel.

17.Posté par Sarr le 20/12/2009 01:35 | Alerter
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mais qui est ce latiiiiiiiiiiiif je suis vraiment desole d etre senegalais car nous qui vivons a l etranger sont tous honte a cause des ces gens comme latif ingrat qui fait tout pour de l argent thieye khalis

18.Posté par Léral le 20/12/2009 13:29 | Alerter
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Sarr tu es contradictoire et malléable; tu connais pas Latif et tu dis qu"il est ingrat; arrête way et remue la langue avant de juger des gens que tu ne connais pas. C plus sage et prudent. Ne sois pas emporté par la folie de certains.

19.Posté par beug deug le 20/12/2009 14:20 | Alerter
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bon courage latif que dieu te protege la verité finira par triomphé

20.Posté par KOITA le 20/12/2009 16:25 | Alerter
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Heureusement des gens valables,sérieux, visionnaires, patriotes comme Latif Coulibaly existent pour informer un peuple affamé, soif de tout. Amadou Lamine Faye est vendu, c'est des opportunistes, qui défendent que leur intérêt personnel. On n'a pas besoin de ces gens là. Vive Latif...Wade est politiquemet cuit, grillé dans le monde entier. Il a perdu la confiance des Sénégalais et du Monde entier. Cet Homme devait dégager du Pouvoir. De toute façon, il n'a pas le pouvoir des Sénégalais, il a son pouvoir personnel. Cet Homme et sa bande ne valent rien, c'est des complices. Ils ont des comptes à rendre aux Sénégalais et devant Dieu.

21.Posté par Madame Coulibaly le 21/12/2009 13:19 | Alerter
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Depuis quand ce chien de mercenaire ne peut plus se maitriser.Tu as le droit d'écrire les autres aussi.D'ailleurs les sénégalais ne connaissent pas encore le ratelier où tu suces les tétons des mamiféres rougis par les liqueurs et soum soum.Espéce d'imbécile tu vois maintenant ce que signifie écrire sur des gens.Tu seras mieux connu lorsque le livre qui est entrain d'être écrit sur toi et ta femme(,que je connais trés bien dans le milieu des affaires et qui n'hésite pas à montrer ses dessous pour gagner dees marchés) verra le jour.Tu n'as jamais pardonné le fait que le Président avait choisi votre collégue Chérif El Walid comme conseiller à la Présidence.Vos écrits datent du parti-socialiste mais c'est un seul livre pour faire chanter Abvdou Diouf qui t'avait remis la somme de 100.000.000frscfa.Seulement Wade est un dur à cuir qui se laisse pas chanter.Tu multiplieras tes livresd sur lui et sa famille dix mille
fois,tu ne receveras rien et ta femme n'aura aucun marché public.Les sénégalais doivent savoir qu'une partie des milliards détournés sur les chantiers de Thiés est dans les besaces de votre femme.Abdou le ruminant puisque tu es un journaliste d'investigations des merdres,nous attendons toujours votre livre sur les chantiers de Thiés.Tu n'oseras jamais.Voilà ce qui prouve que tu es un corrompu de la plume.Ton tandem avec le parti socialiste ne passera jamais.Chaque sénégalais se doit de s'approprier de cette lutte pour faire échec aux insecticides politico-journalistes qui tentent de dompter le Sénégal.

22.Posté par Viviane le 22/12/2009 00:51 | Alerter
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Boucle la toi qui vient juste de me précéder. Regarde autour de toi pour te rendre compte que personne parmi eux ne peut se mesurer à Latif sur le plan valeur ajoutée au profit du pays et du continent. C'est un artisan de la démocratie et de la bonne gouvernance à travers sa plume saine et éloquente. L'avenir fera de lui un homme symbolique, une personnalité à remercier pour avoir de par sa plume sauver une nation qui vit sous la torture financiére et des crimes moraux destabilisateurs qui ne sont que l'oeuvre de Wade, un opposant éternel.

23.Posté par Soutoura le 22/12/2009 02:04 | Alerter
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Le débat vole maintenant très bas. Il vole si bas qu'il emporte dans sa descente inéluctable vers les bas-fonds de la médiocrité, la quintessence même du sujet pourtant éminemment intéressant. Je vois de mon neutre piédestal accroché aux ailes du temps, deux camps se dessiner visiblement, pour aller se perdre dans l'infini des convenances. Celui de Latif Coulibally opposé à celui de Wade Abdoulaye. Pour ceux qui défendent Latif le téméraire, disons tout de suite qu'ils sont plus sobres que ceux de l'autre camp et disent tous la même chose: cet homme du peuple qu'est l'écrivain journaliste Abdou Latif Coulibally, mérite au moins qu'on écoute cela qu'il dit, qui le tient tant à cœur. Pour le faire, l'homme a sans aucun doute des arguments plus solides à défendre, du métier pour le faire et son âme candide jouit d'une certaine pureté reconnue par les justes.
Opposé à lui, voici des gens ayant le verbe injurieux et la parole poisseuse du laudateur. Ils font dans la démesure et vautrent dans la vengeance comme dans un bain turc, pour assouplir leur ignorance peut-être, enjoliver leur cruelle méchanceté plus sûrement. S'ils ne mentent pas, ils inventent ou alors, parlent de ce qu'ils ne savent pas. Ils vont parfois dans les caniveaux de la délation, ramasser de la poisse et de la vermine du dénie de vérité, viennent ensorceler le débat pour lui donner une allure diabolique.
Heureusement qu'ils ne sont guère qu'une infirme minorité de râleurs, déjà essoufflés par le mensonge et l'absence de hauteur dans leur point de vue.
Aux uns et aux autres, j'ai envi de dire: comme le Sénégal notre bien commun est sacré, sauvons-le plutôt, de la mauvaise passe dans laquelle l'a plongé jusqu'au cou ce régime de saboteurs.

Vous dévinez facilement de quel camp j'appartiens n'est-ce pas ?

24.Posté par Soutoura le 22/12/2009 02:18 | Alerter
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Pardon !
Le débat vole maintenant très bas. Il vole si bas qu'il emporte dans sa descente inéluctable vers les bas-fonds de la médiocrité, la quintessence même d'un sujet pourtant éminemment intéressant. Je vois de mon neutre piédestal accroché aux ailes du temps, deux camps se dessiner visiblement, pour aller se perdre dans l'infini des convenances. Celui de Latif Coulibally opposé à celui de Wade Abdoulaye. Pour ceux qui défendent bec et oncles Latif le téméraire, disons tout de suite qu'ils sont plus nombreux, plus sobres que ceux de l'autre camp et disent tous la même chose: cet homme du peuple qu'est l'écrivain journaliste Abdou Latif Coulibally, mérite au moins qu'on écoute cela qu'il dit, qui le tient tant à cœur. Pour le faire, l'homme a sans aucun doute des arguments plus solides à défendre, du métier pour le faire et son âme candide jouit d'une certaine pureté reconnue par les justes.
Opposé à lui, voici des gens ayant le verbe injurieux et la parole poisseuse du laudateur. Ils font dans la démesure et se vautrent dans la vengeance comme dans un bain-turc, pour assouplir leur ignorance peut-être, enjoliver leur cruelle méchanceté plus sûrement. S'ils ne mentent pas, ils inventent ou alors, parlent de ce qu'ils ne savent pas avec des mots empruntés. Ils vont parfois jusque dans les caniveaux de la délation, ramasser de la poisse et de la vermine du dénie de vérité, venir promptement ensorceler le débat pour lui donner une allure plutôt mensongère et diabolique.
Heureusement pour le salut du peuple, qu'ils ne sont guère qu'une infirme minorité de râleurs, déjà essoufflés par le mensonge et l'absence de hauteur dans leur point de vue.
Aux uns et aux autres, j'ai envi de dire: comme le Sénégal notre bien commun est sacré, sauvons-le plutôt, de la mauvaise passe dans laquelle l'a plongé jusqu'au cou ce régime de saboteurs.

Vous devinez facilement à quel camp j'appartiens n'est-ce pas ?

25.Posté par oudil le 22/12/2009 11:46 | Alerter
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Latif tu es un tocard.Tu as montré tes limites.Tu ne vaut absolument rien. Lamine n'acceptera jamis de se comparer à toi..Tu saigne du sang avec au bout de tes lèvres.

26.Posté par oura le 22/12/2009 11:58 | Alerter
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On ne peut pas arrêter la mer avec ses bras.Lamine Faye apporte ici une réponse nette et précise por tous les détracteurs du régime de wade.

27.Posté par asse le 22/12/2009 12:02 | Alerter
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abdoul latif coulibaly appartient au monde du créuscule.Cet homme est un nauffragé dans l'obscurité.comparé lamine faye a des élèves de première année vraiment latif tu es un idiot de grand chemin.

28.Posté par Madame Coulibaly le 22/12/2009 14:39 | Alerter
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Pauvre Viviane.C'est à toi de regarder autour de vous et de dire aux sénégalais si ton pays change oui ou non.Votre idiot aux lévres rougies par le vin rouge ne peut apporter que le plus valu de la magouille et de la tricherie.Quelle plume?Une plume qui se trompe à chaque parution de ses livres de Toc.Un démocrate n'insulte jamais ceux qui disent leurs pensées même si ça ne lui plait pas.Votre idole est un rancunier et un imbécile qui sera bientôt connu des sénégalais.Un livre qui va retracer le chemin tortueux de votre héros de la basse cour et de sa femme verra jour sous peu.En attendant demande à votre plus valu d'écrire sur les chantiers de Thiés.Il ne le fera jamais à cause de l'entreprise de sa femme.

29.Posté par der le 22/12/2009 15:52 | Alerter
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Abdou Latif veut amener les sénégalais à se révolter contre le régime de l’alternance à travers ses dénonciations calomnieuses ». Faire ce genre de déclaration c'est insulter l'intelligence des Sénégalais qui est un peuple mûr et lucide.
De tout le temps votre Wade fait des déclarations dignes de la "radio des 1000 collines" et pourtant on encaisse et on passe à autre chose.
Si vous voulez justifier le pourquoi on vous paie, il faut s'en prendre autrement; votre méthode est ridicule.
Amicalement

30.Posté par hui le 22/12/2009 15:54 | Alerter
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Les contes et mécomptes d’Abdou Latif Coulibaly

a) Les contes de Latif
Les contes de Latif sur l’Anoci révèlent les secrets de la personnalité profonde de l’auteur de Contes et mécomptes de l’Anoci. On découvre chez lui un complexe d’intérêt pour la fabrique d’histoires à faire rire ou pleurer. Latif a pu développer ce complexe d’intérêt dans sa jeunesse. Malheureusement, ce penchant a subi une perversion dans sa vie adulte. Il lui a donné ce talent professionnel de sycophante et de manipulateur qu’on lui connaît aujourd’hui. Un des matériaux d’analyse qui en donne une indication est cette prophétie « du fou du village » de Sokone appelé Njol Sokone : « Je ne sais qui, mais toi, tout ce que obtiendras dans ta vie tu l’auras par le mensonge ». Les échos de cette voix caverneuse de NJjol Sokone qui sonnent encore dans l’oreille des Sokonois comme une alerte permanente ont été captés par les radars du quotidien le messager et publiés dans sa livraison N° 1720 du Mardi 1er Septembre 2009. Elles nous permettent de découvrir chez Latif l’existence d’une compétence distinctive essentielle : l’habillage d’une activité de filouterie politico affairiste par une profession de foi au patriotisme et par un prétendu combat citoyen. C’est un exercice difficile dont Abdou Latif Coulibaly a la parfaite maîtrise. Il en use et en abuse dans tous ses ouvrages. Le plus grand spécialiste au monde de l’analyse du discours, s’il ne prend pas la précaution de ne pas s’émouvoir au départ quand il lit Abdou Latif Coulibaly, se ferait prendre au piège de la manipulation que tend ce journaliste aiguilleur lorsqu’il parle par exemple de sa femme dans ses remerciements. Il en est de même lorsqu’il convoque Norbert Zongo par une dédicace. Au début de chacun de ses ouvrages Abdou Latif Coulibaly tente toujours par les mêmes procédés de tenir le lecteur par les sentiments. Dans Contes et mécomptes sur l’Anoci, ce manipulateur des perceptions montre à l’évidence qu’il cherche, comme à ses habitudes, à susciter l’émotion autour des thèmes d’amour et de fraternité. Il pousse le bouchon de l’opportunisme jusqu’à tenter de provoquer un transfert sur lui de la sympathie que tout un chacun éprouve pour le célèbre journaliste burkinabé assassiné dans l’exercice de son métier. Endormir le lecteur avec des thèmes émotifs pour distraire sa vigilance intellectuelle est l’astuce par laquelle le filou politico affairiste veut arriver à faire avaler la pilule amère d’une chimère : « la monarchisation du pouvoir issu de l’alternance ». Par ce procédé, Abdou Latif Coulibaly tente d’établir l’idée que le président de la République Abdoulaye Wade incarne le Roi Soleil Louis XIV et Karim Wade le prince. Il complète le tableau des protagonistes de son conte pour idiots en mettant tous les patriotes et intellectuels militants de l’alternance dans le rôle peu respectable de courtisans du roi. Une telle mise en scène dévoile très clairement qu’il veut créer chez le citoyen sénégalais un réflexe pavlovien : celui du flingueur automatique. Il veut inciter à traiter automatiquement de laudateur tout militant sincère qui prend le risque de défendre Wade par conviction. Il veut que la supériorité du bilan du régime de l’alternance comparé à ceux de la totalité des régimes néocoloniaux ne puisse point servir d’argument efficace pour défendre le régime de Wade. Il espère ainsi pouvoir tuer de tels genres d’argument avec des contes de mauvais goût comme celui de la monarchisation du pouvoir sous Wade. La présentation d’une « gestion nébuleuse de l’Anoci » par « le prince Karim Wade» sert un tel objectif. Nous voyons ici que le but visé par Latif est si clair et la démarche d’autant plus froide qu’il ne s’agit plus de faire rire ou pleurer des jeunes qui ont besoin de consumer leurs ennuis dans les grand-places de Sokone, avec des contes de « Ndoumbélane » version Latif.

C’est plus sérieux que cela. Abdou Latif Coulibaly fait dans la guerre cognitive pour préparer une guerre réelle à la mitraillette. Il veut faire tomber le régime de Wade par le jeu de manipulation des consciences. C’est certain qu’il nourrit le secret espoir de provoquer le même phénomène qui, chez le Roi Soleil, a accouché de la République française sous Louis XV qui a été guillotiné. Ce conte que Latif construit pour faire exister dans la tête des gens une monarchie au Sénégal sous Wade s’ouvre sur un discours de Fénelon. Il en fait la porte d’entrée de lecture d’une histoire qu’il fabrique de manière éclectique pour révulser les cœurs par l’exagération d’évènements travestis et racontés sur la gestion de l’Anoci.

Le format du scénario du conte étant conçu, Latif peut entrer dans le vif de son récit burlesque sur les soi-disant mécomptes de l’Anoci. C’est à partir de ce moment-là qu’il rationalise. Toutes les informations tronquées qu’il a l’habitude de recevoir des d’éléments de la famille socialiste tapis dans l’administration ou des frustrés du camp de l’alternance en collusion avec les adversaires politiques de Wade sont revisitées et distillées. Il en fait un cocktail explosif pour faire sauter le régime de Wade.
b) Les mécomptes de Latif
Sur les prétendus mécomptes rien de nouveau sous le ciel chez Latif en termes de méthodes et d’objectifs d’investigations. À ce niveau, ce monsieur garde une constance indissoluble quand il s’agit surtout de pratiquer son exercice favori : la dénonciation calomnieuse. Abdou Latif Coulibaly ne s’inscrit pas dans la vision de Wade. On ne doit donc pas attendre de lui qu’il considère que créer rapidement des actifs physiques qui réduisent, de manière significative pour le citoyen, le temps et le coût d’accès à des services sociaux de base et éliminent les externalités négatives que provoquent les contraintes de la mobilité urbaine à Dakar est plus essentiel pour un panafricaniste que dénoncer les coûts de transition inévitables en matière de passage en force vers l’émergence. Il s’en tape. Son job à lui est de traquer les points faibles inhérents à tout passage en force vers l’émergence. Sa mission est justement de faire situer la priorité sur autre chose que de stimuler les forces d’une vision wadienne pour le changement rapide de l’économie néocoloniale. Il sait que la vitesse et les raccourcis en constituent les principes fondateurs. Abdou Latif Coulibaly est tout le contraire du panafricaniste qui milite pour le changement en faveur de l’avenir de l’Afrique. Et le paradigme panafricain qui nourrit les actions des patriotes engagés dans la transformation du régime du PS néocolonial n’est pas sa tasse de thé. Ce qui l’intéresse, c’est d’être à l’affût et d’attendre que la déclinaison d’une telle vision lui serve sur le plat des matières à dénonciation pour des violations de règles exogènes considérées par les panafricanistes comme marginales. Il sait que quand on s’investit dans la réduction de gaps historiques et qu’on privilégie le « développement autonome harmonisé à croissance accélérée », on est obligé de lever des contraintes constituées par des règles inadaptées à l’exigence de vitesse et de raccourcis pour réduire les gaps historiques.

Les règles ne sont pas des buts, mais des moyens que se donnent les hommes pour atteindre des buts. Donc si des règles viennent à empêcher l’atteinte de buts légitimes et historiques comme celui du développement de l’Afrique on est en droit de les modifier. Cela ne veut pas dire qu’on fait ici l’apologie de la thèse machiavélique selon laquelle la fin justifie les moyens.

On peut donc constater dans contes et mécomptes de l’Anoci comment des gens comme Latif et les panafricanistes s’opposent en rationalistes moralisateurs et réalistes transformateurs. Nous n’aborderons pas les questions techniques et scientifiques relatives aux chiffres sujets à controverse concernant le financement et la gestion de l’Anoci. Nous nous suffisons de la réponse technique donnée au livre de Latif par le consultant Mamadou Sall. Cette réponse circule sur beaucoup de sites web. (À lire en page annexe). Ce qui nous intéresse ici, c’est l’analyse de la méthodologie de manipulation des perceptions dont Latif fait usage.

Abdou Latif Coulibaly qui n’a aucune formation élémentaire en génie civil s’est aventuré à faire des comparaisons de coûts entre des ouvrages de BTP. Il a comparé des ouvrages réalisés en rase campagne à Thiès à ceux comportant des ouvrages d’art faits par l’Anoci à Dakar en plein milieu urbain. Il ne s’est pas rendu compte qu’il est tombé dans une innocence pédantesque qui fait rire sous cape les spécialistes des Btp comme Mamadou Sall. On ne peut pas comparer des travaux qui n’ont pas été réalisés de la même manière, ni avec la même consistance. Abdou Latif Coulibaly est tombé également dans une arrogance intellectuelle sans commune mesure.

Le plus grave est qu’il a mis en cause, dans ses dénonciations calomnieuses contre Karim Wade, la moralité d’honnêtes entrepreneurs sénégalais qui ont gagné les marchés de l’Anoci ainsi que leur crédibilité professionnelle. Il sait que l’effet de surprise va passer ainsi que l’agitation médiatique que son brûlot a provoquée. Il sait qu’après que le brouillard sera dissipé, les gens vont avoir le temps de prendre connaissance des démentis techniques et scientifiques les plus approfondis qui ont commencé avec le consultant Mamadou Sall. Ce dernier, qui a montré toute son indépendance d’esprit, a apporté des éléments de réponses techniques et scientifiques pertinentes aux rationalisations tirées par les cheveux de Latif à propos de ses révélations. C’est pour parer à ces démentis et pour façonner l’opinion publique qu’Abdou Latif Coulibaly est devant tous les micros. Il fait plutôt penser à l’illuminé Don Quichotte qui prenait «des moulins à vent» pour des géants

31.Posté par deai le 22/12/2009 15:56 | Alerter
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Abdou Latif Coulibaly a à son actif des centaines d’articles distillateurs et plusieurs livres boutefeux tous publiés durant les deux mandats du président Abdoulaye Wade. À l’exception de son premier livre consacré à l’analyse des péripéties et des convulsions internes au sein du Parti socialiste, tous ses brûlots ont eu pour cible Maître Wade, sa famille et son régime. Suffisant pour qu’Amadou Lamine Faye, un des plus grands spécialiste de la pensée politique de Maître Wade, s’intéresse à cet homme qui fait du commerce avec le portrait caricaturé du leader du Sopi. Amadou Lamine Faye fait découvrir dans ce livre un Abdou Latif Coulibaly totalement déconnecté du combat mondial panafricain pour le développement de l’Afrique. Il dévoile ses objectifs politico-affairistes qu’il dissimule dans une prétendue activité de veille citoyenne pour la Bonne gouvernance, la Démocratie et les Droits de l’homme. Amadou Lamine Faye montre comment Abdou Latif Coulibaly essaie d’encrasser l’esprit des Sénégalais à chaque fois et dans des moments cruciaux où l’attention des Sénégalais et leurs énergies sont mobilisées pour soutenir de manière décisive une idée ou un projet important du président Abdoulaye Wade. Il met à nu sa stratégie de communication visant à porter un coup mortel à l’alternative wadienne pour aider la famille politique du Parti socialiste néocolonial à revenir au pouvoir.


32.Posté par litu le 22/12/2009 15:57 | Alerter
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Abdou Latif Coulibaly champion d’une veille citoyenne ou imposteur ?

Abdou Latif Coulibaly a beaucoup écrit. Personne ne peut contester le fait qu’il a du talent dans la production de brûlots. À son actif on peut retenir des centaines d’articles distillateurs et plusieurs livres boutefeux publiés durant les deux mandats du président Abdoulaye Wade. Au vu du nombre et de la fréquence de sortie annuelle de ses publications depuis l’avènement de l’alternance, qui toutes ont pour cible Wade, sa famille et son régime, à l’exception de son premier livre consacré à l’analyse des péripéties et des convulsions internes au sein du Parti socialiste, on ne peut pas ne pas admettre qu’il fait du commerce avec le portrait caricaturé de Maître Wade qui est très prisé dans le milieu des vaincus de l’alternance.

Par la manière dont il occupe l’espace médiatique et public, depuis son premier brûlot contre Wade, à coup de provocation, d’incitation au soulèvement des populations et d’effet d’annonce, il est devenu lui-même un objet d’investigation et de réflexion pour tout intellectuel sénégalais qui veut être à jour sur les évènements de son pays.

C’est pourquoi nous ne pouvions pas ne pas nous intéresser à lui, mais également à tous ceux qui se présentent de manière évidente comme les hommes de presse les plus haineux contre le régime de Wade.

Nous allons essayer dans ce livre de nous acquitter de ce noble devoir de recherche en essayant de comprendre l’homme Abdou Latif Coulibaly. Nous allons le mettre sur le divan et permettre aux Sénégalais de découvrir le mobile des actions de cet homme. Et à travers lui, nous allons pouvoir connaître également ceux de tous les individus et de toutes les organisations partageant avec lui la même orientation et les mêmes pratiques de personnes vipérines qui sont en marge de nos valeurs religieuses et de civilisation africaine: la dénonciation calomnieuse, le psychologisme outrancier, le procès d’intention et la critique facile.

Beaucoup de sénégalais sont choqués comme nous de constater chaque jour que tout ce beau monde fait dans l’anti-wadisme primaire sans aucune retenue. C’est pourquoi il est plus qu’un devoir pour nous et pour n’importe quel patriote d’essayer de mettre à nu les raisons qui les font courir si honteusement au risque de tomber en buttant sur le tronc de l’arbre du gigantesque processus de transformation conduit par un homme historique ayant enduré 26 ans de lutte pour le développement et la démocratie.

Abdou Latif Coulibaly, dans notre investigation, est pris comme le spécimen le plus représentatif d’une espèce d’individus dont l’étude comportementale permettra de faire connaître de manière précise la nature, le rôle et la place qu’occupe sa famille d’appartenance dans le rapport contradictoire entre le peuple sénégalais et son environnement pertinent; et de façon plus large entre les peuples d’Afrique et des idéologues européocentristes.

Nous avons commencé notre recherche sur Abdou Latif Coulibaly en parcourant une partie significative de ses publications. Et de prime abord deux choses apparaissent de manière irréfutable.

La première est qu’Abdou Latif Coulibaly cherche à gagner la posture de champion d’« une veille citoyenne » sur les questions de la Bonne gouvernance, de la Démocratie, des Droits humains et de l’Ethique au Sénégal. Et il veut s’en servir comme arme de déconstruction du leadership intellectuel panafricain de Wade pour espérer lui enlever tout bénéfice politique qu’il pourrait tirer des résultats de son travail de génie dans la transformation du régime de régression et d’oppression du PS en un modèle de « développement harmonisé autonome à croissance accélérée ». Et ce fait-à est très important à souligner. La meilleure manière de détourner l’attention de quelqu’un lorsque sa réflexion et ses actions sont concentrées sur des choses essentielles et fondamentalement vitales pour son devenir, sa liberté et celle de son peuple c’est de venir bruyamment lui imposer un faux débat sur des choses importantes et sensibles.

De tels procédés relèvent de l’intelligence économique. Ils ont déjà servi contre l’Afrique à négocier, avec l’aide de mercenaires, sa domination pour des siècles. Nous devons éviter que l’histoire de la « mission civilisatrice, » cette construction intellectuelle qui a servi de justification pour dominer pendant des siècles l’Afrique, ne se répète sous une autre forme avec des gens comme Abdou Latif Coulibaly.

Ce dernier force tapageusement dans l’espace public le débat sur les questions de la Bonne gouvernance, de la Démocratie, des Droits humains et de l’Ethique avec des brûlots. Il le fait dans le dessein manifeste et affirmé de faire passer au second plan la question essentielle et fondamentale du développement du Sénégal. C’est pourquoi il tente toujours, avec l’aide d’une certaine presse, qui n’est pas toute la presse, d’imposer aux Sénégalais ses brûlots qu’il sort pour contrer chaque projet réussi de Wade.

Abdou Latif Coulibaly veut ainsi, et tout le temps, créer l’évènement avec ses brûlots pour effacer le succès que doit avoir une politique de Wade. C’est de cette manière qu’il essaie d’encrasser l’esprit des Sénégalais chaque fois que, dans des moments cruciaux, leur attention et leurs énergies sont mobilisées pour soutenir de manière décisive un projet de Wade digne de rentrer dans l’histoire.

On voit ainsi comment la véritable tâche que s’est assignée Abdou Latif Coulibaly est d’amener les Sénégalais à tourner le dos à toutes les initiatives novatrices de Wade et à tous ses projets qui peuvent donner du mérite et une crédibilité au pouvoir issu de l’alternance. C’est pourquoi il se fait fort de les éclabousser par de fausses révélations de scandales.

C’est donc à une tâche de haute communication qu’Abdou Latif Coulibaly se consacre quand il prétend exercer un devoir de sentinelle de la Démocratie en essayant de changer le soutien constant des masses obtenu par Wade depuis le 19 Mars 2000 en une haine d’un « despote et d’un organisateur d’un régime patrimonial ». Il s’agit d’une stratégie de communication bien à lui visant à appuyer subtilement l’opposition revancharde dans ses tentatives de saboter les acquis de l’alternance.

La trame d’un tel projet politique, qui consiste à faire en sorte que les masses éprouvent du dégoût à l’égard des projets de Wade, les rejettent et s’en détournent, est bien expliquée dans l’analyse du PIT des années 90. Cette analyse explique également comment des gens comme Abdou Latif Coulibaly font partie de l’armée de réserve du PS chargés de souiller de scandales tout projet de parachèvement de la libération économique du pays qu’entreprend le régime issu de l’alternance.

La deuxième chose qui apparaît dans les écrits d’Abdou Latif Coulibaly est qu’il prend prétexte des dénonciations calomnieuses qu’il fait contre le régime de l’alternance pour amener les Sénégalais à se révolter. En fin de compte, renverser le pouvoir du président Abdoulaye Wade qu’il tient d’élections régulières et transparentes, toutes supervisées par des observateurs internationaux, est à l’évidence le projet auquel Abdoul Latif Coulibaly vous invite dès que vous portez un regard cru sur le point de chute de ses écrits.

Or, pour qui sait, cette question de « veille citoyenne » contre les violations de la Démocratie, de la Bonne gouvernance, des Droits humains et de l’homme sont, sous nos tropiques, à la mode. Et nous savons aujourd’hui qu’elle offre des possibilités de carrières faciles et d’appuis juteux dans l’hexagone pour des mercenaires à la recherche de notoriété et de gains accommodants tout autant qu’elle favorise la prolifération en Afrique d’ONG extraverties et de mercenaires de la plume sans foi ni loi qui font commerce de leur talent de manipulateur des perceptions.

Il s’y ajoute qu’il y a une curieuse et suspecte collusion entre ce nouveau métier pour « citoyen veilleur » de la Bonne gouvernance, des Droits de l’homme, de l’Ethique que se donnent les Abdou Latif Coulibaly et consorts et le métier de veilleur d’arrière-cour néocolonial que veulent encore se donner aujourd’hui des idéologues passéistes européocentristes qui ont inventé la compétence universelle et veulent imposer le respect des règles canoniques d’une « nouvelle religion supérieure » qui ne dit pas son nom.

La Bonne gouvernance, les Droits de l’homme, l’Ethique sont devenus malheureusement les piliers d’une nouvelle espèce de « religion supérieure » à partir de laquelle on décrète des « fatwas » contre les « mécréants » de la Démocratie et de la Bonne gouvernance. Et il est curieux de constater que ces supposés « mécréants » ne sont débusqués que dans les pays sous-développés et principalement dans les pays africains.

« Je me donne le droit d’être un intégriste de la démocratie », disait dans une radio de la place le journaliste Pape Samba Kane, un dinosaure de la presse sénégalaise très respecté et respectable, qui ne fait pas dans la dénonciation calomnieuse et la critique facile comme les Abdou Latif Coulibaly.

Si un tel journaliste aussi vigilant et brillant, intellectuellement et professionnellement parlant, a pu succomber à l’endoctrinement des idéologues de la nouvelle mission civilisatrice, on est en droit de désespérer des autres.

De toutes les façons, Abdou Latif Coulibaly et ceux qui le soutiennent parlent plus pour les simples d’esprit. Ils usent abusivement de la comparaison envieuse pour espérer créer une conscience de l’injustice chez le gorgolou sénégalais. Pour pousser ce dernier à la révolte, ils braquent leurs projecteurs sur leurs dénuements et les comparent aux dépenses d’investissement du régime de Wade dans des secteurs prioritaires stratégiques. Pour aggraver les choses ils y mettent une dose dénonciation de faux scandales de corruption. Leurs discours s’adressent ainsi à des gens qui ont une courte vue plus qu’à des hommes qui véritablement réfléchissent, scrutent les futurs possibles et donc peuvent voir, au-delà du microcosme sénégalais les défis et les enjeux auxquels les pays africains doivent faire face.

Mais ces idéologues européocentristes peuvent-ils apprendre à l’Afrique la Démocratie, les Droits de l’homme voire la Bonne gouvernance ?

L’intellectuel africain qui connaît bien l’ontologie africaine, la charte du Mandé, la charte du Kurukan Fuga ou la thèse scientifique de l’antériorité de la civilisation nègre de Cheikh Anta Diop ne peut pas se laisser prendre au piège des constructions intellectuelles qui ont accouché de ce nouveau métier de « veilleur citoyen » en Afrique par lequel des gens comme Abdou Latif Coulibaly monnayent leur talent de mercenaire de la plume à des forces étrangères à l’Afrique.

Ce n’est donc pas étonnant qu’on voit aujourd’hui, entre Abdou Latif Coulibaly, des journalistes comme Madiambal Diagne et beaucoup de personnalités de la société civile extravertie, une compétition mal dissimulée dans la dénonciation calomnieuse des projets des gouvernants africains.

Les Sénégalais ont raté l’occasion de se prémunir contre ces gens-là en profitant des bons conseils prodigués par Jean-Paul Dias qui avait très tôt et à plusieurs reprises dénoncé le rôle de mercenaire que jouent certaines ONG dans leurs railleries des gouvernants africains.

33.Posté par huti le 22/12/2009 16:01 | Alerter
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Abdou Latif Coulibaly champion d’une veille citoyenne ou imposteur ?

Abdou Latif Coulibaly a beaucoup écrit. Personne ne peut contester le fait qu’il a du talent dans la production de brûlots. À son actif on peut retenir des centaines d’articles distillateurs et plusieurs livres boutefeux publiés durant les deux mandats du président Abdoulaye Wade. Au vu du nombre et de la fréquence de sortie annuelle de ses publications depuis l’avènement de l’alternance, qui toutes ont pour cible Wade, sa famille et son régime, à l’exception de son premier livre consacré à l’analyse des péripéties et des convulsions internes au sein du Parti socialiste, on ne peut pas ne pas admettre qu’il fait du commerce avec le portrait caricaturé de Maître Wade qui est très prisé dans le milieu des vaincus de l’alternance.

Par la manière dont il occupe l’espace médiatique et public, depuis son premier brûlot contre Wade, à coup de provocation, d’incitation au soulèvement des populations et d’effet d’annonce, il est devenu lui-même un objet d’investigation et de réflexion pour tout intellectuel sénégalais qui veut être à jour sur les évènements de son pays.

C’est pourquoi nous ne pouvions pas ne pas nous intéresser à lui, mais également à tous ceux qui se présentent de manière évidente comme les hommes de presse les plus haineux contre le régime de Wade.

Nous allons essayer dans ce livre de nous acquitter de ce noble devoir de recherche en essayant de comprendre l’homme Abdou Latif Coulibaly. Nous allons le mettre sur le divan et permettre aux Sénégalais de découvrir le mobile des actions de cet homme. Et à travers lui, nous allons pouvoir connaître également ceux de tous les individus et de toutes les organisations partageant avec lui la même orientation et les mêmes pratiques de personnes vipérines qui sont en marge de nos valeurs religieuses et de civilisation africaine: la dénonciation calomnieuse, le psychologisme outrancier, le procès d’intention et la critique facile.

Beaucoup de sénégalais sont choqués comme nous de constater chaque jour que tout ce beau monde fait dans l’anti-wadisme primaire sans aucune retenue. C’est pourquoi il est plus qu’un devoir pour nous et pour n’importe quel patriote d’essayer de mettre à nu les raisons qui les font courir si honteusement au risque de tomber en buttant sur le tronc de l’arbre du gigantesque processus de transformation conduit par un homme historique ayant enduré 26 ans de lutte pour le développement et la démocratie.

Abdou Latif Coulibaly, dans notre investigation, est pris comme le spécimen le plus représentatif d’une espèce d’individus dont l’étude comportementale permettra de faire connaître de manière précise la nature, le rôle et la place qu’occupe sa famille d’appartenance dans le rapport contradictoire entre le peuple sénégalais et son environnement pertinent; et de façon plus large entre les peuples d’Afrique et des idéologues européocentristes.

Nous avons commencé notre recherche sur Abdou Latif Coulibaly en parcourant une partie significative de ses publications. Et de prime abord deux choses apparaissent de manière irréfutable.

La première est qu’Abdou Latif Coulibaly cherche à gagner la posture de champion d’« une veille citoyenne » sur les questions de la Bonne gouvernance, de la Démocratie, des Droits humains et de l’Ethique au Sénégal. Et il veut s’en servir comme arme de déconstruction du leadership intellectuel panafricain de Wade pour espérer lui enlever tout bénéfice politique qu’il pourrait tirer des résultats de son travail de génie dans la transformation du régime de régression et d’oppression du PS en un modèle de « développement harmonisé autonome à croissance accélérée ». Et ce fait-à est très important à souligner. La meilleure manière de détourner l’attention de quelqu’un lorsque sa réflexion et ses actions sont concentrées sur des choses essentielles et fondamentalement vitales pour son devenir, sa liberté et celle de son peuple c’est de venir bruyamment lui imposer un faux débat sur des choses importantes et sensibles.

De tels procédés relèvent de l’intelligence économique. Ils ont déjà servi contre l’Afrique à négocier, avec l’aide de mercenaires, sa domination pour des siècles. Nous devons éviter que l’histoire de la « mission civilisatrice, » cette construction intellectuelle qui a servi de justification pour dominer pendant des siècles l’Afrique, ne se répète sous une autre forme avec des gens comme Abdou Latif Coulibaly.

Ce dernier force tapageusement dans l’espace public le débat sur les questions de la Bonne gouvernance, de la Démocratie, des Droits humains et de l’Ethique avec des brûlots. Il le fait dans le dessein manifeste et affirmé de faire passer au second plan la question essentielle et fondamentale du développement du Sénégal. C’est pourquoi il tente toujours, avec l’aide d’une certaine presse, qui n’est pas toute la presse, d’imposer aux Sénégalais ses brûlots qu’il sort pour contrer chaque projet réussi de Wade.

Abdou Latif Coulibaly veut ainsi, et tout le temps, créer l’évènement avec ses brûlots pour effacer le succès que doit avoir une politique de Wade. C’est de cette manière qu’il essaie d’encrasser l’esprit des Sénégalais chaque fois que, dans des moments cruciaux, leur attention et leurs énergies sont mobilisées pour soutenir de manière décisive un projet de Wade digne de rentrer dans l’histoire.

On voit ainsi comment la véritable tâche que s’est assignée Abdou Latif Coulibaly est d’amener les Sénégalais à tourner le dos à toutes les initiatives novatrices de Wade et à tous ses projets qui peuvent donner du mérite et une crédibilité au pouvoir issu de l’alternance. C’est pourquoi il se fait fort de les éclabousser par de fausses révélations de scandales.

C’est donc à une tâche de haute communication qu’Abdou Latif Coulibaly se consacre quand il prétend exercer un devoir de sentinelle de la Démocratie en essayant de changer le soutien constant des masses obtenu par Wade depuis le 19 Mars 2000 en une haine d’un « despote et d’un organisateur d’un régime patrimonial ». Il s’agit d’une stratégie de communication bien à lui visant à appuyer subtilement l’opposition revancharde dans ses tentatives de saboter les acquis de l’alternance.

La trame d’un tel projet politique, qui consiste à faire en sorte que les masses éprouvent du dégoût à l’égard des projets de Wade, les rejettent et s’en détournent, est bien expliquée dans l’analyse du PIT des années 90. Cette analyse explique également comment des gens comme Abdou Latif Coulibaly font partie de l’armée de réserve du PS chargés de souiller de scandales tout projet de parachèvement de la libération économique du pays qu’entreprend le régime issu de l’alternance.

La deuxième chose qui apparaît dans les écrits d’Abdou Latif Coulibaly est qu’il prend prétexte des dénonciations calomnieuses qu’il fait contre le régime de l’alternance pour amener les Sénégalais à se révolter. En fin de compte, renverser le pouvoir du président Abdoulaye Wade qu’il tient d’élections régulières et transparentes, toutes supervisées par des observateurs internationaux, est à l’évidence le projet auquel Abdoul Latif Coulibaly vous invite dès que vous portez un regard cru sur le point de chute de ses écrits.

Or, pour qui sait, cette question de « veille citoyenne » contre les violations de la Démocratie, de la Bonne gouvernance, des Droits humains et de l’homme sont, sous nos tropiques, à la mode. Et nous savons aujourd’hui qu’elle offre des possibilités de carrières faciles et d’appuis juteux dans l’hexagone pour des mercenaires à la recherche de notoriété et de gains accommodants tout autant qu’elle favorise la prolifération en Afrique d’ONG extraverties et de mercenaires de la plume sans foi ni loi qui font commerce de leur talent de manipulateur des perceptions.

Il s’y ajoute qu’il y a une curieuse et suspecte collusion entre ce nouveau métier pour « citoyen veilleur » de la Bonne gouvernance, des Droits de l’homme, de l’Ethique que se donnent les Abdou Latif Coulibaly et consorts et le métier de veilleur d’arrière-cour néocolonial que veulent encore se donner aujourd’hui des idéologues passéistes européocentristes qui ont inventé la compétence universelle et veulent imposer le respect des règles canoniques d’une « nouvelle religion supérieure » qui ne dit pas son nom.

La Bonne gouvernance, les Droits de l’homme, l’Ethique sont devenus malheureusement les piliers d’une nouvelle espèce de « religion supérieure » à partir de laquelle on décrète des « fatwas » contre les « mécréants » de la Démocratie et de la Bonne gouvernance. Et il est curieux de constater que ces supposés « mécréants » ne sont débusqués que dans les pays sous-développés et principalement dans les pays africains.

« Je me donne le droit d’être un intégriste de la démocratie », disait dans une radio de la place le journaliste Pape Samba Kane, un dinosaure de la presse sénégalaise très respecté et respectable, qui ne fait pas dans la dénonciation calomnieuse et la critique facile comme les Abdou Latif Coulibaly.

Si un tel journaliste aussi vigilant et brillant, intellectuellement et professionnellement parlant, a pu succomber à l’endoctrinement des idéologues de la nouvelle mission civilisatrice, on est en droit de désespérer des autres.

De toutes les façons, Abdou Latif Coulibaly et ceux qui le soutiennent parlent plus pour les simples d’esprit. Ils usent abusivement de la comparaison envieuse pour espérer créer une conscience de l’injustice chez le gorgolou sénégalais. Pour pousser ce dernier à la révolte, ils braquent leurs projecteurs sur leurs dénuements et les comparent aux dépenses d’investissement du régime de Wade dans des secteurs prioritaires stratégiques. Pour aggraver les choses ils y mettent une dose dénonciation de faux scandales de corruption. Leurs discours s’adressent ainsi à des gens qui ont une courte vue plus qu’à des hommes qui véritablement réfléchissent, scrutent les futurs possibles et donc peuvent voir, au-delà du microcosme sénégalais les défis et les enjeux auxquels les pays africains doivent faire face.

Mais ces idéologues européocentristes peuvent-ils apprendre à l’Afrique la Démocratie, les Droits de l’homme voire la Bonne gouvernance ?

L’intellectuel africain qui connaît bien l’ontologie africaine, la charte du Mandé, la charte du Kurukan Fuga ou la thèse scientifique de l’antériorité de la civilisation nègre de Cheikh Anta Diop ne peut pas se laisser prendre au piège des constructions intellectuelles qui ont accouché de ce nouveau métier de « veilleur citoyen » en Afrique par lequel des gens comme Abdou Latif Coulibaly monnayent leur talent de mercenaire de la plume à des forces étrangères à l’Afrique.

Ce n’est donc pas étonnant qu’on voit aujourd’hui, entre Abdou Latif Coulibaly, des journalistes comme Madiambal Diagne et beaucoup de personnalités de la société civile extravertie, une compétition mal dissimulée dans la dénonciation calomnieuse des projets des gouvernants africains.

Les Sénégalais ont raté l’occasion de se prémunir contre ces gens-là en profitant des bons conseils prodigués par Jean-Paul Dias qui avait très tôt et à plusieurs reprises dénoncé le rôle de mercenaire que jouent certaines ONG dans leurs railleries des gouvernants africains.

34.Posté par xer le 22/12/2009 16:02 | Alerter
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Abdou Latif Coulibaly ou la persévérance sisyphienne dans la tentative de destruction des acquis de l’alternance

Abdou Latif Coulibaly s’est donc investi, depuis l’arrivée de Maître Abdoulaye Wade au pouvoir, dans une activité constante de manipulation des perceptions des Sénégalais et de vendeur d’illusions aux seuls fins de faire souhaiter la disparition immédiate du régime issu de l’alternance et le retour rapide au pouvoir du PS néocolonial.

Il le fait avec une témérité surprenante et une persévérance sisyphienne, convaincu qu’il peut se permettre toutes les audaces dans ce pays où la liberté d’expression est constitutionnalisée par cet homme historique-là même, Maître Abdoulaye Wade qu’il pourfend.

Avec son tout dernier livre intitulé Contes et mécomptes de l’Anoci, Abdou Latif Coulibaly a encore renoué avec son habituelle pratique consistant à se cacher derrière le manteau du journaliste écrivain pour dissimuler un commerce honteux consistant à livrer au bassin des vaincus du défunt régime UPS/PS une marchandise d’injures et de discrédits du régime actuel commandée par des affairistes et des politiciens revanchards.

Ce dernier livre d’Abdou Latif Coulibaly est la parfaite illustration de ce qu’est aujourd’hui le mercenariat de la presse politico affairiste sénégalaise qui contrôle une partie de la presse privée. Une bonne partie de cette presse est, en effet, sous le contrôle d’hommes d’affaires qui, loin de vouloir faire des affaires à travers un véritable journalisme d’information, cherchent plutôt à détenir un moyen puissant de pression politique sur l’Etat pour obtenir facilement des avantages économiques et préserver leurs intérêts dans l’obtention de marchés.

Qu’est-ce qu’un organe de presse comme le Quotidien, le Populaire peut apporter en termes d’affaire à l’entrepreneur Bara Tall qui, selon Latif, supporte dans son entreprise de Btp une masse salariale mensuelle de plus d’un milliard ?

Cette intrusion de l’affairisme dans la presse privée est devenue la porte d’entrée de l’ingérence des milieux politico financiers extérieurs qui, dans le contexte de la nouvelle gouvernance mondiale, cherchent à déconstruire les leaderships panafricains comme ce fut le cas à l’époque de Nkrumah et de Cheikh Anta Diop.

Ces affairistes savent que le régime issu de l’alternance décline une politique d’investissement massif dans des secteurs prioritaires stratégiques comme l’Education et les Infrastructures conformément à la théorie wadienne de l’effet de percussion dont l’application explique les performances économiques du Sénégal sous son magistère.

Dans le contexte de la nouvelle gouvernance mondiale marquée par des tentatives de faire de l’Afrique une nouvelle zone d’opportunité pour les anciennes puissances économiques qui perdent leur position dans le monde face à des Etats/continents comme la Chine, l’Inde et le Brésil, des opportunistes qui se mettent à disposition de ces puissances s’évertuent avec leurs relais intérieurs à exposer Maître Abdoulaye Wade comme l’ennemi du nouvel ordre mondial qu’il faut abattre à tout prix, mais à l’interne.

Les coups d’Etat ne sont plus armés dans les pays où la Démocratie est avancée comme le Sénégal. La faiblesse de la Démocratie dans un pays pauvre comme le Sénégal réside dans le fait qu’il est possible d’utiliser plus facilement la guerre cognitive pour défaire des dirigeants gênants comme Abdoulaye Wade. Il suffit pour cela de contrôler des ONG fortes et le quatrième pouvoir qu’est la presse pour atteindre un tel objectif.

Ailleurs, on a cherché à liquider Lula au Brésil avec l’arme des scandales pour lui enlever le bénéfice politique des réformes qu’il avait introduites et qui ont fait la promotion des pauvres et des Noirs dans ce pays démocratique. On a tenté de faire échouer l’investiture d’Obama par les mêmes méthodes en tentant de l’entacher par le scandale qui a frappé le sénateur de Chicago. Avec les prétendus scandales que nous présentent des mercenaires comme Abdou Latif Coulibaly des puissances extérieures peuvent espérer faire échec à l’alternative wadienne au régime socialiste néocolonial qui a affaibli leurs anciens relais locaux.

Le nouvel axe de coopération qu’Abdoulaye Wade a ouvert avec les Chinois, les Indiens les Américains, les Brésiliens et les Arabes est vu d’un mauvais œil par les théoriciens européocentristes qui pilotaient de l’extérieur les politiques économiques africaines sous le régime socialiste néocolonial.

Les idées de Wade, ses propositions et ses réalisations au plan politique, économique en faveur de son pays et de l’Afrique font de lui le leader intellectuel contemporain du panafricanisme qui assume l’héritage des pères fondateurs du projet de construction des Etats Unis d’Afrique. On peut donc comprendre pourquoi il serait dangereux pour certains théoriciens du nouvel ordre mondial qui veulent exclure l’Afrique de la gestion de sa gouvernance qu’on laisse un Abdoulaye Wade consolider son leadership panafricain avec la réussite de tous ses projets structurants qui sortent de terre au Sénégal.

On veut arriver, avec des antipatriotes qui trompent les Africains en jouant, comme Abdou Latif Coulibaly, à l’excès la fibre patriotique sur des thèmes galvaudés à tout faire pour qu’Abdoulaye Wade ne soit pas l’exemple à suivre pour les dirigeants africains. Le syndrome de la liquidation de Nkrumah menace aujourd’hui son disciple Abdoulaye Wade à travers les attaques de mercenaires comme Abdou Latif Coulibaly.

Les positions panafricanistes de Wade et son influence dans les choix stratégiques des Etats africains hypothèquent sérieusement les projets d’asservissement de l’Afrique. En se portant à la tête d’une dénonciation des Accords de Partenariat Economique (APE) au sommet UE/Afrique tenu à Lisbonne et en proposant en lieu et place des Accords de Partenariat pour le Développement (APD) le président Abdoulaye Wade s’est mis au service des peuples africains. C’est pourquoi il battra comme Ignacio Lula et Barack Obama tous ses adversaires de l’intérieur comme de l’extérieur grâce au soutien du peuple sénégalais et africain.

Le peuple sénégalais sait qu’il a anticipé, en bon visionnaire, sur la crise économique mondiale consécutive à la flambée des prix du baril de pétrole en prenant l’initiative de réunir à Dakar le 27 Juillet 2006 tous les pays africains non producteurs de pétrole. Au cours de cette rencontre, réunissant tous les ministres de l’Energie des pays africains non producteurs de pétrole à l’hôtel Méridien-Président de Dakar, il a attiré leur attention sur le risque d’effondrement des économies africaines si une solution concertée n’est pas trouvée à cette hausse incontrôlée du prix du fuel et au partage juste de la rente pétrolière. Le peuple sénégalais sait donc qu’il a proposé comme solution la wade formula . Les peuples africains savent également qu’Abdoulaye Wade a été ainsi à l’avant garde de toutes les batailles en faveur du développement économique de l’Afrique et pour son unité politique en vue de créer les conditions de la réalisation des Etats Unis d’Afrique.

Dans toutes ces batailles qui accompagnent les combats du mouvement noir mondial, des gens comme Abdou Latif Coulibaly sont totalement absents.

Au plan local on n’a vu ni entendu aucun de ces mercenaires de la plume se prononcer sur l’utilité de la création de la Case des tout-petits qui est pourtant retenue par l’UNESCO comme projet universel, de l’octroi d’une bourse ou d’une aide à chaque étudiant au Sénégal, de la création de l’autoroute à péage et de l’Aéroport de Ndiass, du plan sésame , du plan Jaxaay , de la GOANA . La liste est longue.

Personne ne verra Abdou Latif Coulibaly approuver une idée ou un projet de Wade, même s’il est retenu comme modèle par les institutions internationales. Pourtant on l’a vu à, propos de l’Anoci, donner un satisfecit à Djibo Kâ pour sa gestion de l’OCI en 1991 et fusiller au même moment Karim Wade pour sa gestion du même évènement en 2008. Au contraire, il cherchera toujours à faire braquer les projecteurs sur les points faibles et erreurs marginales des projets réussis de Wade pour transformer l’approbation et le soutien attendus des Sénégalais en déception et en haine.

Abdou Latif Coulibaly fait dans la politique politicienne. Il n’éprouve plus aucune crainte à dévoiler de telles intentions. Il sait que beaucoup d’intellectuels sénégalais ont abandonné les espaces des débats à cause du terrorisme médiatique qu’il exerce en complicité avec une presse politico affairiste qui est prompte à tirer sur tout ce qui bouge du côté du pouvoir et particulièrement contre toute personne indépendante qui voudrait ouvrir la colonne de l’actif du bilan de Wade. Au vu de cela, beaucoup d’intellectuels critiques préfèrent ne plus exprimer leur opinion dans les médias. Ils évitent ainsi d’être taxés de laudateurs ou de vendus par des journalistes comme Latif.

Seuls les intellectuels militants du panafricanisme conséquents osent s’exprimer et défendre le bilan de Wade, parce qu’ils savent que la protection du leadership panafricain est un élément fondamental du mode opératoire de la stratégie de construction des Etats Unis d’Afrique.

Abdou Latif Coulibaly pense donc que la tâche lui est rendue facile par cette désertion des intellectuels critiques. Il peut dans ces conditions devenir, sans risque, un spécialiste de la déconstruction du leadership panafricain contemporain de Wade. Puisque ces intellectuels critiques ne viendront pas lui reprocher d’avoir nié l’actif intellectuel, politique et économique de Wade qui est incomparable comme l’avait fait son confrère Sidi Gaye Il croit donc ferme qu’il peut se suffire de l’idée de l’inutilité de Wade qu’il va créer dans la tête des gens par des dénonciations calomnieuses pour provoquer une clameur populaire qui fera partir Wade et son régime. Et c’est sans doute pourquoi, il a pu tolérer et même soutenir les partis politiques revanchards qui ont lancé l’IDEWA .

Animé par une haine démesurée contre les Wade, Abdou Latif Coulibaly apparaît ainsi comme quelqu’un qui est frappé de cécité. Il ne prend plus aucune précaution pour vérifier ses sources quand il attaque le régime issu de l’alternance. Il ne voit que ce qu’il veut voir. On peut même dire qu’il est frappé de surdité partielle quand il n’écoute que ceux qu’il veut écouter. Il est manifestement frappé de partialité car il ne dit que ce que disent les ennemis de Wade.

Abdou Latif Coulibaly s’est, toutefois, rendu compte que l’opposition actuelle n’arrivera pas à déstabiliser Wade. Il a alors décidé d’être l’opposition, toute l’opposition. Abdou Latif Coulibaly a décidé d’être l’intellectuel attitré de l’opposition et des ennemis de Wade et a réuni autour de lui un cercle d’intellectuels partisans », des tueurs à gages politiques qui ont pour mission aujourd’hui de terroriser toutes les voix qui s’opposent à leurs positions.

Le moins intelligent parmi ces tueurs à gages politiques qui fourmillent autour d’Abdou Latif Coulibaly est Mody Niang. Ce contributeur de presse qui sature les sites web de textes qu’on arrête de lire au premier paragraphe parce que lassants, anormalement longs et ennuyeux, a cherché à forcer le destin au crépuscule de son départ à la retraite en jouant au franc-tireur, au « flingueur automatique » pour espérer entrer dans la cour des grands auteurs de brûlots contre les Wade. La situation d’aisance financière d’Abdou Latif Coulibaly, gagnée dans la vente du portrait caricaturé de Wade au marché des vaincus de l’alternance, fait envie.

Mody Niang qui pense sans doute pouvoir ainsi réussir en imitant Abdou Latif Coulibaly cherche à se faire pitoyablement un nom en attaquant des hommes célèbres comme le professeur agrégé d’histoire Iba Der Thiam et le professeur agrégé d’économie et avocat Maître Abdoulaye Wade. Il a eu à nous faire de la publicité gratuite en nous attaquant aussi dans un pamphlet qu’il a publié pour tenter de tuer dans l’œuf un livre dont nous avions annoncé la sortie. C’est la preuve que cet élève d’Abdou Latif Coulibaly nous lit. Nous aurions voulu trouver le plus petit intérêt à le lire aussi. Quitte à nous ennuyer un peu ou nous offusquer des insultes qu’il profère contre des hommes célèbres. Mais malheureusement avec ses textes aussi indigestes au plan intellectuel, avec des phrases stéréotypées qui dénotent une paresse dans la recherche et tuent l’envie de terminer le premier paragraphe on prend difficilement le risque de faire passer un seul en travers de la gorge.

35.Posté par poil le 22/12/2009 16:04 | Alerter
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tu racontes des histoires nous avons tous écouté les débats faye mody . Faye l'a toujours écrasé. c'est pourquoi Mody Niang a écrit un opuscule pour railler les coquilles de la version hors serie du 2ème de faye pour se venger de l'erreur de la maison d'édition qui a présenté ses excuses à faye par voie de presse. Arrêter de ramener çà quand vous manquer d'arguments face aux livres de faye; il a tué définitive mody niang à la page 37 du livre réponse à Latif Coulibaly

36.Posté par jule le 22/12/2009 16:05 | Alerter
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Abdou Latif profère des insultes contre faye. IL perd la sereinité que doit avoir un intellectuel face à l'appel à un débat que lui lance Amadou Lamine Faye. Ce n'est pas avec des insultes que abdou latif convaincra les sénégalais qu'Amadou Lamine Faye ne mérite pas le respect dû à un intellectuel. Faye est à son 3 ème livre. il faut avouer quand même qu'il a une capacité d'écriture et qu'il aborde des thématiques difficiles à cerner même par un professeu d'université j'ai lu ces 3 livres. Je ne trouve pas que latif a une qualité d'écriture supérieure que lui. Les critiques de latif ne sont objectivement pas fondées

37.Posté par kiol le 22/12/2009 16:07 | Alerter
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Max ces bonnes feuilles du livre de Faye te sont destinées. Ta mauvaise foi fait rire les sénégalais

Animé par une haine démesurée contre les Wade, Abdou Latif Coulibaly apparaît ainsi comme quelqu’un qui est frappé de cécité. Il ne prend plus aucune précaution pour vérifier ses sources quand il attaque le régime issu de l’alternance. Il ne voit que ce qu’il veut voir. On peut même dire qu’il est frappé de surdité partielle quand il n’écoute que ceux qu’il veut écouter. Il est manifestement frappé de partialité car il ne dit que ce que disent les ennemis de Wade.

Abdou Latif Coulibaly s’est, toutefois, rendu compte que l’opposition actuelle n’arrivera pas à déstabiliser Wade. Il a alors décidé d’être l’opposition, toute l’opposition. Abdou Latif Coulibaly a décidé d’être l’intellectuel attitré de l’opposition et des ennemis de Wade et a réuni autour de lui un cercle d’intellectuels partisans », des tueurs à gages politiques qui ont pour mission aujourd’hui de terroriser toutes les voix qui s’opposent à leurs positions.

Le moins intelligent parmi ces tueurs à gages politiques qui fourmillent autour d’Abdou Latif Coulibaly est Mody Niang. Ce contributeur de presse qui sature les sites web de textes qu’on arrête de lire au premier paragraphe parce que lassants, anormalement longs et ennuyeux, a cherché à forcer le destin au crépuscule de son départ à la retraite en jouant au franc-tireur, au « flingueur automatique » pour espérer entrer dans la cour des grands auteurs de brûlots contre les Wade. La situation d’aisance financière d’Abdou Latif Coulibaly, gagnée dans la vente du portrait caricaturé de Wade au marché des vaincus de l’alternance, fait envie.

Mody Niang qui pense sans doute pouvoir ainsi réussir en imitant Abdou Latif Coulibaly cherche à se faire pitoyablement un nom en attaquant des hommes célèbres comme le professeur agrégé d’histoire Iba Der Thiam et le professeur agrégé d’économie et avocat Maître Abdoulaye Wade. Il a eu à nous faire de la publicité gratuite en nous attaquant aussi dans un pamphlet qu’il a publié pour tenter de tuer dans l’œuf un livre dont nous avions annoncé la sortie. C’est la preuve que cet élève d’Abdou Latif Coulibaly nous lit. Nous aurions voulu trouver le plus petit intérêt à le lire aussi. Quitte à nous ennuyer un peu ou nous offusquer des insultes qu’il profère contre des hommes célèbres. Mais malheureusement avec ses textes aussi indigestes au plan intellectuel, avec des phrases stéréotypées qui dénotent une paresse dans la recherche et tuent l’envie de terminer le premier paragraphe on prend difficilement le risque de faire passer un seul en travers de la gorge.

Mody Niang s’est jeté sur l’exemplaire d’un petit lot de la version hors série de notre livre intitulé Comprendre l’alternative wadienne. Il s’est empressé, comme savent le faire les opportunistes, d’exploiter les erreurs manifestes et évidentes de saisie du manuscrit, qui ont échappé au contrôle du réviseur sur la chaîne de production, ce qui a fait qu’il existe un lot hors série et un lot certifié avec un numéro ISBN propre à la maison d’édition. Il a choisi de nous discréditer, en produisant dans une précipitation méphistophélique un livre-réponse dont l’unique objet est de railler des coquilles contenues dans les exemplaires hors série. Il a cherché ainsi à tuer bassement et par anticipation l’intérêt de la lecture de la bonne version. Mody Niang a pensé sans doute m’avoir blessé par ses critiques portant sur la forme de notre livre hors série. Il s’est comporté comme un petit écolier qui découvre la grammaire mais qui éprouve des difficultés dans l’interprétation du contenu d’un livre qui le dépasse. Il a agit comme un pot vide qui résonne mais ne raisonne pas parce que n’étant pas un homme de contenu. Aussi a-t-il maladroite cherché à camoufler ses insuffisances intellectuelles par la recherche de l’élégance du style pour que n’apparaisse point sa carence d’homme vide en lecture de contenu.
Ils ont été d’ailleurs très nombreux les contributeurs de presse intervenant par exemple sur le site alpha2.info/ qui ont cherché à comprendre l’empressement de Mody Niang à nous attaquer non pas curieusement sur notre premier ouvrage, qui lui est sorti en mars 2005, mais sur la mauvaise version de notre deuxième livre.
Nous avions décidé d’afficher, en guise de réponse, un silence méprisant sachant que Mody Niang cherche, comme à ses habitudes, à être célèbre en attaquant des hommes publics qui se distinguent dans la défense des acquis de l’alternance. Quand on connaît cet homme, on ne peut pas se permettre de l’élever à la dignité de mériter une réplique publique directe d’un intellectuel. C’est pourquoi il attend désespérément des réponses de notre part à ses attaques qui ne viendront jamais et aussi celles d’hommes publics victimes de ses quolibets dans la presse. Son tout petit livre où il s’est pitoyablement embourbé en montrant son incapacité à relever le défi de l’écrit sans fautes de français a, néanmoins, subi une sévère correction de la part des internautes du site alpha2.info. Ils se sont fait le plus grand plaisir de lui jeter sur la figure les nombreuses coquilles de son livre comme pour lui dire : qui cherche trouve.

38.Posté par oirt le 22/12/2009 16:08 | Alerter
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De 1870 à 2000, c’est-à-dire sous les régimes qui ont fonctionné au Sénégal selon les modèles d’adaptation aux fondamentaux coloniaux et néocoloniaux, 19 lycées ont été créés dans ce pays, contre 36 en 5 ans sous le régime issu de l’alternance. De plus, ce régime est le seul au monde qui injecte dans le secteur de l’éducation 40% du budget national. Et de tous les pays de la planète, il est encore celui, sinon fait partie d’un des rares qui donnent une bourse ou une aide à chaque étudiant de ses Universités.

Face à une telle supériorité dans la capacité de réalisation, une partie de la presse privée politico affairiste préfère braquer ses projecteurs sur les grèves intempestives des enseignants. Et avec force commentaires, elle voue aux gémonies l’auteur d’une telle prouesse. Voilà comment une presse politico affairiste a préféré choisir de polluer les esprits des citoyens plutôt que d’informer sur les faits montrant la volonté politique du président Abdoulaye Wade de réduire les gaps historiques dans ce secteur prioritaire stratégique.

Dans le secteur de l’énergie, son soutien mal dissimulé aux manifestations politisées contre les coupures d’électricité exagérément amplifiées ont fini de faire méconnaître le rythme et la vitesse inégalés avec lesquels le régime de l’alternance progresse dans la réduction du déficit de capacité de production d’électricité laissé en héritage par l’ancien régime.

Pour connaître de manière plus précise comment dans ce secteur le régime de l’alternance distance encore tous les régimes qui l’ont précédé, il suffit de comparer la « puissance installée dans notre pays du temps des Français jusqu’en 2000 en passant donc par Senghor et Abdou Diouf » à celle de l’alternance. On verrait que le bilan de la totalité des régimes coloniaux et néocoloniaux montre, pour plus de 50 ans de règne, une capacité d’installation de 300 MW face aux 230 MW ajoutés en 9 ans depuis 2000 par le régime de Wade. Mieux, ce régime a réussi l’exploit de construire, durant cette période de la plus grave crise pétrolière et financière, plusieurs centrales .

On pourrait poursuivre cette comparaison secteur par secteur et prouver que les acquis en 9 ans obtenus par le régime de l’alternance dépassent, sensiblement, dans les mêmes proportions, ceux du régime socialiste néocolonial en 50 ans de règne.

Quand on sait tout cela, peut-on honnêtement oser ramener toute la politique conduite par Maître Abdoulaye Wade depuis le 19 Mars 2000 à une incurie ?

Peut-on, si on est sérieux et qu’on respecte l’intelligence des Sénégalais, réduire à rien d’utile tout ce que cet homme historique a proposé depuis qu’il était le président du Comité des Experts de l’OUA et tout ce qu’il a réalisé pour le Sénégal et l’Afrique quand il est arrivé au pouvoir en 2000 ?

Peut-on moralement accepter que des mercenaires de la plume puissent dire qu’ils sont animés « par l’unique souci d’abréger la souffrance des populations », qui subiraient de la part du régime de Wade plus qu’il ne serait supportable pour un peuple debout « une mal gouvernance », « un amateurisme » éculé et s’en servir comme prétexte pour appeler à son départ et appuyer cela par de fausses révélations de scandales.

Peut-on, si on est un intellectuel et un patriote, laisser ainsi faire détester cet homme historique, Maître Abdoulaye Wade qui a transformé un Sénégal néocolonial en un modèle de « développement autonome harmonisé à croissance accélérée » après 26 ans de lutte pour le changement, sans réagir , de peur d’être attaqué par des tueurs à gages politiques, des francs-tireurs, des « flingueurs automatiques » prompts à vous traiter de courtisan du roi voire de laudateur ?

C’est pourtant à un tel exercice difficile que des gens comme Abdou Latif Coulibaly se livrent en usant de tous ces faux alibis.

Abdou Latif Coulibaly fait partie des journalistes politico affairistes sénégalais qui cherchent à faire regretter l’ancien régime UPS/PS que les citoyens ont vomi le 19 Mars 2000. Dans toutes ses publications, il présente, dans un langage ombrageux, l’alternative wadienne au régime de l’UPS/PS comme quelque chose d’inutile et de dangereux pour ce pays.

Selon un proverbe, « si le singe ose jeter la pierre sur le lion, c’est parce qu’il est à côté d’un arbre ». C’est pour dire simplement que si des mercenaires déconnectés du combat panafricain, qui ne sont que la partie visible de l’iceberg d’une armée de réserve engagée dans une guerre cognitive contre le processus de transformation de l’ordre socialiste néocolonial, osent diffamer le régime de l’alternance, c’est parce qu’ils s’appuient sur un bassin politique revanchard constitué par les vaincus de l’alternance en intelligence avec un groupe de veille international contre le développement de l’Afrique.

Voilà la problématique de fond qui explique le sens et les objectifs du combat de plumitifs comme Abdou Latif Coulibaly. Ce monsieur fait partie des gens qui veulent se présenter comme les champions d’une veille sur la Bonne gouvernance, la Démocratie et les Droits humains. Il s’agit d’individus qui tentent de dissimuler, de cette manière, leur rôle d’auxiliaire d’une opposition nostalgique du pouvoir. L’une des marques distinctives de ces gens est le fait qu’ils ont perdu l’honnêteté de reconnaître que le Sénégal sous Wade figure dans le top des pays africains qui se distinguent dans la lutte pour la Démocratie, la Bonne gouvernance, contre la corruption et les violations des Droits de l’homme. Aussi tentent-ils de faire ignorer que le plus parfait démenti de leur dénonciation calomnieuse du Sénégal sous Wade est l’éligibilité de notre pays à l’African Growth and Opportunity Act (AGOA) et au Millenium Challenge Account (MCA). Tout ceci montre qu’avec des « aiguilleurs d’opinion » autoproclamés comme Abdou Latif Coulibaly, on a affaire à une problématique de guerre cognitive visant à saboter les acquis de l’alternance pour créer les conditions d’un retour rapide au pouvoir du PS néocolonial.

Cette problématique trouve paradoxalement ses meilleures explications dans l’analyse du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) que nous présentons ci-dessous. Elle a été faite à l’époque où ce parti politique n’avait pas trahi son combat contre le régime du PS néocolonial. Le PIT qui s’était engagé autour du leadership de Wade pour instaurer une alternative à un tel régime qu’il qualifiait « d’ordre néocolonial de régression politique, économique et démocratique » relevait dans une de ses thèses présentées au congrès de 1990 ceci :

« Le monopole exercé sur l’appareil d’Etat par l’ UPS/PS depuis près de trente ans ( 40 ans à la date de mars 2000) a permis à ce parti de tisser de multiples liens visibles et invisibles constituant mieux que ses structures de parti, des relais efficaces pour son action.
Cette situation assure à l’UPS/PS d’importantes réserves qui lui permettent non seulement de résister encore face au peuple mais aussi en cas de défaite, de paralyser durablement l’action d’un nouveau régime qui n’aurait pas su définir une attitude judicieuse à son égard.
Tout parti (ou coalition de partis) désireux de gouverner demain le pays dans l’efficacité et la stabilité, devra adopter à l’égard de l’UPS/PS une stratégie qui ne lui permet pas une fois passé dans l’opposition, d’utiliser ses relais dans l’appareil politique et économique du pays mais aussi au sein de la société, pour saboter l’action du nouveau régime, pour retarder ses résultats positifs au profit des masses ; donc pour affaiblir progressivement leur soutien à cette action en s’aménageant ainsi la possibilité d’un retour triomphal au pouvoir.
À l’évidence, ni l’exclusion, ni la répression ne saurait constituer une parade efficace à cette éventualité ».

La pertinence et l’actualité de cette analyse du PIT trouvent leur pleine confirmation dans la mauvaise querelle que l’opposition revancharde, qui répond au nom de Benno siggil Sénégal , fait aujourd’hui au pouvoir issu de l’alternance sur la question de la gouvernance politique, économique et démocratique. Cette opposition que des patriotes panafricanistes préfèrent appeler Benno segueul Sénégal cherche à discréditer à l’extérieur l’alternance et à l’affaiblir à l’intérieur. Pour y parvenir, elle s’appuie sur ses relais implantés, à la faveur du long règne du Parti-Etat qu’était le PS néocolonial, dans l’administration, dans la société et dans les organisations internationales. Elle bénéfice également dans sa lutte contre le régime de l’alternance de l’aide des rejetons de la classe politico bureaucratique, créée par l’économie néocoloniale dualiste et extravertie du PS, qui contrôlent aujourd’hui la presse privée politico affairiste actuelle et les ONG extraverties. Nous allons tenter dans ce livre de rendre lisibles et intelligibles au peuple sénégalais les enjeux de cette guerre cognitive que mènent ces réservistes de l’armée défaite du PS néocolonial en collusion avec un ordre de veille international européocentriste. Nous allons montrer comment ils s’opposent ensemble au développement de l’Afrique et veulent forcer au Sénégal le retour au pouvoir de la famille du PS néocolonial à partir d’une déconstruction du leadership panafricain contemporain de Maître Abdoulaye Wade.

39.Posté par tcir le 22/12/2009 16:09 | Alerter
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Moi aussi j'ai lu et entendu plusieurs fois amadou lamine faye à la radio et à la télévision. Cet homme que j'ai lu et entendu est d'un niveau supérieur à Abdou Latif Coulibally. Tous ses livres que j'ai lus ont un continu scientifique. Il a pu établir un lien argumenté et démontré entre des faits d'histoire, de psychologie, de sociologie, d'éconmie et de politique sans verser dans l'injure et la critique facile. Ce n'est pas le cas de Abdou Latif Coulibaly qui reste dans tous ses écrits sur une meme rubrique et thématique: Abdoulaye wade et sa famille. A part insulter les wades semble ne savoir rien faire d'autre. C'est wade sa matière. Il vit et se sucre avec le portrait caricaturé de wade et de sa famille. LATIF ne convaincra personne en insultant faye qui l'invite au débat.

40.Posté par esctui le 22/12/2009 16:10 | Alerter
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Tu as raison mon cher. les bonnes feuilles extraites du livre de amadou lamine faye qui traite latif Coulibaly de mercenaire de la nouvelle mission civilisatrice m'ont convaincu que les forumistes qui dénigrent Faye veulent trouver une excuse à latif qui fuit le débat et veut le tuer par des insultes. Nous voulons pas ici d'une foire aux insultes. Pour nous, c'est le contenu des livres des deux auteurs qui interesse les sénégalais. Nous n'avons pas besoin de donneurs de leçons en matière d'écriture du français. c'est pour noyer le poisson. Jugeons par nous même sans l'aide de personne les ouvrages des deux auteurs qui méritent cahcun du respect pour avoir écrit chacuns le même nombre de livres

41.Posté par kdea le 22/12/2009 16:13 | Alerter
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De 1870 à 2000, c’est-à-dire sous les régimes qui ont fonctionné au Sénégal selon les modèles d’adaptation aux fondamentaux coloniaux et néocoloniaux, 19 lycées ont été créés dans ce pays, contre 36 en 5 ans sous le régime issu de l’alternance. De plus, ce régime est le seul au monde qui injecte dans le secteur de l’éducation 40% du budget national. Et de tous les pays de la planète, il est encore celui, sinon fait partie d’un des rares qui donnent une bourse ou une aide à chaque étudiant de ses Universités.

Face à une telle supériorité dans la capacité de réalisation, une partie de la presse privée politico affairiste préfère braquer ses projecteurs sur les grèves intempestives des enseignants. Et avec force commentaires, elle voue aux gémonies l’auteur d’une telle prouesse. Voilà comment une presse politico affairiste a préféré choisir de polluer les esprits des citoyens plutôt que d’informer sur les faits montrant la volonté politique du président Abdoulaye Wade de réduire les gaps historiques dans ce secteur prioritaire stratégique.

Dans le secteur de l’énergie, son soutien mal dissimulé aux manifestations politisées contre les coupures d’électricité exagérément amplifiées ont fini de faire méconnaître le rythme et la vitesse inégalés avec lesquels le régime de l’alternance progresse dans la réduction du déficit de capacité de production d’électricité laissé en héritage par l’ancien régime.

Pour connaître de manière plus précise comment dans ce secteur le régime de l’alternance distance encore tous les régimes qui l’ont précédé, il suffit de comparer la « puissance installée dans notre pays du temps des Français jusqu’en 2000 en passant donc par Senghor et Abdou Diouf » à celle de l’alternance. On verrait que le bilan de la totalité des régimes coloniaux et néocoloniaux montre, pour plus de 50 ans de règne, une capacité d’installation de 300 MW face aux 230 MW ajoutés en 9 ans depuis 2000 par le régime de Wade. Mieux, ce régime a réussi l’exploit de construire, durant cette période de la plus grave crise pétrolière et financière, plusieurs centrales .

On pourrait poursuivre cette comparaison secteur par secteur et prouver que les acquis en 9 ans obtenus par le régime de l’alternance dépassent, sensiblement, dans les mêmes proportions, ceux du régime socialiste néocolonial en 50 ans de règne.

Quand on sait tout cela, peut-on honnêtement oser ramener toute la politique conduite par Maître Abdoulaye Wade depuis le 19 Mars 2000 à une incurie ?

Peut-on, si on est sérieux et qu’on respecte l’intelligence des Sénégalais, réduire à rien d’utile tout ce que cet homme historique a proposé depuis qu’il était le président du Comité des Experts de l’OUA et tout ce qu’il a réalisé pour le Sénégal et l’Afrique quand il est arrivé au pouvoir en 2000 ?

Peut-on moralement accepter que des mercenaires de la plume puissent dire qu’ils sont animés « par l’unique souci d’abréger la souffrance des populations », qui subiraient de la part du régime de Wade plus qu’il ne serait supportable pour un peuple debout « une mal gouvernance », « un amateurisme » éculé et s’en servir comme prétexte pour appeler à son départ et appuyer cela par de fausses révélations de scandales.

Peut-on, si on est un intellectuel et un patriote, laisser ainsi faire détester cet homme historique, Maître Abdoulaye Wade qui a transformé un Sénégal néocolonial en un modèle de « développement autonome harmonisé à croissance accélérée » après 26 ans de lutte pour le changement, sans réagir , de peur d’être attaqué par des tueurs à gages politiques, des francs-tireurs, des « flingueurs automatiques » prompts à vous traiter de courtisan du roi voire de laudateur ?

C’est pourtant à un tel exercice difficile que des gens comme Abdou Latif Coulibaly se livrent en usant de tous ces faux alibis.

Abdou Latif Coulibaly fait partie des journalistes politico affairistes sénégalais qui cherchent à faire regretter l’ancien régime UPS/PS que les citoyens ont vomi le 19 Mars 2000. Dans toutes ses publications, il présente, dans un langage ombrageux, l’alternative wadienne au régime de l’UPS/PS comme quelque chose d’inutile et de dangereux pour ce pays.

Selon un proverbe, « si le singe ose jeter la pierre sur le lion, c’est parce qu’il est à côté d’un arbre ». C’est pour dire simplement que si des mercenaires déconnectés du combat panafricain, qui ne sont que la partie visible de l’iceberg d’une armée de réserve engagée dans une guerre cognitive contre le processus de transformation de l’ordre socialiste néocolonial, osent diffamer le régime de l’alternance, c’est parce qu’ils s’appuient sur un bassin politique revanchard constitué par les vaincus de l’alternance en intelligence avec un groupe de veille international contre le développement de l’Afrique.

Voilà la problématique de fond qui explique le sens et les objectifs du combat de plumitifs comme Abdou Latif Coulibaly. Ce monsieur fait partie des gens qui veulent se présenter comme les champions d’une veille sur la Bonne gouvernance, la Démocratie et les Droits humains. Il s’agit d’individus qui tentent de dissimuler, de cette manière, leur rôle d’auxiliaire d’une opposition nostalgique du pouvoir. L’une des marques distinctives de ces gens est le fait qu’ils ont perdu l’honnêteté de reconnaître que le Sénégal sous Wade figure dans le top des pays africains qui se distinguent dans la lutte pour la Démocratie, la Bonne gouvernance, contre la corruption et les violations des Droits de l’homme. Aussi tentent-ils de faire ignorer que le plus parfait démenti de leur dénonciation calomnieuse du Sénégal sous Wade est l’éligibilité de notre pays à l’African Growth and Opportunity Act (AGOA) et au Millenium Challenge Account (MCA). Tout ceci montre qu’avec des « aiguilleurs d’opinion » autoproclamés comme Abdou Latif Coulibaly, on a affaire à une problématique de guerre cognitive visant à saboter les acquis de l’alternance pour créer les conditions d’un retour rapide au pouvoir du PS néocolonial.

Cette problématique trouve paradoxalement ses meilleures explications dans l’analyse du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) que nous présentons ci-dessous. Elle a été faite à l’époque où ce parti politique n’avait pas trahi son combat contre le régime du PS néocolonial. Le PIT qui s’était engagé autour du leadership de Wade pour instaurer une alternative à un tel régime qu’il qualifiait « d’ordre néocolonial de régression politique, économique et démocratique » relevait dans une de ses thèses présentées au congrès de 1990 ceci :

« Le monopole exercé sur l’appareil d’Etat par l’ UPS/PS depuis près de trente ans ( 40 ans à la date de mars 2000) a permis à ce parti de tisser de multiples liens visibles et invisibles constituant mieux que ses structures de parti, des relais efficaces pour son action.
Cette situation assure à l’UPS/PS d’importantes réserves qui lui permettent non seulement de résister encore face au peuple mais aussi en cas de défaite, de paralyser durablement l’action d’un nouveau régime qui n’aurait pas su définir une attitude judicieuse à son égard.
Tout parti (ou coalition de partis) désireux de gouverner demain le pays dans l’efficacité et la stabilité, devra adopter à l’égard de l’UPS/PS une stratégie qui ne lui permet pas une fois passé dans l’opposition, d’utiliser ses relais dans l’appareil politique et économique du pays mais aussi au sein de la société, pour saboter l’action du nouveau régime, pour retarder ses résultats positifs au profit des masses ; donc pour affaiblir progressivement leur soutien à cette action en s’aménageant ainsi la possibilité d’un retour triomphal au pouvoir.
À l’évidence, ni l’exclusion, ni la répression ne saurait constituer une parade efficace à cette éventualité ».

La pertinence et l’actualité de cette analyse du PIT trouvent leur pleine confirmation dans la mauvaise querelle que l’opposition revancharde, qui répond au nom de Benno siggil Sénégal , fait aujourd’hui au pouvoir issu de l’alternance sur la question de la gouvernance politique, économique et démocratique. Cette opposition que des patriotes panafricanistes préfèrent appeler Benno segueul Sénégal cherche à discréditer à l’extérieur l’alternance et à l’affaiblir à l’intérieur. Pour y parvenir, elle s’appuie sur ses relais implantés, à la faveur du long règne du Parti-Etat qu’était le PS néocolonial, dans l’administration, dans la société et dans les organisations internationales. Elle bénéfice également dans sa lutte contre le régime de l’alternance de l’aide des rejetons de la classe politico bureaucratique, créée par l’économie néocoloniale dualiste et extravertie du PS, qui contrôlent aujourd’hui la presse privée politico affairiste actuelle et les ONG extraverties. Nous allons tenter dans ce livre de rendre lisibles et intelligibles au peuple sénégalais les enjeux de cette guerre cognitive que mènent ces réservistes de l’armée défaite du PS néocolonial en collusion avec un ordre de veille international européocentriste. Nous allons montrer comment ils s’opposent ensemble au développement de l’Afrique et veulent forcer au Sénégal le retour au pouvoir de la famille du PS néocolonial à partir d’une déconstruction du leadership panafricain contemporain de Maître Abdoulaye Wade.

42.Posté par xervi le 22/12/2009 16:13 | Alerter
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Contes et mécomptes de l’ANOCI : Et si Latif contait ses mécomptes. (Réponse technique à Abdou Latif Coulibaly de Mamadou Sall consultant.

Quand j’ai entendu l’annonce de la parution de « Contes et mécomptes de l’Anoci », ma première réaction fut de dire : enfin on va savoir. Mais au fur et à mesure des déclarations de Latif, notamment la réfection du Méridien à 26 milliards, la déception remplaça petit à petit l’euphorie car je trouvais de plus en plus légers les arguments de Latif. Cependant j’étais en face d’un dilemme : comment montrer mon désaccord d’avec Latif sans défendre Karim. Etant par principe contre toute dévolution monarchique du pouvoir, il m’apparut difficile d’écrire contre Latif.

Je me mis alors à lire le livre. Finalement c’est Latif qui va me pousser à réagir quand il écrit : « Sauf qu’on n’a jamais vu dans l’histoire un peuple mener spontanément un combat essentiel. Il a toujours eu besoin d’une élite qui le conduit, l’encadre sur ce chemin et l’amène éventuellement vers des victoires décisives » (page 17). Pour paraphraser Latif « nous prenons la parole pour participer à un débat nécessaire et utile pour l’avenir de ce pays. Sans aucune prétention. Et sans rancœur » (page 20).

1) Quand Latif se la raconte
J’ai d’abord écouté Latif dans le face à face censuré avec Pape Alé de 2STV où il affirme qu’il avait demandé à un de ses amis de vérifier aux USA s’il y’avait un appareil photo qui coûte 9 millions de FCFA. Verdict de son ami : l’appareil le plus cher aux USA, où se trouve d’après Latif le must des produits, coûte 4 millions de FCFA. Comme je n’ai pas d’ami aux USA qui connaît les prix de tous les appareils photo, j’ai fait plus simple : je suis allé sur le net. Verdict : j’ai trouvé des appareils photo qui coûtaient beaucoup plus chers (exemple : le Hasselblad H3DII-50 coûte 31 900 euros soit 21 millions de FCFA).
Il ne s’agit pas ici pour moi de justifier l’achat d’un appareil photo à 9 millions, ceux qui l’ont acheté se justifieront, mais il faut dire que certaines affirmations de Latif sont infondées. Le dire devient un devoir citoyen.

De la même manière Latif parle de 450 millions de FCFA dépensés en communication dans le golfe. Pour comparer il dit à Pape Alé Niang, qu’avec 100 millions l’ANOCI aurait pu louer un satellite. Cette déclaration est surprenante pour un spécialiste de la communication comme Latif. En effet qui suivrait des émissions diffusées par satellite sur un canal de l’ANOCI ? Pour communiquer on a besoin de support visible et comment mieux se faire voir dans le golfe si ce n’est par Al Jazeera ? Latif le confirme dans son livre en parlant de reportages sur Al Jazeera, mais si on connaît le coût de la minute sur les chaînes internationales, 450 millions en 4 ans ce n’est pas cher payé. Et je ne crois pas que Latif ignore cela.

On pourrait parler des autres dépenses de l’ANOCI mais je pense que les responsables de l’Agence le feront car c’est eux qui peuvent expliquer l’opportunité des dépenses de fonctionnement.
Je dois aussi parler de cette conversation entre Abdoulaye Diop et Karim Wade de la page 135, une conversation au téléphone. Comme Latif dit que sa source n’est pas Abdoulaye Diop, je me suis demandé comment la tierce personne qui a sourcé Latif a pu entendre Karim. Peut être que Diop avait mis son téléphone en mode haut parleur ?

43.Posté par sira le 22/12/2009 16:14 | Alerter
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S’il y a un passage du livre qui a intéressé les sénégalais, c’est bien la réfection du Méridien Président. Il faut d’abord rendre justice aux responsables de l’ANOCI sur ce point : ils ne voulaient pas tenir leur sommet au Méridien Président symbole du régime socialiste. D’ailleurs ils avaient déjà lancé une manifestation d’intérêt pour la construction d’un centre de conférence (voir l’appel d’offres dans Jeune Afrique n° 2374 du 9 au 15 Juillet 2006). C’est le bailleur l’Arabie Saoudite qui le leur a imposé et qui a choisi son entreprise pour la réfection et à l’époque on se souvient des railleries de la presse et de l’opposition pour ce qui sonnait comme un constat d’échec et d’humiliation : tenir le sommet dans l’hôtel construit par les socialistes.
Mais sur cette réfection Latif se contredit. Il dit dans sa conférence de presse qu’on ne peut pas le convaincre que l’hôtel a été réfectionné à 26 milliards. Cependant dans son livre il dit la même chose et le contraire. Page 138 : « 26 milliards pour rénover un hotel, il y avait de quoi bâtir un réceptif cinq étoiles… ». Page 150 « Il a été prélevé de ce montant14, 210 milliards de FCFa pour rénover le Méridien Président… ».

Alors la question est simple : 26 ou 14,210 milliards ? Latif y répond page 150 « Le reliquat de cette somme 11,790 milliards de FCFA a été utilisé pour des travaux d’embellissement, de décoration et d’aménagement paysager concernant les ouvrages construits dans la ville… ».
C’est Latif aussi qui parle de 26 milliards tirés du budget du ministère de l’Urbanisme alors qu’il dit plus haut que ces 26 milliards correspondent au don de 26 milliards de l’Arabie Saoudite.

On retrouve aussi les contradictions de Latif quand il parle des artistes sénégalais écartés de la décoration du Méridien Président et pourtant c’est le même Latif qui nous apprend que les artistes sénégalais comme Solly Cissé ont gagné des marchés de décoration.
D’ailleurs Latif trouve qu’on a payé trop cher ces artistes. Il donne l’exemple de la décoration du giratoire de la mosquée de la divinité pour 53 millions. Il se demande ce qui a pu coûter une telle somme dans ce qu’il appelle « un amas de pierre » ? Il est clair qu’il sera difficile de convaincre mes oncles du Fouta que cet amas ait pu coûter 53 millions mais un intellectuel comme Latif, homme de ce monde, sait ce qu’est une œuvre d’art. Il sait aussi que le prix de l’œuvre d’art n’est pas seulement le coût du béton.

Mais notre grand Latif n’est pas à une contradiction près, ni à une approximation prés. Les dépenses de l’ANOCI sont estimées à 308 milliards à la page 156, ensuite 307 milliards à la page 212 et 205 milliards à la page 217.

Il est vrai qu’il inclut quand il veut le prix des terres mais depuis quand un promoteur hôtelier achète-t-il ses terres au Sénégal pour construire un nouvel hôtel ? Et si on devait évaluer les terres allons nous les évaluer au prix du marché pour construire des maisons ou au prix du décret (4000 francs le m2) ?

C’est vrai aussi pour le cas du tronçon de l’autoroute à péage Malick Sy Patte d’oie construit par Bara Tall qui coûte 23 milliards à la page 183 puis 25 milliards à la page 196. On peut aussi parler des hôtels construits grâce à l’ANOCI que Latif estime à trois à la page 133 :
Radisson, Terrou bi et Sea Plaza alors qu’à la page 24 il avait parlé de deux hôtels : Terrou bi et Sea Plaza. Peut être qu’il ne se rend pas compte que Sea Plaza et Radisson c’est le même hôtel.

C’est le cas aussi quand Latif parle de 3 chantiers sur 9. En réalité sur les neuf chantiers il n’y a que deux qui ne sont pas en voie de réalisation : c’est le prolongement des deux voies de Liberté 6 vers Yoff et les routes du centre ville. La route de Ouakam a été attribuée au groupement CSE/SINCO tandis que les routes de l’aéroport, du virage, de la corniche des Almadies et hôtel océan sont attribuées à Eiffage et la bretelle Lamine Gueye Place du tirailleur a été commencée par Eiffage, les travaux ont été arrêtés à cause de la dette intérieure.

Et l’ANOCI annonce même un projet routier qui n’était pas retenu et qui a trouvé un financement du fonds d’Abu Dhabi : c’est la Route nationale 1 de la place du millénaire en passant par Cyrnos, la route de Rufisque, contournement de Rufisque et doublement de la voie Diamniadio Diass pour 105 milliards. Cela réglerait beaucoup de problèmes aux sénégalais s’ils le réalisent.

Latif est aussi dans ses contradictions quand il justifie les dépenses de 60 millions de Pathé Ndiaye à l’époque directeur du Port. Il dit que la villa rénovée à 60 millions a été valorisée à 200 millions comme si le Port était une société immobilière. Dans le même temps il dénonce le budget de fonctionnement de l’ANOCI. Si on suit son raisonnement, ne peut-on pas rétorquer que les 18 milliards de budget de fonctionnement de l’ANOCI sont « valorisés » par les 432 milliards mobilisés (ou 172 milliards selon Latif) ?

3) Aliou Sow vs Bara Tall

Latif parle aussi des surfacturations probables sur les travaux routiers. Comme CDE appartient à des Libanais, Eiffage à des Français je me suis intéressé au marché qui concernait un Sénégalais bon teint comme Bara Tall : le marché de la VDN gagné par Alioune Sow de CSE. C’est Latif qui parle d’Alioune Sow à la page 81 en le décrivant comme étant rigoureux et droit.

Alioune Sow et Bara Tall ont eu des trajectoires parallèles à partir de la fin des années 90.

Vers la fin des années 90 c’est CSE de Alioune Sow qui gagne les marchés et JLS de Bara Tall (encore simple dirigeant) qui va vers la faillite. Puis Bara Tall aide les socialistes à battre Idrissa Seck à Thiès et c’est JLS qui revit. L’alternance survient, Bara Tall devient ami à Idrissa Seck et Karim Wade, il peut racheter JLS, gagner les marchés publics et commencer son ascension. Dans le même temps, on a raconté (qui était le mouchard ?) à Wade qu’Alioune Sow était le bailleur du PS (page 81) et CSE ne gagne plus de marchés publics. Alioune Sow se replie dans la sous-région où il fait aujourd’hui 60 % de son chiffre d’affaires. Quand les problèmes Wade, Idy et Bara Tall surviennent c’est le retour en grâce de Alioune Sow et CSE recommence à gagner les marchés et le début de la fin pour Bara Tall qui tente alors d’aller vers la sous-région mais apparemment ce n’est pas une réussite. Dans la sous région il n’est pas compétitif comme CSE car il avoue faire maintenant 0 franc de chiffre d’affaires.

Cette comparaison est importante car Latif compare le marché de la VDN avec les chantiers de Thiès. Cependant Latif fait de mauvais calculs pour trouver le coût du km de route sur la VDN : il agrège tout, la route, les ponts, l’aménagement paysager, les passerelles, les trottoirs, l’assainissement dans ses calculs. Or sur la VDN d’après Latif (page 100 et 101) la voirie a coûté 8,126 milliards et les ouvrages d’art (échangeurs) 11,8 milliards. Si on veut comparer avec les chantiers de Thiès on ne tient compte que de la voirie car à Thiès je n’ai pas vu d’échangeur. Comme la VDN fait 7 km et la route étant en 2 fois trois voies on se retrouve avec 14 km de route. Si on divise 8,126 milliards par 14 on obtient 580,430 millions le km de route. Si on tient compte du fait que cette route est en 3 voies dont un tiers plus large que la normale on multiplie par le coefficient 2/3 pour avoir le coût du km s’il était comme à Thiès en 2 voies et surprise on se retrouve avec : 388, 888 millions le km de route soit presque le même prix que l’estimation des enquêteurs de l’IGE qui avait estimé qu’à Thiès le km de route devait coûter 383 millions. On est bien loin des 4,5 milliards le km de route qu’annonce Latif dans son livre.
En réalité si Latif voulait faire une comparaison sérieuse il devait comparer le chantier de la VDN avec le premier tronçon Malick Sy -Patte d’oie de l’autoroute à péage construit par Bara Talla en groupement avec les Chinois de Henan Chine. Les deux chantiers ont à peu prés les mêmes caractéristiques : 7 kms, trois échangeurs et deux fois trois voies. L’autoroute a été attribuée à Bara Tall à 23 ou 25 milliards (d’après Latif) et la VDN a d’abord été attribuée à 19 milliards avant que des avenants ne portent l’enveloppe globale à 27 milliards y compris 2 milliards pour l’aménagement paysager. Si on enlève les deux milliards de l’aménagement paysager on tombe sur presque le même chiffre que les travaux de Bara Tall sur l’Autoroute. Si donc Alioune Sow a surfacturé sur la VDN que devons nous en déduire pour le « Très Grand Patriote Bara Tall » ?

4) OCI 1991 vs OCI 2008

Latif parle du sommet de l’OCI de 1991 comme d’un sommet ayant connu un succès éclatant à la page 59 : « Le sommet de 1991 fut un éclatant succès organisationnel et diplomatique. Il le fut à tout point de vue ». Pourtant c’est le même Latif qui parle à la page 61 de la colère du Président Abdou Diouf s’adressant à un journaliste du quotidien Le Monde : « Je considère pour ma part que les arabes n’ont que du mépris culturel pour nous autres africains ». Qu’est-ce qui a pu motiver une si terrible colère du posé Abdou Diouf pour faire une déclaration pareille ? Le succès diplomatique éclatant du sommet de 1991 ?

Et Latif parle de bilan du sommet de 1991. Il le sait : il n’y a jamais eu de bilan et ce n’est pas une interview accordée à deux journalistes privés qui ne connaissent rien des chiffres du sommet ou le vote les yeux fermés d’une loi de règlement 7 ans plus tard dans un assemblée dominée par le PS qui va tenir de bilan. Pourquoi une interview avec Latif et Kassé et une loi de règlement votée les yeux fermés par des députés pourraient être considérés comme un bilan et un débat Karim – Tanor et un passage de l’ANOCI devant le parlement non ?
Pouvons-nous attendre 2015 alors pour voter une loi de règlement où se perdraient les chiffres de l’ANOCI ? Karim peut il appeler Pape Alé et Omar Gningue pour faire son bilan et ainsi se passer d’un audit externe indépendant comme le réclament les Sénégalais ? Les socialistes avaient-ils fait un audit interne et un audit externe en 1991 ? Pourquoi ceux qui ont voté les lois de règlement de 1991 à 1998 n’ont pas vu qu’il y avait des licences de pêche frauduleuses à l’époque ? Et pourtant ils ont donné un quitus à la gestion socialiste de la période.

44.Posté par foira le 22/12/2009 16:15 | Alerter
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amadou lamine dit pourquoi il a écrit

Conclusion


Nous avons, dans ce livre, essayé d’assumer un devoir et d’exercer un droit. Il s’agit d’un droit et d’un devoir que se doit d’honorer tout patriote qui a lutté toute sa vie pour l’avènement d’un changement de l’ordre néocolonial en Afrique. En effet, lorsque le patriote sénégalais que nous voulons mériter d’être voit que les acquis d’une telle lutte sont menacés chez lui de destruction par des ennemis de l’idéal panafricain, il se doit de protéger le leadership intellectuel de l’homme autour de qui il a participé au développement du plus puissant mouvement populaire de l’histoire pour le changement du régime responsable de son retard dans tous les domaines. C’est ce devoir de patriote que nous avons tenté d’accomplir. Et c’est pourquoi nous avons pris notre plume pour montrer par quel détour des gens comme Abdou Latif Coulibaly travaillent à aménager le retour au pouvoir des représentants de l’ancien régime qui ont permis que des pays asiatiques alignés avec le nôtre en 1960 sur les starting-blocks l’ont laissé loin derrière eux. Nous avons essayé d’exercer notre droit de défendre les acquis de l’alternance face aux attaques combinées de mercenaires de la plume, d’ONG extraverties et de partis politiques revanchards. Nous l’avons fait pour sauvegarder les espérances nées de l’alternance du 19 Mars 2000 créées par la force de proposition d’un homme historique, doublé du statut d’homme total qui a réussi à mettre notre pays sur les rampes de l’émergence et à l’avant-garde de la réalisation des Etats Unis d’Afrique. En accomplissant notre devoir et en exerçant notre droit, nous n’avons pas cherché à demander l’avis ou l’autorisation de qui que ce soit. Avons-nous réussi dans ce livre à donner l’éclairage que nous voulions faire sur ce qui se trame contre l’alternance et qui passe par une guerre cognitive visant la déconstruction du leadership panafricain contemporain de Maître Wade pour aider au retour au pouvoir de la famille politique du Parti socialiste néocolonial ? Il appartient au lecteur de donner la réponse à cette question.

45.Posté par babao le 22/12/2009 16:16 | Alerter
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Mr Latif Coulibaly se révèle chaque jour d’avantage comme un aigris et un mécontent de, je ne sais quoi. Il développe un langage tout à fait vulgaire et insolent. Comment quelqu’un qui se veut diseur de vérités puisse tomber si bas en proférant des injures contre un tiers qui s’oppose simplement à ses positions politiques ou ses démarches intellectuelles. Si mr Latif veut que les sénégalais le prennent au sérieux, il faut qu’il apprenne à leur parler, surtout lorsqu’il est attaqué dans ses convictions. Il a tenu ici, les même propos contre Sidy Lamine NIASSE, Contre Doudou WADE et contre tant d’autres individus qui n’ont eu que le courage de dire qu’ils n’étaient pas d’accords avec lui dans sa manière de voir les choses. . Aujourd’hui, c’est au tour de Mr FAYE d’essuyer les salives venimeuses de Latif qui est le meilleur des sénégalais, le plus beau, le pus instruit, le plus juste, le plus téméraire et certainement, le plus insolent. Amicalement Mr Coulibaly pourvu que je ne sois pas la prochaine cible de vos jets de venin.

46.Posté par gouba le 22/12/2009 16:17 | Alerter
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Les vrais intellectuels doivent sortir l’Afrique des pièges de faux enjeux.

Penser l’Afrique et le Sénégal en même temps et être jugé sur sa capacité à user de la vitesse pour aller plus vite que les régimes néocoloniaux en passant par des raccourcis pour créer des actifs physiques structurants et industrialisants, voilà les défis et les enjeux à relever qui sont attendus de tout temps par les patriotes et intellectuels panafricanistes. Au Sénégal des hommes comme Cheikh Anta Diop, Abdoulaye Wade et Majhmout Diop ont tenté de répondre à de telles attentes. Ils ont ouvert des champs de réflexion et des séquences de luttes qui ont créé aujourd’hui les conditions de la maîtrise possible par les Africains de leur destin. Ces hommes historiques ont permis la déconstruction des falsifications de l’histoire de l’Afrique. Ils ont contribué à l’impulsion d’un processus de libération économique et politique du continent qui connaît aujourd’hui, sous Wade, une allure fulgurante.

En effet, c’est au cours de l’alternance qu’on assiste véritablement à une rupture avec les modèles d’adaptations aux régimes coloniaux et néocoloniaux. C’est sous Wade que nous voyons se déployer une stratégie de développement économique et politique qui mise sur la vitesse et sur des raccourcis pour réduire les gaps historiques. Pour en être édifié, il suffit de comparer les bilans, secteur par secteur, avec des chiffres à l’appui. On verrait que le bilan politique, économique et social obtenu en 9 ans par le régime de l’alternance dépasse de loin celui de l’ensemble des régimes coloniaux et néocoloniaux. On se convaincrait inéluctablement que le Sénégal, sous Wade, est dans une vitesse de progression qui relève le défi de la réduction des gaps historiques.

Par la faute de journalistes comme Abdou Latif Coulibaly, qui tirent avec une folie meurtrière sur le régime de l’alternance à la place de l’opposition revancharde, les repères d’une bonne lecture de cette supériorité du régime de Wade sont brouillés. C’est par la faute de tels gens que les espaces médiatiques africains sont traversés essentiellement par des discours de querelles sur des faits divers politiques, pour ne pas dire politiciens. Il s’agit de discours qui insistent plus sur le déballage qu’ils n’ouvrent sur de véritables débats pouvant rendre lisibles et visibles les enjeux de développement de l’Afrique.

Ces types de discours font perdre de vue aux citoyens d’Afrique les véritables enjeux du futur. Ils nous dévient de la voie du rattrapage des pays émergents qui avaient pris le même départ que le Sénégal dans les années 60. Ils affectent donc notre capacité collective à avancer vite dans l’atteinte d’objectifs panafricains.

Ce sont les intellectuels et la presse africaine qui sont, plus que les politiques, interpellés par cette question de modèle social inadapté au combat panafricaniste.

Sans l’implication des intellectuels et de la presse africaine dans des débats d’enjeux et de défis pour la renaissance africaine, les citoyens d’Afrique sont désarmés dans l’espace public et ne peuvent acquérir une capacité de perception des véritables dangers qui guettent l’Afrique.

Les intellectuels et la presse africaine doivent contribuer à favoriser chez le citoyen une motivation pour des actions panafricaines. Ils doivent nous aider à restructurer la perception que nous avons du monde et de notre société ainsi que le regard que nous portons sur nous-mêmes et sur les autres à partir d’un nouveau paradigme intellectuel panafricain.
L’Africain du futur ne peut pas et ne doit pas être cet individu qui a la psyché modifiée par les politiques défaitistes des régimes conçus et formatés pour servir les intérêts de l’ancien maître esclavagiste et colonialiste.

Les choses se passent dans l’espace public comme si le citoyen n’a besoin que de faits divers politiques pour satisfaire son besoin d’information et nullement de vision et d’actions pour le développement.

Comment peut-on donner un coefficient plus élevé à la notion de Bonne gouvernance et de Démocratie qu’à celle de développement, d’accès à l’éducation, aux services sociaux de base ?

On fait vite d’oublier qu’il n’y a aucun lien déterministe entre l’existence préalable d’une démocratie et le développement économique. Si c’était le cas, l’Occident n’aurait pas connu le développement ni aucun des pays dits émergents. Seule donc l’Afrique a engagé aujourd’hui le défi historique de réaliser concomitamment la démocratie et le développement parce que son ontologie négro-africaine lui en donne exclusivement la capacité.

Le développement est un droit générique en ce sens qu’il conditionne la réalisation durable de tous les autres droits dont la démocratie, les droits de l’homme, etc.

Les conquêtes démocratiques et de bonne gouvernance dans une situation de pauvreté ne sont jamais durables. Il faut nécessairement créer une base de développement durable pour garantir la pérennité des droits humains et des libertés.

C’est pourquoi Maître Wade s’est évertué à les constitutionnaliser au Sénégal dès son arrivée au pouvoir. Il a ainsi pu montrer la puissance de l’humanisme nègre qui tire sa capacité de résistance et de partage de son ontologie négro-africaine.

Il nous faut appliquer la trêve de contribution proposée par Wade pour sortir de l’enfer d’un modèle social téléguidé de l’extérieur qui crée des rivalités crypto personnelles et alimente la discorde et l’esprit revanchard entre les oppositions et les pouvoirs en Afrique. Il affaiblit notre capacité collective nationale et africaine à faire face à des défis panafricains. Il amène l’opposant à exclure de son champ de considération l’honnêteté de reconnaître des réalisations pour le développement de l’Afrique faites par un régime issu d’une alternance démocratique.

Ce modèle social qui nous empêche au Sénégal d’accepter « une majorité d’idée » pousse aujourd’hui beaucoup d’intellectuels patriotes à déserter l’espace des débats publics. Il amène même une certaine presse et une partie de la société civile à se projeter en dehors de nos valeurs de civilisation africaines qui enseignent le respect des anciens et le bannissement, dans la prise de parole publique, de l’insinuation calomnieuses et l’injure.

En atteste le fait qu’un grand nombre d’organes de presse ne se préoccupe aujourd’hui que de conquérir une posture de docte censeur pour pouvoir aiguillonner l’opinion africaine en vue d’obtenir une capacité de défaire, en fonction d’intérêts étrangers, tout pouvoir africain sans considération de bilan, de programme ou de vision pertinente pour l’Afrique.

Face par exemple aux APE conçus par des technocrates européocentristes, en l’absence de toute transparence et de tout débat avec des experts africains, qui sont tous aussi ferrés qu’eux en économie, les intellectuels et la presse africaines doivent nous sortir des pièges des constructions intellectuelles qui ont permis jusqu’ici la domination de l’Afrique.

Le sommet Europe-Afrique, le plus controversé de l’histoire, qui s’est tenu à Lisbonne, a montré à la face du monde l’évolution majeure qui s’est opérée dans le comportement des chefs d’Etat africains face à l’Europe.

Certes tous les chefs d’Etat africains ne sont pas des modèles. Mais laissons aux Africains la responsabilité de régler eux-mêmes leur cuisine interne. Il nous faut éviter l’auto-flagellation dont la conséquence est d’affaiblir l’Afrique. Il nous faut éviter d’investir nos énergies dans la dénonciation de nos faiblesses au détriment d’une stimulation de nos forces. Il nous faut tendre vers l’exploitation des opportunités que nous offre l’engagement actuel des chefs d’Etat africains à accepter de s’inscrire dans le projet des Etats-Unis d’Afrique.

Au regard de l’engagement d’un Tabo Mbeki contre les APE ou de celui d’un Abdoulaye Wade, il apparaît de plus en plus clairement que l’ère de la soumission aveugle et docile, qui caractérisait les chefs d’Etat africains durant la période du début des indépendances, est révolue.

Au cours de ce sommet Europe-Afrique, ces deux chefs d’Etat africains se sont mis au front de la contestation des A.P.E fondés sur le libre échange entre les produits africains et européens. Ils ont, en effet, tenu à faire valoir, au nom de leur continent, qui refuse définitivement l’assistanat au profit d’un partenariat avec l’Europe, une capacité des peuples africains à s’autodéterminer librement dans l’intérêt de l’Afrique du futur.

Une telle rupture, aussi manifeste dans les comportements des dirigeants africains, qui est révélatrice de l’esprit nouveau qui les anime aujourd’hui, doit être partagée et soutenue par la société civile, la presse africaine et les intellectuels.

Cette évolution est marquée, dans ses multiples étapes, par la formulation d’alternatives politiques et économiques panafricanistes à un ordre économique mondial qui n’a pas jusqu’ici rendu justice à l’Afrique dans son droit à la réparation des séquelles de l’esclavage et de la colonisation.

C’est ainsi que d’innombrables initiatives et propositions panafricaines ont permis l’avènement de l’Union Africaine (U.A) et son renforcement progressif.

La création du NEPAD , qui traduit l’esprit d’une conquête d’autonomie de pensée chez les nouveaux dirigeants africains, est venue consolider ce processus. La confiance des Africains en la maîtrise de leur destin ainsi que l’espoir pour l’avènement d’un futur africain maîtrisé ont fini par gagner progressivement les esprits des dirigeants africains. Et cela a balayé définitivement le doute sur la capacité de l’Africain à se prendre en charge pour son avenir.

Regardant le développement d’un tel processus soutenu par une coopération, Sud /Sud plus avantageuse pour l’Afrique que l’échange inégal expérimenté jusqu’ici avec l’Europe, des experts européens ont compris qu’une Afrique unie et maîtresse de son destin, coopérant de surcroît librement avec des Etats/continents comme l’Inde, la Chine ou le Brésil va reléguer l’Europe dans une position qui ne lui permet plus de garder l’initiative historique.

La perspective d’un recul futur de la position de cette Europe civilisatrice du monde face à des Etats/continents qu’elle avait soumis hier sous son joug, a amené des intellectuels européens à recourir à une vieille stratégie de construction intellectuelle qui a servi efficacement dans le passé l’expansion occidentale dans sa conquête du monde.

On se rappelle que c’est en usant jadis du concept de « mission civilisatrice » que l’Europe a pu légitimer sa domination des peuples non européens.

Dans le fond, cette stratégie d’influence intellectuelle ne semble pas avoir changé aujourd’hui.

En effet, proposant des APE et les soutenant par des critiques adressées aux pays africains accusés de ne pas pratiquer la Bonne gouvernance et la Démocratie, l’Europe fait découvrir, après l’intermède d’une mission qu’elle s’était donnée après la Deuxième Guerre mondiale pour le développement de l’Afrique, qu’elle arbore aujourd’hui le manteau d’une nouvelle « mission civilisatrice ». La justification morale d’une telle nouvelle mission civilisatrice est l’instauration de la Démocratie et de la Bonne gouvernance dans le monde. Elle est soutenue par un système de veille internationale qui a ses mécanismes de contrôle et de sanction permettant à l’Europe de garder l’initiative historique.

La manière dont l’Europe a pu garder jusqu’ici l’initiative historique au moyen de constructions intellectuelles adaptées aux circonstances de l’époque peut être chronologiquement retracée : Il y a eu d’abord le concept de « mission civilisatrice », qui lui a facilité l’accumulation primitive du capital grâce à la pratique de l’esclavage et de la colonisation. Ensuite il a fallu que les conditions nées de la modification des rapports de force créées, après la deuxième Guerre mondiale, par les peuples en lutte, amènent l’Europe à changer de stratégie d’influence intellectuelle pour garder son initiative et continuer de plus belle son exploitation des richesses de l’Afrique.

C’est ainsi que la mission pour le développement s’est substituée à la mission civilisatrice et que pour cette raison des experts du développement extraverti ont pris la place des soldats et des missionnaires. Ils ont fait de l’aide au développement un mécanisme d’appel d’air pour pomper les ressources africaines à travers un mode d’échange inégal, voire par un mécanisme de développement du sous-développement qui a endetté l’Afrique plus qu’il ne l’a développée.

L’explication réside dans le fait que l’Europe a été contrainte de libérer les colonies à la faveur de la participation des colonisés à la libération de l’Europe contre les nazis. C’est pourquoi l’Afrique a vu la mission civilisatrice prendre les habits intellectuels d’une mission pour le développement et que la domination de l’Europe s’est poursuivie sous le voile d’une aide au développement.

Face aux velléités de reprise par l’Afrique de l’initiative historique à partir d’une volonté affirmée d’unification politique du continent, certains penseurs européens, ferrés en intelligence économique, se sont ingéniés à employer les vieilles recettes en nous sortant les APE.

En décrétant un ordre mondial de veille sur la Bonne gouvernance et des Droits de l’homme, dont il s’attribue la mission, des idéologues se donnent une arme stratégique permettant seul à l’Occident de décider de la « fréquentabilité » ou de l’isolement international de tout pays africain qui veut faire un passage en force vers l’émergence.

Pour arriver à une telle fin, des organes de presse et des agents dits de la société civile sont appuyés, s’ils ne sont pas créés depuis l’Europe, pour assumer en Afrique les fonctions d’aiguilleurs d’opinions et de doctes censeurs des politiques panafricanistes de libération économique de l’Afrique.

C’est dans ces rôles et fonctions d’aiguilleurs d’opinions et de doctes censeurs des politiques panafricanistes de libération de l’Afrique que nous trouvons certains journalistes comme Abdou Latif Coulibaly.

Cet individu et ceux qui évoluent dans son sillage ne sont que la partie visible de l’iceberg des mercenaires et tueurs à gages politiques qui font commerce de leur plume pour détruire de l’intérieur des dirigeants comme Abdoulaye Wade.

47.Posté par Capo le 22/12/2009 20:13 | Alerter
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Toutes ces belles pages ne sont que des piéces montées car rien ne montrent que l'Anoci est sans vices comme l'a dit Latif.
Karim doit s'expliquer pour une quiétude de sa conscience sinon il vivra des remords sa vie durant.
JUSTICE ON EN DEMANDE POUR L'ANOCI!

48.Posté par Capo le 22/12/2009 20:21 | Alerter
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Les billets de Wade améneront bcp de gens en enfer. A votre jeu d'enfant sur la maniére d'étaler les belles et fausses pages de m. faye à qui vous vous sensez défendre en appréciant ces propos prouvent vous êtes un groupe assis ensemble pour faire faux jeu sur la personnne de Wade. On vous comprend tous et c'est fini car mêmes les canards du palais vous en démasquent les masques bleus.

49.Posté par Capo le 22/12/2009 20:24 | Alerter
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Les billets de Wade améneront bcp de gens en enfer. A votre jeu(tcir et esctui)d'enfant sur la maniére d'étaler les belles et fausses pages de m. faye à qui vous vous sensez défendre en appréciant ces propos prouvent vous êtes un groupe assis ensemble pour faire faux jeu sur la personnne de Wade. On vous comprend tous et c'est fini car mêmes les canards du palais vous en démasquent les masques bleus.


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