Il y a de cela quelques jours, le ministre d’Etat, ministre de la Justice, Me El Hadji Amadou Sall avait annoncé sur les ondes le jugement prochain de dossiers relatifs au blanchiment de capitaux. Un dossier explosif sera jugé le 25 mai prochain et l’affaire sera suivie de très prés du côté de Rome, et pour cause. Elle éclabousse directement l’ancien consul d’Italie au Sénégal, rappelé après l’éclatement d’une affaire de trafic de visas qui fait l’objet d’une procédure en Italie. À la suite du rappel en Italie du consul Antonio T., la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) avait révélé aux autorités judiciaires sénégalaises la face cachée du scandale.
Comme s’il savait que ses magouilles allaient un jour être mises à nu, le consul de l’époque avait enregistré ses biens ainsi que ses comptes bancaires au nom de sa concubine, Marguerite K, qui vit au Sénégal. Ce qui, selon la Centif, n’est rien d’autre que du blanchiment, puisque tout laisse croire que les fonds ayant permis à l’achat de ces biens proviennent du trafic de visas dont le consul est accusé. Une information judiciaire pour blanchiment a été ainsi ouverte par le parquet de Dakar, saisi du rapport des Renseignements financiers. C’est ainsi que Marguerite K. a été inculpée pour blanchiment de capitaux. Mais en raison d’une grossesse avancée, elle a été placée sous contrôle judiciaire. Dans la traque des biens mis en cause, la justice sénégalaise a saisi deux villas enregistrées par l’ex-consul au nom de sa concubine, aux Almadies et à Ngor. Le prix des deux villas a été évalué à 600 millions de Fcfa. Quelque 1,3 milliard de Fcfa a été aussi retrouvé dans des comptes enregistrés au nom de Marguerite K.
C. M.G l'asqoitidien
Un agent de la mairie de Rufisque tombe dans l’affaire du chèque d’un milliard
Un autre dossier, évoqué par L’As, a connu un rebondissement de taille. Comme nous le révélions, la société « Eximport développement », avait été mise en cause dans une affaire de blanchiment portant sur un chèque d’un milliard de Fcfa. Deux personnes, dont un sergent de l’armée avaient été conduites devant le juge par la Section Recherches de la gendarmerie nationale, avant que le militaire ne soit remis en liberté faute d’ordre de poursuite. Toujours dans le cadre de cette délégation judiciaire, la Section Recherches a récemment conduit au premier cabinet le nommé Moussa D., agent municipal à la mairie de Rufisque. Inculpé par le juge instructeur, il est le mis en cause principal dans cette affaire rocambolesque.
C.M.G l'asquotidien
Comme s’il savait que ses magouilles allaient un jour être mises à nu, le consul de l’époque avait enregistré ses biens ainsi que ses comptes bancaires au nom de sa concubine, Marguerite K, qui vit au Sénégal. Ce qui, selon la Centif, n’est rien d’autre que du blanchiment, puisque tout laisse croire que les fonds ayant permis à l’achat de ces biens proviennent du trafic de visas dont le consul est accusé. Une information judiciaire pour blanchiment a été ainsi ouverte par le parquet de Dakar, saisi du rapport des Renseignements financiers. C’est ainsi que Marguerite K. a été inculpée pour blanchiment de capitaux. Mais en raison d’une grossesse avancée, elle a été placée sous contrôle judiciaire. Dans la traque des biens mis en cause, la justice sénégalaise a saisi deux villas enregistrées par l’ex-consul au nom de sa concubine, aux Almadies et à Ngor. Le prix des deux villas a été évalué à 600 millions de Fcfa. Quelque 1,3 milliard de Fcfa a été aussi retrouvé dans des comptes enregistrés au nom de Marguerite K.
C. M.G l'asqoitidien
Un agent de la mairie de Rufisque tombe dans l’affaire du chèque d’un milliard
Un autre dossier, évoqué par L’As, a connu un rebondissement de taille. Comme nous le révélions, la société « Eximport développement », avait été mise en cause dans une affaire de blanchiment portant sur un chèque d’un milliard de Fcfa. Deux personnes, dont un sergent de l’armée avaient été conduites devant le juge par la Section Recherches de la gendarmerie nationale, avant que le militaire ne soit remis en liberté faute d’ordre de poursuite. Toujours dans le cadre de cette délégation judiciaire, la Section Recherches a récemment conduit au premier cabinet le nommé Moussa D., agent municipal à la mairie de Rufisque. Inculpé par le juge instructeur, il est le mis en cause principal dans cette affaire rocambolesque.
C.M.G l'asquotidien