
Le bâtonnier désigné par l’Ordre des avocats de Paris a rappelé que "certains membres du gouvernement de Macky Sall ont accusé d’une façon globale le gouvernement précédant d’avoir détourné 4.000 milliards de francs Cfa vers l’étranger dont 2.400 milliards en France".
Mais, a-t-il dénoncé, le gouvernement de Macky Sall a décidé de n’effectuer aucun rapport d’audit sur le fonctionnement des ministères, et aucune expertise ou enquête sur un certain nombres d’agences dont l’ANOCI, de telle sorte qu’il faut se rendre à l’évidence qu’il n’y a pas eu de détournement de fonds publics avérés". Parallèlement, souligne-t-il, "aucun Etat étranger, en dépit de recherches sérieuses (par exemple en France), n’a établi que quelque argent que ce soit aurait été logé illégalement au bénéfice d’un mécanisme dit de “biens mal acquis”.
"C’est la raison pour laquelle, le Procureur Spécial a inventé le schéma qui suit : Identifier diverses sociétés et les imputer à Karim Wade. Valoriser lesdites sociétés par une notion inexistante en comptabilité et en droit, donc surréaliste, du “poids financier disponible!", a dit Me Pierre Olivier Sur. Aussi, sûr de lui, l'avocat assure-t-il qu’il "n’est pas étonnant qu’on puisse passer de 4.000 milliards à 700 milliards… et qu’il est certain que, après expertise d’un cabinet d’audit international, le chiffre tendra vers 0".
Mais, a-t-il dénoncé, le gouvernement de Macky Sall a décidé de n’effectuer aucun rapport d’audit sur le fonctionnement des ministères, et aucune expertise ou enquête sur un certain nombres d’agences dont l’ANOCI, de telle sorte qu’il faut se rendre à l’évidence qu’il n’y a pas eu de détournement de fonds publics avérés". Parallèlement, souligne-t-il, "aucun Etat étranger, en dépit de recherches sérieuses (par exemple en France), n’a établi que quelque argent que ce soit aurait été logé illégalement au bénéfice d’un mécanisme dit de “biens mal acquis”.
"C’est la raison pour laquelle, le Procureur Spécial a inventé le schéma qui suit : Identifier diverses sociétés et les imputer à Karim Wade. Valoriser lesdites sociétés par une notion inexistante en comptabilité et en droit, donc surréaliste, du “poids financier disponible!", a dit Me Pierre Olivier Sur. Aussi, sûr de lui, l'avocat assure-t-il qu’il "n’est pas étonnant qu’on puisse passer de 4.000 milliards à 700 milliards… et qu’il est certain que, après expertise d’un cabinet d’audit international, le chiffre tendra vers 0".