Quatre femmes aux identités inconnues perturbent le sommeil des habitants de la cité Dalal Jàmm de Kounoune, dans la commune de Jaxaay. Elles seraient les auteures d’une série de vols de chargements de béton disposés devant des maisons en construction. Pour le transport de leur butin, les voleuses présumées peuvent compter sur un charretier.
D’après Les Échos, repris par Seneweb, les suspectes s’arment «de gros sacs et de tamis et font semblant de trier les restes de béton dispersés dans le sol au cours des travaux de construction». «Quand le gang tombe sur un chargement de béton devant une maison en chantier, il immobilise la charrette, met en vitesse le tas de béton dans des sacs et disparaît dans les labyrinthes de la cité», détaille le journal.
La même source poursuit : «Si les malfaiteurs sont surpris sur les faits par des passants et autres habitants, ils déclarent que les propriétaires des maisons visitées leur ont offert le béton. Quand ils sont démasqués puis invités à appeler lesdits propriétaires, ils sautent à bord de leur charrette et se volatilisent dans la nature.» Il peut arriver, selon Les Échos, que le charretier fausse compagnie aux femmes si l’opération tourne mal.
«[Les quatre femmes et le charretier] nous terrorisent. […] On multiplie les rondes diurnes et nocturnes dans la cité pour veiller sur les chantiers», confient des habitants de la cité Dalal Jàmm qui se sont confiés au journal.
D’après Les Échos, repris par Seneweb, les suspectes s’arment «de gros sacs et de tamis et font semblant de trier les restes de béton dispersés dans le sol au cours des travaux de construction». «Quand le gang tombe sur un chargement de béton devant une maison en chantier, il immobilise la charrette, met en vitesse le tas de béton dans des sacs et disparaît dans les labyrinthes de la cité», détaille le journal.
La même source poursuit : «Si les malfaiteurs sont surpris sur les faits par des passants et autres habitants, ils déclarent que les propriétaires des maisons visitées leur ont offert le béton. Quand ils sont démasqués puis invités à appeler lesdits propriétaires, ils sautent à bord de leur charrette et se volatilisent dans la nature.» Il peut arriver, selon Les Échos, que le charretier fausse compagnie aux femmes si l’opération tourne mal.
«[Les quatre femmes et le charretier] nous terrorisent. […] On multiplie les rondes diurnes et nocturnes dans la cité pour veiller sur les chantiers», confient des habitants de la cité Dalal Jàmm qui se sont confiés au journal.