‘’La hausse des cours du pétrole et des graisses a compensé la baisse des cotations des céréales et du sucre, tandis que les valeurs des produits laitiers et de la viande sont restées pratiquement inchangées’’, selon la FAO.
L’organisation onusienne indique que ‘’la pause, dans la baisse de l'indice, coïncide avec la forte révision à la hausse des dernières prévisions de la FAO relatives à la production céréalière mondiale pour 2012’’.
Elle souligne que ‘’celle-ci est maintenant estimée à 2.302 millions de tonnes, soit 20 millions de tonnes de plus que les prévisions de décembre’’.
‘’Le Bulletin mensuel de la FAO sur l'offre et la demande mondiales de céréales fait observer que cette révision reflète principalement les ajustements aux estimations de la production de maïs en Chine, en Amérique du Nord et dans les pays européens de la CEI’’, relève la publication.
‘’Mais, même ainsi, la production céréalière mondiale resterait encore inférieure de 2 pour cent à la récolte record de 2011’’, relativise-t-elle.
Elle note que ‘’les premières perspectives relatives à la production céréalière de 2013 indiquent une amélioration de la production mondiale de blé’’.
D’après elle, ‘’l'augmentation de 4 à 5 pour cent des superficies cultivées de blé dans l'Union européenne, où les conditions météorologiques ont été jusqu'à présent favorables, a largement contribué à cette embellie’’.
‘’Mais aux États-Unis, les perspectives sont moins bonnes : en dépit d'une augmentation d'environ 1 pour cent des semis de blé d'hiver et des bonnes perspectives d'expansion des zones de blé de printemps, une grave sécheresse continue de sévir dans les plaines du Sud où l'état des cultures est loin d'être idéal’’, signale la FAO.
‘’Compte tenu de la situation tendue des approvisionnements, les conditions climatiques restent un facteur important pour la détermination des prix. Pour plusieurs céréales, il conviendrait d'augmenter la production de manière significative, cette année, pour éviter une hausse intempestive des prix’’, a déclaré notamment Abdolreza Abbassian, économiste à la FAO.
ASG/DND
L’organisation onusienne indique que ‘’la pause, dans la baisse de l'indice, coïncide avec la forte révision à la hausse des dernières prévisions de la FAO relatives à la production céréalière mondiale pour 2012’’.
Elle souligne que ‘’celle-ci est maintenant estimée à 2.302 millions de tonnes, soit 20 millions de tonnes de plus que les prévisions de décembre’’.
‘’Le Bulletin mensuel de la FAO sur l'offre et la demande mondiales de céréales fait observer que cette révision reflète principalement les ajustements aux estimations de la production de maïs en Chine, en Amérique du Nord et dans les pays européens de la CEI’’, relève la publication.
‘’Mais, même ainsi, la production céréalière mondiale resterait encore inférieure de 2 pour cent à la récolte record de 2011’’, relativise-t-elle.
Elle note que ‘’les premières perspectives relatives à la production céréalière de 2013 indiquent une amélioration de la production mondiale de blé’’.
D’après elle, ‘’l'augmentation de 4 à 5 pour cent des superficies cultivées de blé dans l'Union européenne, où les conditions météorologiques ont été jusqu'à présent favorables, a largement contribué à cette embellie’’.
‘’Mais aux États-Unis, les perspectives sont moins bonnes : en dépit d'une augmentation d'environ 1 pour cent des semis de blé d'hiver et des bonnes perspectives d'expansion des zones de blé de printemps, une grave sécheresse continue de sévir dans les plaines du Sud où l'état des cultures est loin d'être idéal’’, signale la FAO.
‘’Compte tenu de la situation tendue des approvisionnements, les conditions climatiques restent un facteur important pour la détermination des prix. Pour plusieurs céréales, il conviendrait d'augmenter la production de manière significative, cette année, pour éviter une hausse intempestive des prix’’, a déclaré notamment Abdolreza Abbassian, économiste à la FAO.
ASG/DND