Qui a intérêt à ce qu'Amath Dansokho trépasse ? En tout cas, hier, en début de soirée, de folles rumeurs, qui se sont répandues comme une traînée de poudre dans la capitale, annonçaient la disparition du président d'honneur du Parti de l'indépendance et du travail (Pit). Des rumeurs qui se sont, finalement, dégonflées comme un ballon de baudruche. Après que des responsables de Bennoo Siggil Senegaal ont vérifié l'information, en parlant notamment au téléphone avec Amath Dansokho, présentement à Lyon (France), auprès de sa femme.
En tout état de cause, certains responsables de l'opposition dite significative qui ont eu vent de ces folles rumeurs sont montés au créneau, pour dénoncer ce qu'ils assimilent à une «intoxication orchestrée par la présidence de la République».
Haïdar El Ali, Secrétaire général de la Fédération démocratique des écologistes du Sénégal (Fedes), l'un des premiers leaders de Bennoo Siggil Senegaal à être informé de la soi-disant disparition de Amath Dansokho, n'a pas eu de mots assez durs pour dénoncer cette intoxication qui, selon lui, provient de la Présidence. «C'est une fausse nouvelle. Ce sont des gens maléfiques qui ont fait véhiculer cette information. Ils n'ont d'autre ambition que de déstabiliser l'opposition», fulmine l'écologiste.
Même son de cloche du côté de Ibrahima Sène, chargé de la Formation au niveau du Pit. «On est écoeurés par cette bassesse, par ce comportement ignoble. Nous allons protester», tonne-t-il.
Barthélemy Dias, Secrétaire général du Mouvement national des jeunesses socialistes (Mnjs), n'est pas en reste : «C'est l'incarnation du désarroi qu'il y a à la Présidence. Wade doit faire une introspection et quitter le pouvoir. La chose la plus démocratique, c'est la mort. Il ne faut pas la souhaiter aux autres. Wade n'est plus apte à diriger le pays».
Joint au téléphone, Serigne Mbacké Ndiaye, porte-parole de la présidence de la République, avait promis de rappeler. En vain.
Barka Isma BA populaire
En tout état de cause, certains responsables de l'opposition dite significative qui ont eu vent de ces folles rumeurs sont montés au créneau, pour dénoncer ce qu'ils assimilent à une «intoxication orchestrée par la présidence de la République».
Haïdar El Ali, Secrétaire général de la Fédération démocratique des écologistes du Sénégal (Fedes), l'un des premiers leaders de Bennoo Siggil Senegaal à être informé de la soi-disant disparition de Amath Dansokho, n'a pas eu de mots assez durs pour dénoncer cette intoxication qui, selon lui, provient de la Présidence. «C'est une fausse nouvelle. Ce sont des gens maléfiques qui ont fait véhiculer cette information. Ils n'ont d'autre ambition que de déstabiliser l'opposition», fulmine l'écologiste.
Même son de cloche du côté de Ibrahima Sène, chargé de la Formation au niveau du Pit. «On est écoeurés par cette bassesse, par ce comportement ignoble. Nous allons protester», tonne-t-il.
Barthélemy Dias, Secrétaire général du Mouvement national des jeunesses socialistes (Mnjs), n'est pas en reste : «C'est l'incarnation du désarroi qu'il y a à la Présidence. Wade doit faire une introspection et quitter le pouvoir. La chose la plus démocratique, c'est la mort. Il ne faut pas la souhaiter aux autres. Wade n'est plus apte à diriger le pays».
Joint au téléphone, Serigne Mbacké Ndiaye, porte-parole de la présidence de la République, avait promis de rappeler. En vain.
Barka Isma BA populaire