C’est dans les colonnes de Walf Grand-Place lu par Leral.net que le sociologue a tenté de trouver une explication à ce phénomène qui commence à prendre des proportions inquiétantes. D’Oumar Bocoum à Cheikh Ahmet Tidiane Bâ en passant par Ahmet Mboup, tous se sont aspergés d’essence avant de s’immoler. Pour le sociologue, ces personnes qui sont pour la plupart des jeunes « sont dans une phase cruciale de leur vie où on leur exige de régler des questions au sein de la famille. Il y a des attentes autour de leur personne ».
À en croire le doctorant en sociologie, face à cette incapacité de subvenir aux besoins de leurs familles, à cet espoir placé en eux, « l’ultime solution, pour ces jeunes, c’est de se donner la mort. » « Si les gens continuent à s’immoler par le feu, cela veut dire que l’enfer n’est plus dans l’au-delà, l’enfer c’est ici », croit savoir le sociologue selon qui les pouvoirs publiques devraient atténuer les souffrances des populations. En quoi faisant ? En transposant au Sénégal un système en vigueur au Brésil et qui permet à des familles démunies de bénéficier de bourses sociales.
À en croire le doctorant en sociologie, face à cette incapacité de subvenir aux besoins de leurs familles, à cet espoir placé en eux, « l’ultime solution, pour ces jeunes, c’est de se donner la mort. » « Si les gens continuent à s’immoler par le feu, cela veut dire que l’enfer n’est plus dans l’au-delà, l’enfer c’est ici », croit savoir le sociologue selon qui les pouvoirs publiques devraient atténuer les souffrances des populations. En quoi faisant ? En transposant au Sénégal un système en vigueur au Brésil et qui permet à des familles démunies de bénéficier de bourses sociales.