C’est à partir de cette ancienne ampire d’Afrique noire que les almoravides ont débarqués avec la dernière religion monothéiste, l’islam fut révélé à la fin du septième siècle mais trouve d’énormes difficultés avant d’imposer sa suprématie devant un peuple animiste, déterminée et conservateur.
Depuis que les Soninkés ont épousés la religion islamique, ils ont toujours vécu en communauté dont la charte communautaire repose sur les préceptes de la religion de Mohamed paix et salut sur lui et d’une culture aux multiples facettes.
Une fois dans le pays Soninké, à Bakel ou ailleurs l’un des premiers constats sont les minarets des mosquées du village, mais aussi surtout les grands centres universitaires appelés « Moissi » qui accueille des centaines de jeunes disciples qui y apprennent le coran.
Des recherches ont révélés de grands marabouts, érudits et guides religieux mais aussi résistants contre les puissances coloniales à l’instar de Mamadou Lamine Drame qui a inscrit ses lettres de noblesses dans le landerneau historique de Bakel en faisant face aux troupes du commandant Lefranc.
La communauté Soninké est entièrement composée de musulman, mais la particularité est que ces derniers ne connaissent pas de confréries en général. L’un des sages rencontres chez lui dans son village à Toulele (magama) au bord du fleuve Sénégal en train de lire le coran Kodo Sikhou Soumare, de son nom nous confie que les soninkés respectent beaucoup les autres confréries du Sénégal avec qui ils vivent en d’excellentes termes, mais qu’ils n’haderent pas à cette philosophie dites « tarikhas ». D’ailleurs dans la commune de Waounde l’actuel Maire a offert un terrain aux Mourides qui travaillent dans ce village pour en faire la maison de Serigne Touba.
Justement pour parler de Serigne Touba Cheikh Ahmadou Bamba Mbacke continue le vieux Soumare, j’admire le marabout dans ses écrits quand il dit je cite : « ligueye diamou yalla » (travaille et pratique de l’islam). Nous Soninké on s’y retrouve profondément si bien qu’on n’est pas Mourides.
Nous reconnaissons aussi la valeur et la dimension du Marabout, l’érudit qu’il fut et l’excellente travaille qu’il a effectué et que ces petits enfants continuent d’accomplir aujourd’hui.
Nous connaissons bien la communauté Tidiane aussi dans toute sa diversité pour tout simplement dire que nous n’ignorons pas totalement ces hommes de valeurs qui sont des symboles du pays.
Malgré tous les Soninké ne sont généralement pas membres des confréries, on pratique quotidiennement l’islam la charia et la sunna du prophète Mohamed (paix et salut sur lui), on apprend le coran et on respecte à la lettre les cinq piliers de l’islam. Dixit le vieux Soumare.
IBOU CAMARA leral.net
Depuis que les Soninkés ont épousés la religion islamique, ils ont toujours vécu en communauté dont la charte communautaire repose sur les préceptes de la religion de Mohamed paix et salut sur lui et d’une culture aux multiples facettes.
Une fois dans le pays Soninké, à Bakel ou ailleurs l’un des premiers constats sont les minarets des mosquées du village, mais aussi surtout les grands centres universitaires appelés « Moissi » qui accueille des centaines de jeunes disciples qui y apprennent le coran.
Des recherches ont révélés de grands marabouts, érudits et guides religieux mais aussi résistants contre les puissances coloniales à l’instar de Mamadou Lamine Drame qui a inscrit ses lettres de noblesses dans le landerneau historique de Bakel en faisant face aux troupes du commandant Lefranc.
La communauté Soninké est entièrement composée de musulman, mais la particularité est que ces derniers ne connaissent pas de confréries en général. L’un des sages rencontres chez lui dans son village à Toulele (magama) au bord du fleuve Sénégal en train de lire le coran Kodo Sikhou Soumare, de son nom nous confie que les soninkés respectent beaucoup les autres confréries du Sénégal avec qui ils vivent en d’excellentes termes, mais qu’ils n’haderent pas à cette philosophie dites « tarikhas ». D’ailleurs dans la commune de Waounde l’actuel Maire a offert un terrain aux Mourides qui travaillent dans ce village pour en faire la maison de Serigne Touba.
Justement pour parler de Serigne Touba Cheikh Ahmadou Bamba Mbacke continue le vieux Soumare, j’admire le marabout dans ses écrits quand il dit je cite : « ligueye diamou yalla » (travaille et pratique de l’islam). Nous Soninké on s’y retrouve profondément si bien qu’on n’est pas Mourides.
Nous reconnaissons aussi la valeur et la dimension du Marabout, l’érudit qu’il fut et l’excellente travaille qu’il a effectué et que ces petits enfants continuent d’accomplir aujourd’hui.
Nous connaissons bien la communauté Tidiane aussi dans toute sa diversité pour tout simplement dire que nous n’ignorons pas totalement ces hommes de valeurs qui sont des symboles du pays.
Malgré tous les Soninké ne sont généralement pas membres des confréries, on pratique quotidiennement l’islam la charia et la sunna du prophète Mohamed (paix et salut sur lui), on apprend le coran et on respecte à la lettre les cinq piliers de l’islam. Dixit le vieux Soumare.
IBOU CAMARA leral.net