Le gouvernement a trouvé une solution de rechange. A la place des tentes qui renvoient à des camps de concentration, l’Etat va mettre à la disposition des populations sinistrées des maisons préfabriquées. La révélation a été faite, hier, par le ministre de l’Urbanisation, de l’Habitat, de la Construction et de l’Hydraulique. C’est sur la proposition du président de la République que cette décision a été prise. Ainsi, à la place des tentes, les sinistrés qui iront à Tivaouane-Peulh auront droit à des maisons de trois chambres. Mais aussi à des maisons en bambou. Mais pour le moment, ils vont loger dans les tentes, le temps que les maisons soient terminées.
Ce n’est pas tout. Toujours dans les mesures à court terme, le gouvernement compte continuer le pompage des eaux des bassins de rétention. Qui seront reversées dans les lacs Thiouroure et Wourouwaye. A partir de ces lacs, l’eau sera ensuite acheminée au lac Wouye pour être déversé dans la mer. Des pompes puissantes seront utilisées dans ces opérations. Et après les études qui ont été faites, tout peut se faire sans que les populations qui sont autour des lacs ne soient affectées par ces eaux.
Last but not least, il y a le projet global d’éradication des inondations au Sénégal. Dans ce projet, c’est une manne financière de 300 milliards dont l’Etat a besoin pour régler définitivement cette question. Cet argent va servir à effectuer de grands travaux, des déplacements, des dédommagements et bien d’autres opérations qui, au finish, vont permettre à ne plus parler d’inondations.
Latir Mané et Gaston Mansaly (stagiaire)
Source L'Observateur
Ce n’est pas tout. Toujours dans les mesures à court terme, le gouvernement compte continuer le pompage des eaux des bassins de rétention. Qui seront reversées dans les lacs Thiouroure et Wourouwaye. A partir de ces lacs, l’eau sera ensuite acheminée au lac Wouye pour être déversé dans la mer. Des pompes puissantes seront utilisées dans ces opérations. Et après les études qui ont été faites, tout peut se faire sans que les populations qui sont autour des lacs ne soient affectées par ces eaux.
Last but not least, il y a le projet global d’éradication des inondations au Sénégal. Dans ce projet, c’est une manne financière de 300 milliards dont l’Etat a besoin pour régler définitivement cette question. Cet argent va servir à effectuer de grands travaux, des déplacements, des dédommagements et bien d’autres opérations qui, au finish, vont permettre à ne plus parler d’inondations.
Latir Mané et Gaston Mansaly (stagiaire)
Source L'Observateur