"Ceux qui ne connaissaient pas le Sénégal, sont informés maintenant. A chaque fois qu'on est dans la rue, les gens nous félicitent pour la présence de Mati Diop et du Sénégal à Cannes (...)" a déclaré M. Diaz, dressant un bilan à mi-parcours de la participation du Sénégal.
"On va à Cannes pour vendre une image et l'image du Sénégal doit aujourd'hui être portée très loin", a-t-il ajouté.
"On va à Cannes pour vendre une image et l'image du Sénégal doit aujourd'hui être portée très loin", a-t-il ajouté.
A propos des retombées de cette présence sénégalaise à Cannes, le directeur a cité les rencontres "fructueuses" que le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop, a eues avec des partenaires comme "Unifrance" pour la construction de salles de cinéma à travers le pays.
Il a également annoncé la présentation de "projets structurants" pour le cinéma sénégalais, la signature prochaine du cadre de coopération cinématographique entre le Sénégal et la Côte d'Ivoire et bientôt, avec le Mali, le Togo et les pays membres de l'Union monétaire ouest africain (UEMOA)...
Il a également annoncé la présentation de "projets structurants" pour le cinéma sénégalais, la signature prochaine du cadre de coopération cinématographique entre le Sénégal et la Côte d'Ivoire et bientôt, avec le Mali, le Togo et les pays membres de l'Union monétaire ouest africain (UEMOA)...
Pour le directeur de la Cinématographie, "il faudra une industrie cinématographique et audiovisuelle viable, avec des projets structurants, le co-développement de notre 7e art et les débouchés sur les produits cinématographiques".
"Si au sortir de Cannes, on arrive à réaliser deux à trois films de coproduction et que d'ici les cinq prochaines années, on ait notre cité du cinéma avec la pose de la première pierre dès l'année prochaine, on sera déjà dans le concret", a fait savoir M. Diaz.
"Si au sortir de Cannes, on arrive à réaliser deux à trois films de coproduction et que d'ici les cinq prochaines années, on ait notre cité du cinéma avec la pose de la première pierre dès l'année prochaine, on sera déjà dans le concret", a fait savoir M. Diaz.
Parmi les retombées, il y a aussi les accords de coproduction que peuvent décrocher les cinéastes et producteurs présents dans la délégation, à savoir Ousmane William Mbaye, Moussa Touré, Laurence Attali, Moly Kane, Oumar Sall, entre autres.
"Aujourd'hui, on est plus dans le monde du concret. On a pris trop de temps à parler, on est dans le temps de l'action. Tout ce qui est en train d'être négocié, va être capitalisé en action", a dit M. Diaz.
"Aujourd'hui, on est plus dans le monde du concret. On a pris trop de temps à parler, on est dans le temps de l'action. Tout ce qui est en train d'être négocié, va être capitalisé en action", a dit M. Diaz.
Le film "Atlantique" de la réalisatrice sénégalaise Mati Diop, figure dans la compétition officielle du 72e Festival de cinéma de Cannes, prévu du 14 au 25 mai.
La délégation sénégalaise conduite par le ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop a effectué jeudi la montée des marches sur la Croisette.
A Cannes, le Sénégal a déjà participé à plusieurs rencontres, notamment celle organisée par l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) sur la structuration des cinémas d'Afrique.
La délégation sénégalaise a pris part aussi aux tables-rondes sur la production, la distribution et la diffusion des cinémas du continent au pavillon des cinémas d'Afrique initiée par l'Agence culturelle africaine (ACA) dirigée par Aminata Diop Johnson.
Kritik
La délégation sénégalaise conduite par le ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop a effectué jeudi la montée des marches sur la Croisette.
A Cannes, le Sénégal a déjà participé à plusieurs rencontres, notamment celle organisée par l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) sur la structuration des cinémas d'Afrique.
La délégation sénégalaise a pris part aussi aux tables-rondes sur la production, la distribution et la diffusion des cinémas du continent au pavillon des cinémas d'Afrique initiée par l'Agence culturelle africaine (ACA) dirigée par Aminata Diop Johnson.
Kritik