Opposée aux champions d’Europe et du monde en titre, l’équipe de France de France n’a rien à perdre ce soir pour son quart de finale face à l’Espagne. Condamnés à l’exploit, les Bleus ont pourtant vu une vague d’optimisme naître dans la presse. « Tout à gagner », titre L’Équipe, « Le plus grand de tous les défis », ajoute Le Parisien, tandis que La Provence y va de son « Y croire ? Pourquoi pas ? »
Donnée perdante sur le papier, la France suscite donc encore un peu d’espoir au pays. La raison ? Sa position d’outsider qui l’a souvent fait renverser des montagnes. Et ça, les Espagnols en sont conscients. Bien décidés à nous faire payer « l’affaire des Guignols », nos voisins ibériques ne s’avancent pas pour autant avec une confiance démesurée. Et ce match face aux hommes de Laurent Blanc est également pris très au sérieux. « Le coq ne doit pas chanter », « On arrête les blagues. La Roja doit dissiper les doutes français sur le sport espagnol et mettre un terme au maléfice gaulois en match officiel », écrit Marca qui souligne l’incapacité de la sélection espagnole à venir à bout des Français en compétition officielle. Une statistique qui fait également la une de As.
« Vamos España », « La France : la porte vers le paradis ». Décidés à vaincre le signe indien, les Espagnols redoutent toutefois le réveil d’un homme : Karim Benzema. Conscients du potentiel du nº 10 tricolore, les partenaires de Xavi n’ont pas vraiment envie de voir le Merengue débloquer son compteur but ce soir. Si El Pais se veut rassurant avec « le problème de Benzema, c’est qu’il ne joue pas avec Iniesta », un autre média local titrait « La plus grande menace contre l’Espagne est un certain Benzema. »
Autre preuve que l’attaquant numéro un des Bleus inquiète, même son futur adversaire direct, Sergio Ramos, prie pour que l’ancien Lyonnais ne soit pas dans un grand soir. « Oui, je m’entends très bien avec lui et on s’est contactés par téléphone. Il n’a pas encore commencé à marquer dans cet Euro, mais on a pu voir que c’était un attaquant qui travaille pour l’équipe, qui peut faire la différence. La moindre minute ou la moindre seconde de déconcentration, avec lui, peut se transformer en but. J’espère que ce ne sera pas son jour. » Au Français de faire parler la poudre.
Matthieu Margueritte
Donnée perdante sur le papier, la France suscite donc encore un peu d’espoir au pays. La raison ? Sa position d’outsider qui l’a souvent fait renverser des montagnes. Et ça, les Espagnols en sont conscients. Bien décidés à nous faire payer « l’affaire des Guignols », nos voisins ibériques ne s’avancent pas pour autant avec une confiance démesurée. Et ce match face aux hommes de Laurent Blanc est également pris très au sérieux. « Le coq ne doit pas chanter », « On arrête les blagues. La Roja doit dissiper les doutes français sur le sport espagnol et mettre un terme au maléfice gaulois en match officiel », écrit Marca qui souligne l’incapacité de la sélection espagnole à venir à bout des Français en compétition officielle. Une statistique qui fait également la une de As.
« Vamos España », « La France : la porte vers le paradis ». Décidés à vaincre le signe indien, les Espagnols redoutent toutefois le réveil d’un homme : Karim Benzema. Conscients du potentiel du nº 10 tricolore, les partenaires de Xavi n’ont pas vraiment envie de voir le Merengue débloquer son compteur but ce soir. Si El Pais se veut rassurant avec « le problème de Benzema, c’est qu’il ne joue pas avec Iniesta », un autre média local titrait « La plus grande menace contre l’Espagne est un certain Benzema. »
Autre preuve que l’attaquant numéro un des Bleus inquiète, même son futur adversaire direct, Sergio Ramos, prie pour que l’ancien Lyonnais ne soit pas dans un grand soir. « Oui, je m’entends très bien avec lui et on s’est contactés par téléphone. Il n’a pas encore commencé à marquer dans cet Euro, mais on a pu voir que c’était un attaquant qui travaille pour l’équipe, qui peut faire la différence. La moindre minute ou la moindre seconde de déconcentration, avec lui, peut se transformer en but. J’espère que ce ne sera pas son jour. » Au Français de faire parler la poudre.
Matthieu Margueritte