Selon Libération, la Saison II des Panama Papers révèle que le parquet national financier a ouvert une enquête pour blanchiment de fraude fiscale contre I'actrice française Isabelle Adjani. L'enquête confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) s'intéresse au montage, par l'actrice, d'une société immatriculée en juillet 2014 dans les îles Vierges britanniques, Deckert Investments Limited.
Mais en épluchant les comptes de la star, les policiers sont tombés sur un prêt dont ils tentent de percer le mystère puisque l'auteur du virement n'est autre que Diagna Ndiaye.
Comme le confirme L'Express : «Isabelle Adjani a dû révéler (face aux policiers) qu'elle avait signé, le 4 février 2013, un contrat de prêt avec Diagna Ndiaye. Selon le document consulté par L'Express, ce contrat réalisé «dans un cadre amical» et «dans un souci de confort financier de Mademoiselle Isabelle Adjani» matérialise un prêt sur dix ans de 2 millions d'euros, sans intérêts, payable au plus tard à l'échéance du 31 décembre 2022.
La transaction a été enregistrée par le prêteur au service des impôts des particuliers non résidents «le 1er mars 2013 sous le bordereau 2013/60», précise son avocat. «Ce prêt est donc parfaitement connu du fisc, qui en détient un exemplaire dans ses fichiers».
Selon le conseil de la star, la somme n'avait pas à être déclarée dans ses revenus: «Dans l'hypothèse où le prêt procure des revenus, ces derniers sont à déclarer. Dans le cas inverse, si le prêt n'alimente pas de revenus, il n'y a pas de déclaration de revenus proprement dite à remplir. Ce prêt amical ne procure pas de revenus».
A-t-il été néanmoins déclaré formellement via le formulaire 2062 des impôts ? Par le prêteur ou par Adjani ? Le déterminer est l'un des enjeux de l'enquête préliminaire et il se pourrait que Diagna Ndiaye soit entendu au moins, comme témoin, dans un premier temps. Sollicité à son bureau, à Dakar, par téléphone et par mail par L'Express, l'ami de la star n'a pas souhaité faire de commentaire.
Mais en épluchant les comptes de la star, les policiers sont tombés sur un prêt dont ils tentent de percer le mystère puisque l'auteur du virement n'est autre que Diagna Ndiaye.
Comme le confirme L'Express : «Isabelle Adjani a dû révéler (face aux policiers) qu'elle avait signé, le 4 février 2013, un contrat de prêt avec Diagna Ndiaye. Selon le document consulté par L'Express, ce contrat réalisé «dans un cadre amical» et «dans un souci de confort financier de Mademoiselle Isabelle Adjani» matérialise un prêt sur dix ans de 2 millions d'euros, sans intérêts, payable au plus tard à l'échéance du 31 décembre 2022.
La transaction a été enregistrée par le prêteur au service des impôts des particuliers non résidents «le 1er mars 2013 sous le bordereau 2013/60», précise son avocat. «Ce prêt est donc parfaitement connu du fisc, qui en détient un exemplaire dans ses fichiers».
Selon le conseil de la star, la somme n'avait pas à être déclarée dans ses revenus: «Dans l'hypothèse où le prêt procure des revenus, ces derniers sont à déclarer. Dans le cas inverse, si le prêt n'alimente pas de revenus, il n'y a pas de déclaration de revenus proprement dite à remplir. Ce prêt amical ne procure pas de revenus».
A-t-il été néanmoins déclaré formellement via le formulaire 2062 des impôts ? Par le prêteur ou par Adjani ? Le déterminer est l'un des enjeux de l'enquête préliminaire et il se pourrait que Diagna Ndiaye soit entendu au moins, comme témoin, dans un premier temps. Sollicité à son bureau, à Dakar, par téléphone et par mail par L'Express, l'ami de la star n'a pas souhaité faire de commentaire.