Le Sénégal a franchi de nombreux pas dans la lutte contre la corruption, néanmoins des efforts restent encore à faire. C’est du moins l’avis de l’Ambassadrice des Etats-Unis au Sénégal. Mme Marcia Bernicat l’a déclaré lors de l’inauguration du bureau d’IBM Sénégal. En effet, même si elle salue la volonté de l’Etat sénégalais à éradiquer la corruption, il n’en demeure pas moins qu’elle estime que des progrès sont encore attendus.
« Le Sénégal se comporte bien, mais il y a encore du chemin à faire », dit-elle. En fait, s’il est important de lutter contre ce fléau, c’est surtout à cause de l’inquiétude qu’elle suscite chez les investisseurs qui sont sur place. « Même les investisseurs sur place sont inquiets. Aussi, ça peut aboutir à plomber la croissance économique », estime-t-elle.
Revenant sur les raisons du retour d’IBM au Sénégal, Madame l’Ambassadrice estime que c’est une preuve de la bonne santé des relations entre les deux pays. « Le retour d’IBM permettra au Sénégal de poursuivre ses efforts », espère-t-elle. Non sans lancer un appel au gouvernement sénégalais à intégrer le secteur privé dans ce type de projet.
Abondant dans le même sens, le ministre de la Communication dira que ce retour entre en droite ligne avec la volonté du Chef de l’Etat de réduire la fracture numérique.
Quid l’appel de l’Ambassadeur à accentuer la lutte contre la corruption ? M. Mamba Guirassy reconnait que des efforts doivent encore être faits. « Mais il ne faudrait pas perdre de vue que le Sénégal a beaucoup lutté contre la corruption », déclare le ministre. Ainsi, il tend ses bras à IBM. Selon M. Guirassy, il ne faut pas que ses activités se limitent à Dakar. « Nous avons besoin de vous à l’intérieur du pays, c’est là qu’il y a encore du chemin à faire », lance-t-il au patron d’IBM.
Un appel qui ne semble pas tomber dans l’oreille d’un sourd. Pour Mamadou Ndiaye, directeur général d’IBM Sénégal, la boîte a pour ambition de faire beaucoup, même avec peu de moyens. « Cette filiale permettra de fournir des services à hautes utilités en améliorant la situation des consommateurs des Sénégalais », promet-il.
« Le Sénégal se comporte bien, mais il y a encore du chemin à faire », dit-elle. En fait, s’il est important de lutter contre ce fléau, c’est surtout à cause de l’inquiétude qu’elle suscite chez les investisseurs qui sont sur place. « Même les investisseurs sur place sont inquiets. Aussi, ça peut aboutir à plomber la croissance économique », estime-t-elle.
Revenant sur les raisons du retour d’IBM au Sénégal, Madame l’Ambassadrice estime que c’est une preuve de la bonne santé des relations entre les deux pays. « Le retour d’IBM permettra au Sénégal de poursuivre ses efforts », espère-t-elle. Non sans lancer un appel au gouvernement sénégalais à intégrer le secteur privé dans ce type de projet.
Abondant dans le même sens, le ministre de la Communication dira que ce retour entre en droite ligne avec la volonté du Chef de l’Etat de réduire la fracture numérique.
Quid l’appel de l’Ambassadeur à accentuer la lutte contre la corruption ? M. Mamba Guirassy reconnait que des efforts doivent encore être faits. « Mais il ne faudrait pas perdre de vue que le Sénégal a beaucoup lutté contre la corruption », déclare le ministre. Ainsi, il tend ses bras à IBM. Selon M. Guirassy, il ne faut pas que ses activités se limitent à Dakar. « Nous avons besoin de vous à l’intérieur du pays, c’est là qu’il y a encore du chemin à faire », lance-t-il au patron d’IBM.
Un appel qui ne semble pas tomber dans l’oreille d’un sourd. Pour Mamadou Ndiaye, directeur général d’IBM Sénégal, la boîte a pour ambition de faire beaucoup, même avec peu de moyens. « Cette filiale permettra de fournir des services à hautes utilités en améliorant la situation des consommateurs des Sénégalais », promet-il.