Citant un communiqué du Service national de sécurité (DGSN), les médias marocains qui avaient donné un scoop inimaginable sans le savoir avaient indiqué l’arrestation la nuit du 14 aout 2009 d’un fils d’un président africain détenteur de drogue. Et que l’arrestation fait suite à une opération majeure dans plusieurs villes du pays. Au cours de cette opération, la police a saisi une grande quantité de drogues dures, ainsi que de faux documents, y compris des papiers d'identité et permis de conduire.
Dans une première publication, les médias marocains qui avaient donné l’information avaient parlé de l’arrestation du fils d’un dirigeant africain sans citer de nom. Mais, des rapports de renseignement confirment que ce fils de son père n’est le rejeton du président sénégalais, Abdoulaye Wade. Ministre d'Etat sénégalais, à la Coopération Internationale, le transport aérien et de l'Infrastructure Karim Wade, a été apparemment été arrêté à l’aéroport de Casablanca en possession de haschich au moment où il s’apprêtait à quitter le royaume.
Aussitôt mis aux arrêts, il n’est sorti des griffes des limiers que sur intervention personnelle du roi du Maroc qui a rappliqué à l’aéroport pour remonter les bretelles à l’officier de police. Et le sanctionner avec toute son équipe. Muté sur le champ avec quelques collègues, le policier que certains croyaient être mêlé à une histoire vol, de détournement….n’a payé que pour avoir fait son travail.
Le roi qui cherchait, certainement, à cacher «les raisons peu avouables» de la présence de Karim au Maroc n’a pas aimé que «son ami» soit traité de la sorte. C’est pourquoi lorsqu’il a été informé plus tard, le a sévi, en obtenant la libération de Karim Wade mais en mutant les policiers loin de la capitale et des journalistes. Avant Karim Wade, c’est «son frère» Samuel Sarr alors ministre de l’Energie qui a été cité dans une affaire de drogue.
Son garde du corps qui est son homme de confiance depuis longtemps a été arrêté dans la nuit du 6 au 7 octobre 2007 par les éléments du commissariat du Point E, à Dakar. Et, selon le procès-verbal d’audition, l’homme était porteur d’un pistolet de marque «Jenning» et de deux cartouches de calibre 9 mm. En plus de cette trouvaille, normale chez un garde du corps, «les policiers, à en croire l’article de notre confrère Daouda Mine de l’Observateur, ont découvert dans le coffre de sa moto, une pierre de cocaïne, une pipe et un cornet de chanvre indien».
Babacar Touré lindependantnews.com/
Dans une première publication, les médias marocains qui avaient donné l’information avaient parlé de l’arrestation du fils d’un dirigeant africain sans citer de nom. Mais, des rapports de renseignement confirment que ce fils de son père n’est le rejeton du président sénégalais, Abdoulaye Wade. Ministre d'Etat sénégalais, à la Coopération Internationale, le transport aérien et de l'Infrastructure Karim Wade, a été apparemment été arrêté à l’aéroport de Casablanca en possession de haschich au moment où il s’apprêtait à quitter le royaume.
Aussitôt mis aux arrêts, il n’est sorti des griffes des limiers que sur intervention personnelle du roi du Maroc qui a rappliqué à l’aéroport pour remonter les bretelles à l’officier de police. Et le sanctionner avec toute son équipe. Muté sur le champ avec quelques collègues, le policier que certains croyaient être mêlé à une histoire vol, de détournement….n’a payé que pour avoir fait son travail.
Le roi qui cherchait, certainement, à cacher «les raisons peu avouables» de la présence de Karim au Maroc n’a pas aimé que «son ami» soit traité de la sorte. C’est pourquoi lorsqu’il a été informé plus tard, le a sévi, en obtenant la libération de Karim Wade mais en mutant les policiers loin de la capitale et des journalistes. Avant Karim Wade, c’est «son frère» Samuel Sarr alors ministre de l’Energie qui a été cité dans une affaire de drogue.
Son garde du corps qui est son homme de confiance depuis longtemps a été arrêté dans la nuit du 6 au 7 octobre 2007 par les éléments du commissariat du Point E, à Dakar. Et, selon le procès-verbal d’audition, l’homme était porteur d’un pistolet de marque «Jenning» et de deux cartouches de calibre 9 mm. En plus de cette trouvaille, normale chez un garde du corps, «les policiers, à en croire l’article de notre confrère Daouda Mine de l’Observateur, ont découvert dans le coffre de sa moto, une pierre de cocaïne, une pipe et un cornet de chanvre indien».
Babacar Touré lindependantnews.com/