L'enquête de l'Inspection Générale des Finances (IGF), a révélé que ces fonctionnaires, en complicité avec des agents externes aux services concernés, ont siphonné des fonds publics via l’Observatoire de la Qualité des Services Financiers (OQSF). Parmi les complices, se trouvent des gestionnaires de services multiservices et un agent du ministère du Tourisme, qui ont facilité le blanchiment des fonds volés.
La chute de cette mafia interne à l'OQSF, a été accélérée par l’arrestation d’Habib Ndao, secrétaire exécutif de l’OQSF, suite à des dénonciations de Daha Diallo, ancien agent comptable de l’institution. Selon les informations, Diallo aurait détourné d'importants montants des comptes de l’OQSF et, lors de son arrestation, a invoqué des problèmes psychiatriques pour se défendre.
Lors des interrogatoires, il a été révélé que 20 millions FCfa ont été remis par le contrôleur du Trésor à Habib Ndao, en échange de son silence, bien que ce dernier admette n'avoir reçu que 5 millions FCfa, qu'il affirme avoir retournés à Diallo.
L’enquête a également mis en lumière, les actions d'Alphonse Diombo Thiakane, expert informatique de l’OQSF, qui a tenté de masquer les traces des malversations, en sabotant l’unité centrale de son ordinateur lors d'un contrôle de l'IGF. Pape Soulèye Sow, fournisseur et Seynabou Diaw, gérante de l’entreprise Takusan, sont accusés d’avoir créé de fausses factures et redistribué les fonds détournés, contre une commission de 10%.
Tous les suspects, Habib Ndao, Daha Diallo, Alphonse Diombo Thiakane, Pape Soulèye Sow et Seynabou Diaw, ont été arrêtés par la Division des Investigations Criminelles (DIC) et sont poursuivis pour détournement de fonds, association de malfaiteurs et corruption. Déférés le 20 septembre, ils attendent une décision judiciaire, après un retour de parquet prévu ce lundi.
Cet épisode souligne une fois de plus, l’importance cruciale de la transparence et de la reddition des comptes dans la gestion des deniers publics. Il est important de noter que Cheikh Diop, Moustapha Bâ et Cheikh Diba, n’ont rien à voir avec cette affaire, tout comme d’autres individus dont les noms auraient pu être injustement associés à ces événements. Les personnes poursuivies sont bien identifiées, dans le cadre de l’enquête en cours.
La chute de cette mafia interne à l'OQSF, a été accélérée par l’arrestation d’Habib Ndao, secrétaire exécutif de l’OQSF, suite à des dénonciations de Daha Diallo, ancien agent comptable de l’institution. Selon les informations, Diallo aurait détourné d'importants montants des comptes de l’OQSF et, lors de son arrestation, a invoqué des problèmes psychiatriques pour se défendre.
Lors des interrogatoires, il a été révélé que 20 millions FCfa ont été remis par le contrôleur du Trésor à Habib Ndao, en échange de son silence, bien que ce dernier admette n'avoir reçu que 5 millions FCfa, qu'il affirme avoir retournés à Diallo.
L’enquête a également mis en lumière, les actions d'Alphonse Diombo Thiakane, expert informatique de l’OQSF, qui a tenté de masquer les traces des malversations, en sabotant l’unité centrale de son ordinateur lors d'un contrôle de l'IGF. Pape Soulèye Sow, fournisseur et Seynabou Diaw, gérante de l’entreprise Takusan, sont accusés d’avoir créé de fausses factures et redistribué les fonds détournés, contre une commission de 10%.
Tous les suspects, Habib Ndao, Daha Diallo, Alphonse Diombo Thiakane, Pape Soulèye Sow et Seynabou Diaw, ont été arrêtés par la Division des Investigations Criminelles (DIC) et sont poursuivis pour détournement de fonds, association de malfaiteurs et corruption. Déférés le 20 septembre, ils attendent une décision judiciaire, après un retour de parquet prévu ce lundi.
Cet épisode souligne une fois de plus, l’importance cruciale de la transparence et de la reddition des comptes dans la gestion des deniers publics. Il est important de noter que Cheikh Diop, Moustapha Bâ et Cheikh Diba, n’ont rien à voir avec cette affaire, tout comme d’autres individus dont les noms auraient pu être injustement associés à ces événements. Les personnes poursuivies sont bien identifiées, dans le cadre de l’enquête en cours.