Le ministère public avait demandé le renvoi, devant le tribunal militaire, des mis en cause, qui appartiennent tous à la Brigade d’intervention polyvalente (BIP). Auparavant, une "mesure conservatoire" sous forme de "déplacement d’office" a été retenue contre les éléments de la Brigade d’intervention polyvalente reconnus coupables de "manquements dans l’exécution de leurs missions" à la suite du match Sénégal-Libéria.
Le Comité pour la défense et la protection des journalistes (CDPJ), ainsi que d’autres organisations comme Amnesty International (AI), ont régulièrement dénoncé les lenteurs de la procédure devant conduire au procès des mis en cause. Mais le gouvernement a récemment souligné que cette affaire "n’a connu aucun retard, ni pour la délivrance des ordres de poursuites par le directeur de la justice militaire ni pour le renvoi, déjà ordonné, des inculpés devant la juridiction de jugement". Il a rappelé, dans un communiqué, que le doyen des juges d’instruction "n’a pu obtenir l’identification des mis en cause qu’au terme d’une délégation judiciaire confiée à la section recherches de la Gendarmerie nationale plus d’une année après sa saisine".
APS
Le Comité pour la défense et la protection des journalistes (CDPJ), ainsi que d’autres organisations comme Amnesty International (AI), ont régulièrement dénoncé les lenteurs de la procédure devant conduire au procès des mis en cause. Mais le gouvernement a récemment souligné que cette affaire "n’a connu aucun retard, ni pour la délivrance des ordres de poursuites par le directeur de la justice militaire ni pour le renvoi, déjà ordonné, des inculpés devant la juridiction de jugement". Il a rappelé, dans un communiqué, que le doyen des juges d’instruction "n’a pu obtenir l’identification des mis en cause qu’au terme d’une délégation judiciaire confiée à la section recherches de la Gendarmerie nationale plus d’une année après sa saisine".
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