
Une source proche du ministre de la Justice informe, dans les colonnes de L’Observateur, que c’est par respect des clauses des négociations sur les transactions que les noms des sociétés qui ont transigé, dans le cadre de la traque des biens mal acquis, n’ont pas été pas publiés. « Il a été retenu que les noms des partenaires et sociétés ne seraient pas publiés ». Cette personne, qui a préféré garder l’anonymat, reconnaît dans le journal, les maladresses de sa patronne. « C’est vrai ! On reconnaît que ce n’était pas au ministre de dire si les fonds seront affectés à telle structure ou telle autre, mais comprenez que c’est juste une proposition. On sait que c’est l’Assemblée nationale par le biais d’une loi des finances rectificative qui doit procéder à l’affectation de l’argent. Un projet sera envoyé à l’Assemblée nationale qui décidera de cela, mais je suis presque sûr qu’elle suivra la proposition du ministre ».