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Les Républicains : la bataille de succession a déjà commencé ! ( Alioune Ndao Fall )

Qui cherche à remplacer le Président Macky Sall ? A peine six mois au pouvoir certaines pontes de l’Apr s’activent comme des bûcherons pour la conquête du parti, pour ne pas dire la conquête du pouvoir absolu. Ils ont jeté leur dévolu sur les Républicains de la Diaspora. En son temps j’ai eu à dire à l’ancien Ministre des Sénégalais de l’extérieur Sada Ndiaye « qu’il était sur un champs de mines». Aussi à mes camarades Ministres de la République, j’averti que la diaspora reste et restera le pré carré du Président Macky Sall. La Diaspora ne peut oublier ces propos tenus par Macky Sall «qu’il faille me renier pour survivre je dis non» un soir du 17 janvier 2009 à Mantes la Jolie en France. Cette diaspora ne connaît que Macky Sall et ne s’est engagée que pour Macky Sall, et pour le Sénégal.


Rédigé par leral.net le Mardi 9 Octobre 2012 à 03:05 | | 2 commentaire(s)|

Les Républicains : la bataille de succession a déjà commencé !  ( Alioune Ndao Fall )
L’objet de cette contribution n’est guère de tirer à boulet rouges sur des camarades de parti mais tout simplement de les rappeler que ce n’est ni le moment, ni leur mission en tant que Ministre de la République. Les sénégalais de l’extérieur sont les seuls à avoir plébiscité Macky Sall dès le premier tour. Ce plébiscite est fondé sur l’espoir d’être enfin associé à la prise de décisions les concernant et cet espoir est d’autant plus légitime que Macky Sall dans son programme dès la création de l’Apr considère la diaspora comme la «quinzième région du Sénégal». Aujourd’hui, ces vaillants citoyens attendent du gouvernement et de leurs Ministres de la République, une politique volontariste et courageuse pour améliorer leur condition. C'est-à-dire une nouvelle politique de gestion et d’administration des sénégalais de l’extérieur comme le dit si bien notre camarade Malick Sakho de Bergamo (Italie). « Le gouvernement de rupture tant rêvé et théorisé par Macky Sall et les Républicains doit rompre avec certaines vieilles pratiques de leurs prédécesseurs qui consistaient à débattre des problèmes des émigrés sans ces derniers… Etant donné que la diaspora dans son ensemble est une ramification de la société sénégalaise, il reste une obligation pour tout pouvoir de tenir en compte et en considération les aspirations de ces braves gens qui ont choisi d’aller hors du Sénégal pour participer au rayonnement du Sénégal. Nous restons convaincus que l’une des missions régaliennes de l’Etat est de veiller sur le bien-être de ses fils sans exclusive et où qu’ils soient.»

Il est vrai que les hommes politiques sénégalais ne finiront jamais de surprendre le monde, mais tout de même, nous autres Républicains, compagnons du Présidents Macky Sall, nous devons être conséquents afin que la parole politique et l’action politique soient respectées et considérées. D’autant plus qu’en tant que proches collaborateurs du Président Macky Sall, nous sommes conscients des défis à relever pour le président élu. Et dans cinq ans ce sera Macky Sall seul qui fera face à la nation sénégalaise pour rendre compte de sa gestion mais non un quelconque ministre fût-il un ministre républicain.

Nul ne doit oublier qu’au terme de deux batailles électorales que vient de vivre le pays, le choix des électrices et des électeurs est clair : tourner la page de la politique de Abdoulaye Wade. Après douze ans de libéralisme, et une présidence Wadiste brutale et cynique au service exclusif des puissances d'argent, le peuple du Sénégal s'est libéré d'un pouvoir qui l'a méprisé et agressé pendant douze longues années. Avec l'élection du Président Macky Sall et d'une majorité à l'Assemblée nationale pour gouverner, c'est bien une nouvelle période politique qui commence. Celles et ceux qui ont voulu ces victoires ont repris espoir et souhaitent maintenant qu'elles répondent à leurs attentes, que leurs vies changent, que le pays se donne les moyens de sortir de la crise. C'est à partir de ces attentes que doit être pensée notre engagement à venir et non, par des postures inavouées de candidat à la candidature.
Le premier objectif atteint, c'est-à-dire porter notre candidat à la magistrature suprême, pour nous autres Républicains de la Diaspora, il s’agit maintenant d’aider le Président Macky Sall à mettre en chantier son projet de société, sa vision pour un Sénégal en développement «Yonou Yookouté».

Des ambitions politiques, tout militant a le droit d’en avoir, notamment les militants de la Diaspora qui ont fini de prouver la qualité et l’efficacité de leur militantisme. Ils ont démontré à la face du monde leur patriotisme, et malgré cette crise qui sévit partout dan le monde, autour de la candidature de Macky Sall, ils se sont mobilisés pour sauver le Sénégal. Ils ont apporté une nouvelle forme de militantisme de par leur générosité, leur engagement et leur détermination. Non, ces militants républicains ne sont ni manipulables, ni corvéables. On ne doit pas perdre de vue, que parmi ces militants républicains de la diaspora bon nombre d’entre eux ont la capacité intellectuelle, politique, financière pour diriger le parti et demain diriger le Sénégal. D’ailleurs il n’est pas exagéré pour dire que sans l’implication responsable de la diaspora, le Sénégal aura du mal à opérer sa mutation tant attendue. Regardez les pays en développement et ceux en voie de développement (Inde, Ile Maurice, Israël, Chine, Brésil) et les pays du Soleil levant, tous ont été amenés à reconsidérer positivement leur diaspora dans la définition de leur politique générale.

Alioune Ndao Fall
Secrétaire national chargé de la Diaspora Apr.
















( Les News )


1.Posté par Citoyen le 09/10/2012 08:35 | Alerter
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Sauvons nos universités publiques du naufrage.

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.

A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.


Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

2.Posté par FocusActu.Com le 09/10/2012 08:39 | Alerter
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