A l’issue de la réunion de son secrétariat du Bureau confédéral tenue avant-hier, jeudi 18 décembre, le cartel syndical dirigé par Mamadou Diouf, par ailleurs secrétaire général du Sudes, a fermement condamné, après analyse de la situation de l’Ipres à la lumière des récentes révélations faites par la presse, « toute forme de spéculation ou de manipulation hasardeuse de nature à mettre en péril les réserves de cette institution ».
Pour la Csa en effet, la seule priorité qui doit être celle de l’Ipres, « c’est la préservation de l’autonomie de gestion de cette institution conquise de haute lutte par les travailleurs, la garantie de ses réserves en vue de sécuriser les allocations qu’il faut réviser en hausse pour permettre aux retraités de faire face au coût élevé de la vie ». Toutes choses qui passent, selon les compagnons de Mamadou Diouf, par le renouvellement des organes délibérants de l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal dont le mandat est arrivé à terme et le fonctionnement régulier des mécanismes de prise de décision.
Fort de ce constat, la Csa a vivement exprimé « son désaccord avec toute forme de consultation à domicile, tant à l’Ipres qu’à la Caisse de Sécurité Sociale ». Pour le cartel, « aucune urgence ne saurait justifier en effet la prise de décisions aussi importantes en dehors des instances de décision et les représentants des travailleurs ont le devoir impérieux de veiller à la stricte régularité de toutes les opérations de gestion ».
Enfin, tout en réaffirmant à l’issue de la réunion du secrétariat du Bureau confédéral sa solidarité avec ses partenaires de l’Intersyndicale des Centrales comme son ouverture à toute organisation syndicale ou cadre unitaire déterminé à se battre pour l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleuses et travailleurs, la Csa a appelé à la mobilisation pour la défense sans failles des intérêts des populations.
A ce niveau d’ailleurs, la CSA s’est dit solidaire de « toutes les initiatives prises par la population pour lutter contre la cherté de la vie et le coût excessif de l’électricité qui soumettent les Sénégalais à rude épreuve au moment où l’Etat maintient son train de vie dispendieux ».
Pour la Csa en effet, la seule priorité qui doit être celle de l’Ipres, « c’est la préservation de l’autonomie de gestion de cette institution conquise de haute lutte par les travailleurs, la garantie de ses réserves en vue de sécuriser les allocations qu’il faut réviser en hausse pour permettre aux retraités de faire face au coût élevé de la vie ». Toutes choses qui passent, selon les compagnons de Mamadou Diouf, par le renouvellement des organes délibérants de l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal dont le mandat est arrivé à terme et le fonctionnement régulier des mécanismes de prise de décision.
Fort de ce constat, la Csa a vivement exprimé « son désaccord avec toute forme de consultation à domicile, tant à l’Ipres qu’à la Caisse de Sécurité Sociale ». Pour le cartel, « aucune urgence ne saurait justifier en effet la prise de décisions aussi importantes en dehors des instances de décision et les représentants des travailleurs ont le devoir impérieux de veiller à la stricte régularité de toutes les opérations de gestion ».
Enfin, tout en réaffirmant à l’issue de la réunion du secrétariat du Bureau confédéral sa solidarité avec ses partenaires de l’Intersyndicale des Centrales comme son ouverture à toute organisation syndicale ou cadre unitaire déterminé à se battre pour l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleuses et travailleurs, la Csa a appelé à la mobilisation pour la défense sans failles des intérêts des populations.
A ce niveau d’ailleurs, la CSA s’est dit solidaire de « toutes les initiatives prises par la population pour lutter contre la cherté de la vie et le coût excessif de l’électricité qui soumettent les Sénégalais à rude épreuve au moment où l’Etat maintient son train de vie dispendieux ».
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