Celle qui a ouvert un centre de danse, il y a trois ans, dans la région de Dakar, dit débuter sa carrière de chanteuse, tout en restant danseuse.
“J'ai toujours lié la danse à la chanson. C'est en réalité une suite logique. Je sais qu'à un certain âge, on ne peut plus bouger comme avant", a-t-elle déclaré.
Par ailleurs, elle souhaite accompagner les pouvoirs publics à l'édification d'une véritable école de danse au Sénégal pour éviter les dérives constatées dans certains clips “obscènes“ qui passent à la télévision.
Mais son principal objectif, à travers cet album de huit titres, est “d'amasser beaucoup d'argent pour venir en aide aux enfants en situation difficile, aux enfants de la rue notamment".
"Je suis entrée en musique pour aider les enfants en difficulté", a martelé Seynabou Diop.
"Mon disque parle des enfants de la rue, de la fuite des adultes devant ce fléau, de la méchanceté, de la haine, de la jalousie, du manque de savoir-vivre entre êtres humains", a-t-elle ajouté.
Née à Grand Bassam en Côte Ivoire, celle qu'on surnomme “Nabou“ était danseuse, choriste chorégraphe et directrice de ballet.
Elle était partie en France pour des études, qu'elle va interrompre pour intégrer les “Touré Kunda" en 1983.
En 1987, l'ancienne sociétaire du ballet “Lemba" sort un 45 tours intitulé “Bamboula", avant de quitter les “Touré Kunda" en 1991.
Elle profite de son retour au Sénégal en 2007 pour rencontrer beaucoup d'artistes sénégalais et étrangers avant de croiser le producteur et de réaliser l'album “Aduna".
Dakar - 30/12/2008
Pana
“J'ai toujours lié la danse à la chanson. C'est en réalité une suite logique. Je sais qu'à un certain âge, on ne peut plus bouger comme avant", a-t-elle déclaré.
Par ailleurs, elle souhaite accompagner les pouvoirs publics à l'édification d'une véritable école de danse au Sénégal pour éviter les dérives constatées dans certains clips “obscènes“ qui passent à la télévision.
Mais son principal objectif, à travers cet album de huit titres, est “d'amasser beaucoup d'argent pour venir en aide aux enfants en situation difficile, aux enfants de la rue notamment".
"Je suis entrée en musique pour aider les enfants en difficulté", a martelé Seynabou Diop.
"Mon disque parle des enfants de la rue, de la fuite des adultes devant ce fléau, de la méchanceté, de la haine, de la jalousie, du manque de savoir-vivre entre êtres humains", a-t-elle ajouté.
Née à Grand Bassam en Côte Ivoire, celle qu'on surnomme “Nabou“ était danseuse, choriste chorégraphe et directrice de ballet.
Elle était partie en France pour des études, qu'elle va interrompre pour intégrer les “Touré Kunda" en 1983.
En 1987, l'ancienne sociétaire du ballet “Lemba" sort un 45 tours intitulé “Bamboula", avant de quitter les “Touré Kunda" en 1991.
Elle profite de son retour au Sénégal en 2007 pour rencontrer beaucoup d'artistes sénégalais et étrangers avant de croiser le producteur et de réaliser l'album “Aduna".
Dakar - 30/12/2008
Pana