Les entreprises membres du Restic s’opposent à toute intention de déployer et d’exploiter par une agence de l’état un réseau mobile ouvert, usant d’une autre technologie ou standard différent du GSM. Dans un communique daté de ce 25 août parvenu à notre Rédaction, le Restic juge que « les réseaux GSM, contrairement aux réseaux CDMA (Code Digital Multiple Access) ou TDMA (Time Digital Multiple Access) sont fiables, accommodants à de multiples applications et terminaux ». Aussi, cette organisation pense que « les réseaux GSM permettent à nos pays de réaliser des économies d’échelles substantielles dans leurs installations et leurs maintenances ».
Le Rassemblement des entreprises du secteur des Tic, dans le même document, rappelle que les missions et prérogatives de l’Agence de l’informatique de l’État (Adie) sont explicitement bien définies par le décret n°2004D 564 du 26 avril 2004. En effet, fait remarquer le Restic, « l’agence ne peut se muer ou se transformer en opérateur de téléphonie ou en Société de service d’ingénierie informatique (Ssii) ».
Cette organisation regroupant les entreprises spécialisées en Tic rappelle, par ailleurs, que « l’Adie est implicitement soumise au principe intransigeant de neutralité technologique absolue conformément à sa mission qui consiste à mutualiser les ressources de l’Etat en vue de rationaliser les dépenses informatiques ». Entre autres prérogatives de l’Adie, le Restic a également énuméré « l’harmonisation des choix technologiques des différents services de l’administration pour faciliter les échanges de données et le partage des applications transversales. »
Le Rassemblement des entreprises du secteur des Tic, dans le même document, rappelle que les missions et prérogatives de l’Agence de l’informatique de l’État (Adie) sont explicitement bien définies par le décret n°2004D 564 du 26 avril 2004. En effet, fait remarquer le Restic, « l’agence ne peut se muer ou se transformer en opérateur de téléphonie ou en Société de service d’ingénierie informatique (Ssii) ».
Cette organisation regroupant les entreprises spécialisées en Tic rappelle, par ailleurs, que « l’Adie est implicitement soumise au principe intransigeant de neutralité technologique absolue conformément à sa mission qui consiste à mutualiser les ressources de l’Etat en vue de rationaliser les dépenses informatiques ». Entre autres prérogatives de l’Adie, le Restic a également énuméré « l’harmonisation des choix technologiques des différents services de l’administration pour faciliter les échanges de données et le partage des applications transversales. »