Un après, c’est toujours la stupeur et la grande consternation pour la famille Sy qui célèbre ce vendredi, une messe en souvenir de Marcel Sy, médecin stagiaire disparu dans des conditions pas toujours élucidées en septembre dernier.
« Nous allons faire une messe pour prier pour le repos de son âme ce vendredi à Guiguinéo. Il est aussi prévu u repas avec les invités. La famille s’était même déplacée en France pour se souvenir de Marcel avec ses amis et étudiants. Le seul problème est que jusque là, on n’a pas encore accès à son dossier médical pour pouvoir comprendre les circonstances de sa mort », a soufflé à Leral.net Eloi Sy, le frère du défunt.
Si la famille avait su, par prémonition, que le destin allait être si cruel pour lui enlever, à 26 ans, leur fils, la famille Sy aurait embrassé davantage, cajoler son Marcel et lui dire qu’il l’aimait quand ce dernier était au Sénégal en vacances au Sénégal quelques jours avant son décès. La mort ne prévient pas et on ne meurt qu’une fois et cette fois-là, Marcel Sy s’en est allé sans crier gare.
Désormais, il repose au cimetière catholique de Guinguinéo. La famille Sy avait nourri beaucoup d’espoir pour ce médecin qui, à 26 ans, qui avait réussi sa vie avec, en perspective, une prometteuse carrière de médecin à Marseille, la ville au Vieux Port. La nouvelle est tombée comme un couperet jeudi dernier.
Avant de sécher les premières larmes, la presse enfonçait le clou, en révélant son présumé suicide et cela a fait déborder le vase affectif de la famille. Il y a un an, la maman Elizabeth Ndong a essayé de parler avec Leral.net, mais, au bout du fil, elle n’a pas pu sortir de mots, mais plutôt des gémissements de sanglots.
En tant que maman qui se remémorait la naissance de son bébé, quand elle lui mettait les couches, l’avoir vu grandir, c’était une douleur irrépressible. Aujourd’hui encore, la douleur est là.
C’est la fille de cette dernière, qui est, par ailleurs, professeur de philosophie, qui avait repris, stoïque, le téléphone pour se remémorer un frère exemplaire qui faisait la fierté de Guiguinéo.
La famille Sy n’oubliera jamais Marcel qui est passé dans le ciel, comme une étoile filante qui s’éteint, sans toucher le sol. Fauché en plein vol par l’ange de la mort, Marcel est actuellement dans l’au-delà, dans une autre dimension, laissant toute la famille éplorée.
Originaire du village de Ngolou, Marcel Sy laisse dans ce bas monde son père, Bernard Sy, sa maman, Elizabeth Ndong, ses frères : Laurent, Jean Paul et Charles Sy, sans oublier des sœurs inconsolables, Fernad, Laetitia et Rose. C’est toute cette famlle toujours dans la douleur et la foi, qui va se souvenir de Marcel Sy, via une messe pour prier pour le repos de son âme ce vendredi à Guiguinéo.
Comme dirait Abraham Lincoln «Ce qui compte, ce ne sont pas les années qu’il y a eu dans la vie. C’est la vie qu’il y a eu dans les années».
Et il y a eu dans la vie de Marcel Sy, 26 ans de bonté, d’affection et aussi d’intelligence pour avoir très tôt, décroché son diplôme de médecin, tout en regardant sa vie future en rose. Hélas, la mort était à l’affût pour mettre fin aux jours du médecin qui avait fait son serment d’Hippocrate pour exercer le métier de sauveur de vies.
Massène DIOP Leral.net
« Nous allons faire une messe pour prier pour le repos de son âme ce vendredi à Guiguinéo. Il est aussi prévu u repas avec les invités. La famille s’était même déplacée en France pour se souvenir de Marcel avec ses amis et étudiants. Le seul problème est que jusque là, on n’a pas encore accès à son dossier médical pour pouvoir comprendre les circonstances de sa mort », a soufflé à Leral.net Eloi Sy, le frère du défunt.
Si la famille avait su, par prémonition, que le destin allait être si cruel pour lui enlever, à 26 ans, leur fils, la famille Sy aurait embrassé davantage, cajoler son Marcel et lui dire qu’il l’aimait quand ce dernier était au Sénégal en vacances au Sénégal quelques jours avant son décès. La mort ne prévient pas et on ne meurt qu’une fois et cette fois-là, Marcel Sy s’en est allé sans crier gare.
Désormais, il repose au cimetière catholique de Guinguinéo. La famille Sy avait nourri beaucoup d’espoir pour ce médecin qui, à 26 ans, qui avait réussi sa vie avec, en perspective, une prometteuse carrière de médecin à Marseille, la ville au Vieux Port. La nouvelle est tombée comme un couperet jeudi dernier.
Avant de sécher les premières larmes, la presse enfonçait le clou, en révélant son présumé suicide et cela a fait déborder le vase affectif de la famille. Il y a un an, la maman Elizabeth Ndong a essayé de parler avec Leral.net, mais, au bout du fil, elle n’a pas pu sortir de mots, mais plutôt des gémissements de sanglots.
En tant que maman qui se remémorait la naissance de son bébé, quand elle lui mettait les couches, l’avoir vu grandir, c’était une douleur irrépressible. Aujourd’hui encore, la douleur est là.
C’est la fille de cette dernière, qui est, par ailleurs, professeur de philosophie, qui avait repris, stoïque, le téléphone pour se remémorer un frère exemplaire qui faisait la fierté de Guiguinéo.
La famille Sy n’oubliera jamais Marcel qui est passé dans le ciel, comme une étoile filante qui s’éteint, sans toucher le sol. Fauché en plein vol par l’ange de la mort, Marcel est actuellement dans l’au-delà, dans une autre dimension, laissant toute la famille éplorée.
Originaire du village de Ngolou, Marcel Sy laisse dans ce bas monde son père, Bernard Sy, sa maman, Elizabeth Ndong, ses frères : Laurent, Jean Paul et Charles Sy, sans oublier des sœurs inconsolables, Fernad, Laetitia et Rose. C’est toute cette famlle toujours dans la douleur et la foi, qui va se souvenir de Marcel Sy, via une messe pour prier pour le repos de son âme ce vendredi à Guiguinéo.
Comme dirait Abraham Lincoln «Ce qui compte, ce ne sont pas les années qu’il y a eu dans la vie. C’est la vie qu’il y a eu dans les années».
Et il y a eu dans la vie de Marcel Sy, 26 ans de bonté, d’affection et aussi d’intelligence pour avoir très tôt, décroché son diplôme de médecin, tout en regardant sa vie future en rose. Hélas, la mort était à l’affût pour mettre fin aux jours du médecin qui avait fait son serment d’Hippocrate pour exercer le métier de sauveur de vies.
Massène DIOP Leral.net