La Commission énergie du Conseil national du patronat (Cnp) regrette avec force le retour des délestages. « Les délestages sont devenus les premiers facteurs limitant la croissance car affectant l’entreprise dans toutes ses fonctions. C’est un handicap majeur du point de vue de la productivité, de la compétitivité et de la viabilité de l’entreprise », soutient Amath Amar, de la Commission énergie du Cnp.
A en croire M. Amar, « une entreprise qui évolue dans un environnement énergétique incertain, elle passe d’un programme de tout pour la productivité à un programme de survie ».
La Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) ne dit pas autre chose. Ses appréhensions sont alimentées par le fait que l’économie se relève d’une période post électorale difficile et les délestages qui reviennent ne peuvent qu’en rajouter.
Mor Talla Kane, Directeur exécutif de la Cnes, étale leurs inquiétudes et leurs appréhensions. « Nous ne savons pas comment cette situation va évoluer. Nous espérons évidemment que ça ne connaisse pas les pics de ces dernières années. Nous avons déjà perdu beaucoup de production avec l’agenda politique dont nous venons de sortir. Donc les délestages nous créent beaucoup d’appréhensions ».
Face à la situation, la responsable de la Cnes pense que des mesures urgentes seront prises par les autorités. Mais en attendant, « pour avoir vécu le cauchemar qu’on a eu il y a quelque temps, nous avons ce réflexe de penser à des solutions alternatives qui sont les groupes électrogènes, avec ce que ça constitue comme surcoûts pour la production et baisse de compétitivité », renseigne M. Kane. Et à l’en croire, l’annonce d’une augmentation de prix de l’électricité pour les grands consommateurs ajoutée aux délestages, cela fait un cocktail qui risque d’être très explosif, « qui risque de tirer à la baisse les performances des entreprises ».
Source:NETTALI.NET
A en croire M. Amar, « une entreprise qui évolue dans un environnement énergétique incertain, elle passe d’un programme de tout pour la productivité à un programme de survie ».
La Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) ne dit pas autre chose. Ses appréhensions sont alimentées par le fait que l’économie se relève d’une période post électorale difficile et les délestages qui reviennent ne peuvent qu’en rajouter.
Mor Talla Kane, Directeur exécutif de la Cnes, étale leurs inquiétudes et leurs appréhensions. « Nous ne savons pas comment cette situation va évoluer. Nous espérons évidemment que ça ne connaisse pas les pics de ces dernières années. Nous avons déjà perdu beaucoup de production avec l’agenda politique dont nous venons de sortir. Donc les délestages nous créent beaucoup d’appréhensions ».
Face à la situation, la responsable de la Cnes pense que des mesures urgentes seront prises par les autorités. Mais en attendant, « pour avoir vécu le cauchemar qu’on a eu il y a quelque temps, nous avons ce réflexe de penser à des solutions alternatives qui sont les groupes électrogènes, avec ce que ça constitue comme surcoûts pour la production et baisse de compétitivité », renseigne M. Kane. Et à l’en croire, l’annonce d’une augmentation de prix de l’électricité pour les grands consommateurs ajoutée aux délestages, cela fait un cocktail qui risque d’être très explosif, « qui risque de tirer à la baisse les performances des entreprises ».
Source:NETTALI.NET