Selon Cheikh Sarr, qui est, par ailleurs, secrétaire général du Niaxx Jarinu, Mouvement pour l’alternance générationnelle, la lutte des femmes débute le 26 août à Guédiawaye, dans la banlieue dakaroise. Les femmes du Fss n’entendent pas s’arrêter en si bon chemin. Leur caravane s’ébranlera dans d’autres zones de la capitale sénégalaise, précisément à Guédiawaye et Pikine où elle est respectivement attendue les 28 et 30 août 2008, selon le porte-parole du jour.
Pour les responsables du Fss, « les préoccupations de l’heure résident dans la résolution des difficultés des ménages ».
C’est pourquoi ils s’insurgent contre « les intimidations et la violence » contre des citoyens sénégalais, la presse surtout. Ils condamnent la mise à sac des quotidiens L’As et « 24 heures chrono », dans la nuit du dimanche au lundi 18 août. Selon Cheikh Sarr, les leaders du Fss ont également exprimé leur solidarité à la presse, tout en avertissant le pouvoir sur les conséquences qui pourraient découler de la violence. « La violence peut amener la violence », a averti le porte-parole.
Pour les responsables du Fss, « les préoccupations de l’heure résident dans la résolution des difficultés des ménages ».
C’est pourquoi ils s’insurgent contre « les intimidations et la violence » contre des citoyens sénégalais, la presse surtout. Ils condamnent la mise à sac des quotidiens L’As et « 24 heures chrono », dans la nuit du dimanche au lundi 18 août. Selon Cheikh Sarr, les leaders du Fss ont également exprimé leur solidarité à la presse, tout en avertissant le pouvoir sur les conséquences qui pourraient découler de la violence. « La violence peut amener la violence », a averti le porte-parole.