Ameth s'est permis d'ériger sur ledit site son école dénommée Institut islamique agricole, dont il est le président. Poursuivant, la plaignante mentionne que le terrain en question souffre de l'indivision.
Parce qu'elle le partage avec ses autres frères et sœurs. Donc, il ne peut faire objet de vente, dit-elle.
Une thèse rejetée sur toute la ligne par M. Niass qui soutient que le terrain lui a été bel bien vendu par la dame. À l'en croire, il l'a acquis auprès d'elle à 10.000.000F Cfa en 1996.Ceci, à l'insu de ses copropriétaires, a-t-il souligné, avant d'informer de son inscription dans le registre foncier. Et comme preuve, le prévenu brandit un reçu signé par la dame en présence, dit-il, de la notaire Aïssatou Guèye Diagne. Celle-ci aurait établi l'acte.
Pour Me Borso Pouye, doutant fort de la signature sur le reçu, a estimé que sa cliente n'a jamais vendu ni encaissé d'argent. Selon elle, cette dernière ne peut le vendre, car elle n'a pas la qualité, n'étant pas la seule propriétaire.
Me Pouye d'indiquer que l'ex-conseiller spécial du président aurait préfabriqué l'acte suite à la citation. Invitant le tribunal à ne pas en tenir compte pour le condamner, elle a demandé 50.000.000F Cfa pour le préjudice subi.
Ne l'entendant pas de cette oreille, Me Sidy Kanouté, assurant sa défense, a dénoncé la mauvaise foi de la parie civile. Selon lui, le fait de dire : je n'ai rien vendu, ni signé encore moins encaissé, cela relève de la mauvaise foi.
Le tout couronné par un refus de reconnaître sa propre signature qui dénote simplement de la fuite en avant. L'avocat a exigé du tribunal la relaxe pure et simple de son client.
Et de débouter la partie plaignante de sa demande. À l'en croire, la victime leur a vendu 969 m2, une partie de sa part de l'héritage d'une superficie de 1963 m2.
L'affaire est mise en délibéré pour le 26 janvier prochain.
Parce qu'elle le partage avec ses autres frères et sœurs. Donc, il ne peut faire objet de vente, dit-elle.
Une thèse rejetée sur toute la ligne par M. Niass qui soutient que le terrain lui a été bel bien vendu par la dame. À l'en croire, il l'a acquis auprès d'elle à 10.000.000F Cfa en 1996.Ceci, à l'insu de ses copropriétaires, a-t-il souligné, avant d'informer de son inscription dans le registre foncier. Et comme preuve, le prévenu brandit un reçu signé par la dame en présence, dit-il, de la notaire Aïssatou Guèye Diagne. Celle-ci aurait établi l'acte.
Pour Me Borso Pouye, doutant fort de la signature sur le reçu, a estimé que sa cliente n'a jamais vendu ni encaissé d'argent. Selon elle, cette dernière ne peut le vendre, car elle n'a pas la qualité, n'étant pas la seule propriétaire.
Me Pouye d'indiquer que l'ex-conseiller spécial du président aurait préfabriqué l'acte suite à la citation. Invitant le tribunal à ne pas en tenir compte pour le condamner, elle a demandé 50.000.000F Cfa pour le préjudice subi.
Ne l'entendant pas de cette oreille, Me Sidy Kanouté, assurant sa défense, a dénoncé la mauvaise foi de la parie civile. Selon lui, le fait de dire : je n'ai rien vendu, ni signé encore moins encaissé, cela relève de la mauvaise foi.
Le tout couronné par un refus de reconnaître sa propre signature qui dénote simplement de la fuite en avant. L'avocat a exigé du tribunal la relaxe pure et simple de son client.
Et de débouter la partie plaignante de sa demande. À l'en croire, la victime leur a vendu 969 m2, une partie de sa part de l'héritage d'une superficie de 1963 m2.
L'affaire est mise en délibéré pour le 26 janvier prochain.