Cette rencontre s’est déroulée en présence de figures influentes des deux associations, parmi lesquelles les anciens ministres Boubacar Mbodji et Abdou Fall. Elle a été l’occasion pour les responsables des deux clubs de rappeler la vocation première de leurs organisations : offrir des espaces de réflexion et d’échange intellectuel sur les grands enjeux nationaux et internationaux, sans affiliation partisane.
Selon leur communiqué conjoint, en réunissant des cadres, intellectuels et personnes ressources autour de l’intérêt national, les Clubs Sénégal Emergent et Convergences Plurielles jouent un rôle essentiel dans la défense des principes de l’État de droit et de la démocratie.
Une Conjoncture Marquée par des Tensions Persistantes
Les délégations ont rappelé que, malgré la transition pacifique observée lors des dernières élections, le Sénégal reste sous la menace de tensions socio-politiques latentes.
Ces tensions, exacerbées par des violences meurtrières et des destructions massives de biens survenues avant l’élection, ont mis à l’épreuve les fondements mêmes de la démocratie sénégalaise. Selon les représentants des deux clubs, le moment actuel requiert une grande vigilance de la part de tous les citoyens face à ces menaces encore présentes.
« Nos pays traversent une période de mutations profondes, tant au niveau sous-régional qu’international », ont-ils souligné. Pour eux, cette conjoncture exige de maintenir un engagement inébranlable envers les libertés fondamentales, notamment la liberté de croyance, d’opinion, de presse et de réunion, piliers essentiels d’une société démocratique.
Un Regain de Tensions Préoccupant
Malgré cette transition politique, les deux clubs expriment leur préoccupation face à un regain de tensions socio-politiques. Ils pointent du doigt une tendance inquiétante des nouvelles autorités à entretenir des relations conflictuelles avec certaines composantes clés de la société sénégalaise, notamment les institutions religieuses, les médias et d’autres forces sociales qui jouent un rôle crucial dans la régulation morale et l’éducation des citoyens.
Dans le secteur des médias en particulier, les différends récurrents entre le gouvernement et la presse suscitent des inquiétudes. « Les médias ont toujours joué un rôle capital dans l’évolution de notre démocratie », rappellent les deux clubs. Or, ces tensions risquent de « dérégler profondément l’écosystème médiatique » que le Sénégal a mis des décennies à bâtir.
Ils insistent sur le fait que la presse doit être protégée et renforcée dans une démocratie, plutôt que confrontée à des obstacles. « Le droit à une information complète et objective des citoyens est un droit fondamental, consubstantiel à la liberté d’opinion, fondement de toute démocratie », ont-ils déclaré.
Appel à un Retour au Dialogue
Face à ces tensions persistantes, les Clubs Sénégal Emergent et Convergences Plurielles lancent un appel solennel aux nouvelles autorités du pays. Ils invitent celles-ci à renouer avec les traditions sénégalaises d’ouverture, de concertation et de dialogue, qui ont longtemps été des garants de la paix sociale.
« Le Sénégal est une terre de libertés, de tolérance, de dialogue et de concertation », affirment les responsables des deux clubs, rappelant la nécessité d’un retour à ces valeurs fondamentales pour préserver la stabilité du pays. Ils appellent également les cadres de réflexion et d’échange à se mobiliser pour organiser de grands débats publics sur les enjeux majeurs de l’époque.
Dans un climat où la cohésion sociale est mise à l’épreuve, les deux clubs réitèrent leur engagement à jouer pleinement leur rôle pour favoriser un climat de paix et de dialogue au Sénégal.
Selon leur communiqué conjoint, en réunissant des cadres, intellectuels et personnes ressources autour de l’intérêt national, les Clubs Sénégal Emergent et Convergences Plurielles jouent un rôle essentiel dans la défense des principes de l’État de droit et de la démocratie.
Une Conjoncture Marquée par des Tensions Persistantes
Les délégations ont rappelé que, malgré la transition pacifique observée lors des dernières élections, le Sénégal reste sous la menace de tensions socio-politiques latentes.
Ces tensions, exacerbées par des violences meurtrières et des destructions massives de biens survenues avant l’élection, ont mis à l’épreuve les fondements mêmes de la démocratie sénégalaise. Selon les représentants des deux clubs, le moment actuel requiert une grande vigilance de la part de tous les citoyens face à ces menaces encore présentes.
« Nos pays traversent une période de mutations profondes, tant au niveau sous-régional qu’international », ont-ils souligné. Pour eux, cette conjoncture exige de maintenir un engagement inébranlable envers les libertés fondamentales, notamment la liberté de croyance, d’opinion, de presse et de réunion, piliers essentiels d’une société démocratique.
Un Regain de Tensions Préoccupant
Malgré cette transition politique, les deux clubs expriment leur préoccupation face à un regain de tensions socio-politiques. Ils pointent du doigt une tendance inquiétante des nouvelles autorités à entretenir des relations conflictuelles avec certaines composantes clés de la société sénégalaise, notamment les institutions religieuses, les médias et d’autres forces sociales qui jouent un rôle crucial dans la régulation morale et l’éducation des citoyens.
Dans le secteur des médias en particulier, les différends récurrents entre le gouvernement et la presse suscitent des inquiétudes. « Les médias ont toujours joué un rôle capital dans l’évolution de notre démocratie », rappellent les deux clubs. Or, ces tensions risquent de « dérégler profondément l’écosystème médiatique » que le Sénégal a mis des décennies à bâtir.
Ils insistent sur le fait que la presse doit être protégée et renforcée dans une démocratie, plutôt que confrontée à des obstacles. « Le droit à une information complète et objective des citoyens est un droit fondamental, consubstantiel à la liberté d’opinion, fondement de toute démocratie », ont-ils déclaré.
Appel à un Retour au Dialogue
Face à ces tensions persistantes, les Clubs Sénégal Emergent et Convergences Plurielles lancent un appel solennel aux nouvelles autorités du pays. Ils invitent celles-ci à renouer avec les traditions sénégalaises d’ouverture, de concertation et de dialogue, qui ont longtemps été des garants de la paix sociale.
« Le Sénégal est une terre de libertés, de tolérance, de dialogue et de concertation », affirment les responsables des deux clubs, rappelant la nécessité d’un retour à ces valeurs fondamentales pour préserver la stabilité du pays. Ils appellent également les cadres de réflexion et d’échange à se mobiliser pour organiser de grands débats publics sur les enjeux majeurs de l’époque.
Dans un climat où la cohésion sociale est mise à l’épreuve, les deux clubs réitèrent leur engagement à jouer pleinement leur rôle pour favoriser un climat de paix et de dialogue au Sénégal.