Ces temps-ci, le Sénégal est conforté à des enjeux et défis sécuritaires comme les menaces terroristes, les enlèvements d’enfants, les manifestations politiques non autorisées, les actes de vandalisme, les troubles à l’ordre public, les enlèvements d’enfants, etc…
Malheureusement, la Police nationale a du mal à accomplir toutes ses missions sécuritaires puisqu’elle souffre d’un déficit criard en effectifs. Justement, pour combler ce déficit, la Direction générale de la Police nationale vient de lancer un avis de recrutement de masse.
A cet effet, 1000 policier-auxiliaires seront recrutés et destinés à servir exclusivement le Groupement Mobile d’intervention (GMI). Attention, seuls les militaires libérés de l’Armée à partir de l’année 2015 et âgés entre 21 et 27 ans, sont concernés par ce recrutement dont le dépôt des dossiers a démarré depuis le 9 avril dernier. Et si la Police a porté son choix sur les soldats libérés, c’est parce que ces derniers ont déjà subi une solide formation militaire du genre « pied ferme, garde à vous, repos, demi et quart de tour, présentez les armes, etc.).
Des militaires habitués à obéir sans récrimination ni murmure. Vous voyez ! Ces futurs policiers auxiliaires vont faciliter la tâche aux instructeurs de l’Ecole de Police. Et de fait, ils ne subiront qu’une courte formation en matière de sécurité publique et de maintien de l’ordre. Ensuite, place aux jets de grenades lacrymogènes !
Le Témoin
Malheureusement, la Police nationale a du mal à accomplir toutes ses missions sécuritaires puisqu’elle souffre d’un déficit criard en effectifs. Justement, pour combler ce déficit, la Direction générale de la Police nationale vient de lancer un avis de recrutement de masse.
A cet effet, 1000 policier-auxiliaires seront recrutés et destinés à servir exclusivement le Groupement Mobile d’intervention (GMI). Attention, seuls les militaires libérés de l’Armée à partir de l’année 2015 et âgés entre 21 et 27 ans, sont concernés par ce recrutement dont le dépôt des dossiers a démarré depuis le 9 avril dernier. Et si la Police a porté son choix sur les soldats libérés, c’est parce que ces derniers ont déjà subi une solide formation militaire du genre « pied ferme, garde à vous, repos, demi et quart de tour, présentez les armes, etc.).
Des militaires habitués à obéir sans récrimination ni murmure. Vous voyez ! Ces futurs policiers auxiliaires vont faciliter la tâche aux instructeurs de l’Ecole de Police. Et de fait, ils ne subiront qu’une courte formation en matière de sécurité publique et de maintien de l’ordre. Ensuite, place aux jets de grenades lacrymogènes !
Le Témoin