Le ministre maire Alioune Sarr a mis à la disposition du gouvernement sénégalais 400 hectares de terre. L’initiative consiste à faciliter la mise en œuvre du projet de construction des cent mille logements sociaux du Plan Sénégal Emergent (Pse). D’après le ministre de l'urbanisme, du logement et de l'hygiène publique, Abdou Karim Fofana, ledit projet, permettra aux citoyens Sénégalais lambda d'avoir un logement abordable et accessible.
L’entreprise SCAC Afrique, ayant des terres sur le même site conteste la démarche du Maire de Notto Diobass. Surtout de l’attribution des 400 Ha, devant abriter 100 mille logements sociaux de l’Etat. Cette société déplore le blocage du dossier de régularisation de ses terres, situées à côté de ces logements sociaux. Attributaire de terre, elle accuse la Maire de Notto Diobass qui les a attribué le site, d’avoir retardé ou bloqué près de 10 ans, l’obtention de leurs documents.
Face à cette situation confuse, le vice-président de SCAC Afrique, Solomon Mbutcho a fait montre de son inquiétude. Conscient des subterfuges et autres pratiques nébuleuses, il s’interroge du comment le Maire, Alioune Sarr, en compagnie du Ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, a réussi à acquérir des terres sur ce même périmètre, avec des papiers en bonne et due forme.
Ainsi, il estime que le projet, initié par le Maire de Notto Diobass, Alioune SARR et le Ministre de l’urbanisme et de l’habitat, Abdou Karim Fofana à Notto Diobass, Thiès, concernant la construction de 6.500 logements, est une excellente idée, une belle initiative, répondant aux exigences d’un peuple grandissant. Le Sénégal est un pays, dont la production en logements en général est très déficitaire. Son accélération, reconnaît-il, entrainera sans s’en rendre compte et de manière systématique une réussite dans le domaine de l’inclusion financière. Elle augmentera fortement le faible taux de bancarisation et luttant de manière farouche dans le même élan contre la pauvreté au Sénégal.
Mais, il précise qu’un projet de promotion immobilière, fait dans les règles de l’art, avec tous les équipements (boutiques, écoles primaires, secondaires, centres de santé etc..) dans ses sites, lutterait effectivement contre l’exode rural et combattrait l’immigration clandestine dans toutes ses formes. Et, il reste d’avis que la concurrence, permet à la clientèle d’avoir de meilleures offres.
Blocages de l’offre de chaque Sénégalais, un toit
Répondant à l’Appel de l’ex-Président, Abdoulaye Wade, l’émigré reconnaît que tout avait correctement commencé sur les sites de Kaolack, Diourbel et Saint-Louis-Louga. Et, les dossiers de Thiès ont traversé toutes les épreuves de la délibération jusqu’à l’obtention de l’attestation de bail. Les frais afférents ont été payés auprès de M Ndiaga Lô, remplacé par l’actuel Receveur des domaines de Thiès, Pascal DIONE. Toutes les procédures du CCOD, jusqu’au Ministère du budget (au temps du Ministre Mr Birane MANGARA), puis la primature (au temps d’Abdallah Boune DIONNE), qui l’a diligenté à la présidence, sous le Projet décret numéro FC 089 du 16/01/2015. Mais, le sésame des clients peine jusqu’à ce jour à être reçu.
N’empêche, le Groupe SCAC Afrique était et reste toujours, voué aux gémonies, livré à lui-même, sans aucun soutien administratif pour encourager cette initiative. Elle a été livrée à la vindicte populaire, insultée dans les radios nationales et les plateaux de télévision. Parce que, tout simplement, l’administration, regrette-t-il, est trop occupée à signer son projet de bail. Malgré les circonstances actuelles, insiste-t-on, tous doivent savoir que SCAC, veut poursuivre sa mission d’offrir à chaque Sénégalais un toit.
Reproches faits à Alioune Sarr, Maire de Notto Diobass
Le Maire de Notto Diobass et actuel Ministre du tourisme, Alioune Sarr dans avait octroyé à SCAC Afrique, 130 hectares à Mbomboye. Ladite société avait accepté de lui rétrocéder 80 ha sur une demande verbale de ce dernier, après de violentes manifestations d’une partie de la population en décembre 2009. « Mes questions sont les suivantes : Si après 10 ans, les papiers nous permettant de livrer effectivement les parcelles à notre vaillante clientèle (4.000, dont 500 ont soldé, dispersés sur plusieurs sites) sont toujours bloqués. Alors que, nous avons rempli toutes les formalités administratives et payé toutes les sommes dues pour être régularisés. Comment se ferait-il, qu’une autre entité, serait-elle, membre du gouvernement, démarre et obtienne tous ses documents aux yeux des populations et de notre clientèle, toujours en attente ? », s’interroge-t-il.
L’inquiétude du vice-président de SCAC va crescendo dans son différend avec le Maire de Notto Diobass, Alioune Sarr. Sous ce registre, il se demande pourquoi, les documents, visant l’établissement d’habitats sociaux sont-ils signés. Alors que leurs papiers, suivant toutes les procédures, ne sont toujours pas signés? Pis, le choix du site, attribué à l’Etat, se situant en face de celui du Groupe SCAC Afrique, le perturbe davantage.
Mais, le contestataire, voyant une tentative de décrédibilisation de son entreprise, interpelle le Maire Alioune Sarr, concernant les 4.000 clients, constitués en collectif qui, depuis belle lurette, le suppliaient vainement pour une rencontre. « En refusant de bousculer l’administration, je mettais le tort sur les lenteurs de procédures et invitais tout le monde à être patient malgré les pertes sèches et la faillite presque cuisante au niveau national. Mais, une bonne concurrence doit être saine pour l’économie d’un pays. On ne peut pas courir avec quelqu’un, dont on vient d’amputer les jambes », se plaint-il.
L’équilibre de traitement ou l’égalité des chances, reste une option profitable dans la gestion des affaires publiques. Les entrepreneurs sénégalais, pour quelle que raison que ce soit, ne doivent pas être détruits, pour satisfaire un projet « politique » ou faire plaisir à son chef. « Le Sénégal de tous, pour tous et par tous », doit être traduit en acte pour encourager les investisseurs nationaux à investir davantage au pays. A défaut, l’absence de sécurité des investissements, obligerait certains nantis du pays à ne pas entreprendre. Ne serait-ce que pour contribuer à l’offre d’emplois à la jeunesse.
L’Etat devrait faire des concessions énormes pour appuyer les efforts, consentis par l’entreprise SCAC Afrique dans l’optique de contribuer à l’économie locale du pays. Et tout sauf, l’obliger à faire faillite…
L’entreprise SCAC Afrique, ayant des terres sur le même site conteste la démarche du Maire de Notto Diobass. Surtout de l’attribution des 400 Ha, devant abriter 100 mille logements sociaux de l’Etat. Cette société déplore le blocage du dossier de régularisation de ses terres, situées à côté de ces logements sociaux. Attributaire de terre, elle accuse la Maire de Notto Diobass qui les a attribué le site, d’avoir retardé ou bloqué près de 10 ans, l’obtention de leurs documents.
Face à cette situation confuse, le vice-président de SCAC Afrique, Solomon Mbutcho a fait montre de son inquiétude. Conscient des subterfuges et autres pratiques nébuleuses, il s’interroge du comment le Maire, Alioune Sarr, en compagnie du Ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, a réussi à acquérir des terres sur ce même périmètre, avec des papiers en bonne et due forme.
Ainsi, il estime que le projet, initié par le Maire de Notto Diobass, Alioune SARR et le Ministre de l’urbanisme et de l’habitat, Abdou Karim Fofana à Notto Diobass, Thiès, concernant la construction de 6.500 logements, est une excellente idée, une belle initiative, répondant aux exigences d’un peuple grandissant. Le Sénégal est un pays, dont la production en logements en général est très déficitaire. Son accélération, reconnaît-il, entrainera sans s’en rendre compte et de manière systématique une réussite dans le domaine de l’inclusion financière. Elle augmentera fortement le faible taux de bancarisation et luttant de manière farouche dans le même élan contre la pauvreté au Sénégal.
Mais, il précise qu’un projet de promotion immobilière, fait dans les règles de l’art, avec tous les équipements (boutiques, écoles primaires, secondaires, centres de santé etc..) dans ses sites, lutterait effectivement contre l’exode rural et combattrait l’immigration clandestine dans toutes ses formes. Et, il reste d’avis que la concurrence, permet à la clientèle d’avoir de meilleures offres.
Blocages de l’offre de chaque Sénégalais, un toit
Répondant à l’Appel de l’ex-Président, Abdoulaye Wade, l’émigré reconnaît que tout avait correctement commencé sur les sites de Kaolack, Diourbel et Saint-Louis-Louga. Et, les dossiers de Thiès ont traversé toutes les épreuves de la délibération jusqu’à l’obtention de l’attestation de bail. Les frais afférents ont été payés auprès de M Ndiaga Lô, remplacé par l’actuel Receveur des domaines de Thiès, Pascal DIONE. Toutes les procédures du CCOD, jusqu’au Ministère du budget (au temps du Ministre Mr Birane MANGARA), puis la primature (au temps d’Abdallah Boune DIONNE), qui l’a diligenté à la présidence, sous le Projet décret numéro FC 089 du 16/01/2015. Mais, le sésame des clients peine jusqu’à ce jour à être reçu.
N’empêche, le Groupe SCAC Afrique était et reste toujours, voué aux gémonies, livré à lui-même, sans aucun soutien administratif pour encourager cette initiative. Elle a été livrée à la vindicte populaire, insultée dans les radios nationales et les plateaux de télévision. Parce que, tout simplement, l’administration, regrette-t-il, est trop occupée à signer son projet de bail. Malgré les circonstances actuelles, insiste-t-on, tous doivent savoir que SCAC, veut poursuivre sa mission d’offrir à chaque Sénégalais un toit.
Reproches faits à Alioune Sarr, Maire de Notto Diobass
Le Maire de Notto Diobass et actuel Ministre du tourisme, Alioune Sarr dans avait octroyé à SCAC Afrique, 130 hectares à Mbomboye. Ladite société avait accepté de lui rétrocéder 80 ha sur une demande verbale de ce dernier, après de violentes manifestations d’une partie de la population en décembre 2009. « Mes questions sont les suivantes : Si après 10 ans, les papiers nous permettant de livrer effectivement les parcelles à notre vaillante clientèle (4.000, dont 500 ont soldé, dispersés sur plusieurs sites) sont toujours bloqués. Alors que, nous avons rempli toutes les formalités administratives et payé toutes les sommes dues pour être régularisés. Comment se ferait-il, qu’une autre entité, serait-elle, membre du gouvernement, démarre et obtienne tous ses documents aux yeux des populations et de notre clientèle, toujours en attente ? », s’interroge-t-il.
L’inquiétude du vice-président de SCAC va crescendo dans son différend avec le Maire de Notto Diobass, Alioune Sarr. Sous ce registre, il se demande pourquoi, les documents, visant l’établissement d’habitats sociaux sont-ils signés. Alors que leurs papiers, suivant toutes les procédures, ne sont toujours pas signés? Pis, le choix du site, attribué à l’Etat, se situant en face de celui du Groupe SCAC Afrique, le perturbe davantage.
Mais, le contestataire, voyant une tentative de décrédibilisation de son entreprise, interpelle le Maire Alioune Sarr, concernant les 4.000 clients, constitués en collectif qui, depuis belle lurette, le suppliaient vainement pour une rencontre. « En refusant de bousculer l’administration, je mettais le tort sur les lenteurs de procédures et invitais tout le monde à être patient malgré les pertes sèches et la faillite presque cuisante au niveau national. Mais, une bonne concurrence doit être saine pour l’économie d’un pays. On ne peut pas courir avec quelqu’un, dont on vient d’amputer les jambes », se plaint-il.
L’équilibre de traitement ou l’égalité des chances, reste une option profitable dans la gestion des affaires publiques. Les entrepreneurs sénégalais, pour quelle que raison que ce soit, ne doivent pas être détruits, pour satisfaire un projet « politique » ou faire plaisir à son chef. « Le Sénégal de tous, pour tous et par tous », doit être traduit en acte pour encourager les investisseurs nationaux à investir davantage au pays. A défaut, l’absence de sécurité des investissements, obligerait certains nantis du pays à ne pas entreprendre. Ne serait-ce que pour contribuer à l’offre d’emplois à la jeunesse.
L’Etat devrait faire des concessions énormes pour appuyer les efforts, consentis par l’entreprise SCAC Afrique dans l’optique de contribuer à l’économie locale du pays. Et tout sauf, l’obliger à faire faillite…