Selon M. Kassé, les intimidations ne passeront pas. «On les enfermera, on les battra ; ce sera injuste et ça ne réglera rien du tout», a déclaré le Professeur qui était, ce dimanche, un des invités de l’émission Remue-ménage de la Rfm.
«Pourquoi ceux qui saisissent les commerçants ne renoncent pas à une partie de leur salaire au nom de la patrie? Pourquoi on ne demanderait pas à ceux qui ont le plus de moyens de se priver d’une partie de ces moyens pour permettre aux autres de vivre. Pourquoi, ils ne le font pas ? », se demande l’économiste pour s’indigner.
L’universitaire enseigne qu’il faut poser des mécanismes qui permettent un abaissement adéquat des prix. Sans cela prédit-il, aucun objectif ne sera atteint dans la baisse des prix.
Pour étayer ses propos, le Professeur met en exerce la mise en place des boutiques Easy il y a quelques mois. «Où sont-elles ? Ça n’a rien donné ! », fait-il savoir.
«Si cela avait répondu aux besoins, on n’en serait pas là. Parce que ces boutiques étaient faites pour approvisionner le marché au meilleur prix et au meilleur des intérêts des consommateurs», rappelle-t-il en notant qu’il doit avoir des concertations avec les commerçants..
«Cela veut dire que cette politique n’a pas donné les résultats escomptés. Car le niveau de baisse de prix dépend du niveau du pouvoir d’achat des gens», a-t-il ajouté.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
«Pourquoi ceux qui saisissent les commerçants ne renoncent pas à une partie de leur salaire au nom de la patrie? Pourquoi on ne demanderait pas à ceux qui ont le plus de moyens de se priver d’une partie de ces moyens pour permettre aux autres de vivre. Pourquoi, ils ne le font pas ? », se demande l’économiste pour s’indigner.
L’universitaire enseigne qu’il faut poser des mécanismes qui permettent un abaissement adéquat des prix. Sans cela prédit-il, aucun objectif ne sera atteint dans la baisse des prix.
Pour étayer ses propos, le Professeur met en exerce la mise en place des boutiques Easy il y a quelques mois. «Où sont-elles ? Ça n’a rien donné ! », fait-il savoir.
«Si cela avait répondu aux besoins, on n’en serait pas là. Parce que ces boutiques étaient faites pour approvisionner le marché au meilleur prix et au meilleur des intérêts des consommateurs», rappelle-t-il en notant qu’il doit avoir des concertations avec les commerçants..
«Cela veut dire que cette politique n’a pas donné les résultats escomptés. Car le niveau de baisse de prix dépend du niveau du pouvoir d’achat des gens», a-t-il ajouté.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com