Le monde de la lutte avec frappe risque d’être sevré la saison prochaine de combats chocs. En clair, les amateurs n’auront pas droit à des affiches phares, telles que Balla Gaye 2-Yékini, vécues lors du dernier exercice. C’est du moins cette tendance qui semble se dégager avec la volonté des promoteurs de lutte de ne plus faire recours aux services de certains ténors de l’arène qui refuseraient de faire des concessions pour diminuer les gros cachets qu’ils ont l’habitude de voir tomber dans leur besace.
Une année blanche lors de la prochaine saison de lutte reste suspendue au dessus de leur tête comme une épée de Damoclès, avec cette tendance baissière optée par ceux qui détiennent les cordons de la bourse. Plus que déterminés à plafonner les cachets à 75 millions de francs Cfa, les promoteurs, regroupés à travers un collectif, ont réaffirmé cette position hier, par la voix d’un des leurs, en l’occurrence Aziz Ndiaye.
Contacté par téléphone hier, ce dernier a informé de la tenue d’une rencontre du collectif des promoteurs, prévue cet après-midi à 16 heures, au restaurant Les Maristes, où la question sera à nouveau au menu des discussions. «Je ne le souhaite pas, mais les ténors risquent de chômer. S’ils ne reviennent pas à la raison, ils risquent une année blanche», a indiqué le jeune promoteur.
Parlant des éventuelles affiches qui devront être au-devant de la scène lors de cette nouvelle saison qui s’annonce à l’horizon, Aziz Ndiaye révèle que ce sont les lutteurs dont les cachets sont raisonnables qui seront engagés. «Les promoteurs sont en train de négocier avec les lutteurs dont les cachets sont moins chers. Si on y prend grade, la prochaine saison sera celle des espoirs», a renchéri M. Ndiaye. Se félicitant de la création du collectif des promoteurs, qui s’inscrit dans une logique de faire marcher la lutte, l’organisateur des combats de lutte estime que cette trouvaille participe à faire mieux intégrer les promoteurs. «Le collectif est bénéfique pour notre coorporation. Depuis sa mise en place, vous n’avez plus entendu de tiraillements entre les promoteurs. Il n’y a plus de sortie dans la presse pour se jeter l’anathème», a soutenu Aziz Ndiaye.
Un autre promoteur, Serigne Modou Niang, membre du collectif, trouve que les promoteurs ont compris que la flambée des cachets trouve son origine sur «les tiraillements entre promoteurs», expliquant qu’ils ont décidé de défendre leurs intérêts à travers un tel cadre. Le promoteur de l’Alternance, qui révèle démarrer sa saison le 14 octobre prochain, risque d’être rejoint par ses autres collègues sur le terrain de la promotion des Espoirs qui faisait sa marque de fabrique.
leqotidien.sn
Une année blanche lors de la prochaine saison de lutte reste suspendue au dessus de leur tête comme une épée de Damoclès, avec cette tendance baissière optée par ceux qui détiennent les cordons de la bourse. Plus que déterminés à plafonner les cachets à 75 millions de francs Cfa, les promoteurs, regroupés à travers un collectif, ont réaffirmé cette position hier, par la voix d’un des leurs, en l’occurrence Aziz Ndiaye.
Contacté par téléphone hier, ce dernier a informé de la tenue d’une rencontre du collectif des promoteurs, prévue cet après-midi à 16 heures, au restaurant Les Maristes, où la question sera à nouveau au menu des discussions. «Je ne le souhaite pas, mais les ténors risquent de chômer. S’ils ne reviennent pas à la raison, ils risquent une année blanche», a indiqué le jeune promoteur.
Parlant des éventuelles affiches qui devront être au-devant de la scène lors de cette nouvelle saison qui s’annonce à l’horizon, Aziz Ndiaye révèle que ce sont les lutteurs dont les cachets sont raisonnables qui seront engagés. «Les promoteurs sont en train de négocier avec les lutteurs dont les cachets sont moins chers. Si on y prend grade, la prochaine saison sera celle des espoirs», a renchéri M. Ndiaye. Se félicitant de la création du collectif des promoteurs, qui s’inscrit dans une logique de faire marcher la lutte, l’organisateur des combats de lutte estime que cette trouvaille participe à faire mieux intégrer les promoteurs. «Le collectif est bénéfique pour notre coorporation. Depuis sa mise en place, vous n’avez plus entendu de tiraillements entre les promoteurs. Il n’y a plus de sortie dans la presse pour se jeter l’anathème», a soutenu Aziz Ndiaye.
Un autre promoteur, Serigne Modou Niang, membre du collectif, trouve que les promoteurs ont compris que la flambée des cachets trouve son origine sur «les tiraillements entre promoteurs», expliquant qu’ils ont décidé de défendre leurs intérêts à travers un tel cadre. Le promoteur de l’Alternance, qui révèle démarrer sa saison le 14 octobre prochain, risque d’être rejoint par ses autres collègues sur le terrain de la promotion des Espoirs qui faisait sa marque de fabrique.
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