Organisation
L’organisation de la 10e édition du festival du théâtre et du rire de Kaolack a été un vrai désastre, surtout pour la presse. En effet, aucun programme n’a été distribué pour avoir une idée des lieux où se dérouleront les évènements dans les différents quartiers de la capitale du Saloum. Pis, aucun membre de l’organisation n’a pu apporter des renseignements. Et après la cérémonie d’ouverture, tous les
membres de l’organisation se sont engouffrés dans leurs véhicules avec le ministre de la Culture Youssou Ndour à qui ils ont offert un pot dans un endroit qu’ils ont tenu secret. Du coup, la presse n’a même pas pu faire parler ni les officiels ni aucun membre de l’organisation.
Organisation (bis)
Le pire dans cette histoire est que la presse n’a même pas pu assister à la prestation des artistes à l’Alliance française de Kaolack «Ndangane», puisqu’elle n’a pas pu accéder à la salle. A l’entrée principale déjà, et malgré les cartes de presse, le policier en faction disait : «Stop, n’avancez plus». Il n’y avait que des «dégagez !». Et une fois que les journalistes qui ont été ballottés d’une entrée à l’autre ont enfin pu accéder dans l’enceinte, après maintes difficultés, ils n’avaient personne à qui parler. Et pour entrer dans la salle de spectacle, il fallait encore passer par une autre porte gardée par trois malabars très désagréables. Et même là, c’est juste aux coulisses des artistes que la porte donne. Impossible d’être dans la salle, alors que la prestation battait son plein. Sans les journalistes.
SOURCE:Populaire
L’organisation de la 10e édition du festival du théâtre et du rire de Kaolack a été un vrai désastre, surtout pour la presse. En effet, aucun programme n’a été distribué pour avoir une idée des lieux où se dérouleront les évènements dans les différents quartiers de la capitale du Saloum. Pis, aucun membre de l’organisation n’a pu apporter des renseignements. Et après la cérémonie d’ouverture, tous les
membres de l’organisation se sont engouffrés dans leurs véhicules avec le ministre de la Culture Youssou Ndour à qui ils ont offert un pot dans un endroit qu’ils ont tenu secret. Du coup, la presse n’a même pas pu faire parler ni les officiels ni aucun membre de l’organisation.
Organisation (bis)
Le pire dans cette histoire est que la presse n’a même pas pu assister à la prestation des artistes à l’Alliance française de Kaolack «Ndangane», puisqu’elle n’a pas pu accéder à la salle. A l’entrée principale déjà, et malgré les cartes de presse, le policier en faction disait : «Stop, n’avancez plus». Il n’y avait que des «dégagez !». Et une fois que les journalistes qui ont été ballottés d’une entrée à l’autre ont enfin pu accéder dans l’enceinte, après maintes difficultés, ils n’avaient personne à qui parler. Et pour entrer dans la salle de spectacle, il fallait encore passer par une autre porte gardée par trois malabars très désagréables. Et même là, c’est juste aux coulisses des artistes que la porte donne. Impossible d’être dans la salle, alors que la prestation battait son plein. Sans les journalistes.
SOURCE:Populaire