Pour ce qui est du Sénégal, la situation politique préélectorale tendue et la controverse sur votre candidature ont dominé les débats.
A cet effet, je me permettrais de vous livrer les propositions suivantes pour juguler les crises qui guettent notre nation. Tout le monde connaît l’affection que j’ai pour vous, Monsieur le Président de la République et vous ne pouvez l’ignorer. Tout le monde sait mon souhait de vous voir sortir par la grande porte. Mais le devoir de vérité est au-dessus des exigences de l’amitié et de l’affection.
C’est fort de cela que, je vous invite, solennellement, à ne pas solliciter un troisième mandat. Et pour cela, il me semble plus sage et bénéfique à la paix sociale de ne même pas attendre la décision du Conseil Constitutionnel. Je vous le dis au nom de la paix et de la stabilité du Sénégal qui me sont précieuses.
Monsieur Le Président de la République, vous méritez d’être honoré au regard de votre parcours et de vos immenses réalisations. Votre image devant l’Histoire ne doit pas être entaché par un combat de trop.
Je vous invite, à nouveau, solennellement, à ne pas se représenter aux élections présidentielles de 2012.
Pour l’Afrique et le monde, notre continent a connu durant ce dernier semestre des bouleversements politico-militaires comme en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Egypte, en Libye, etc., qui montrent que le règne des potentats locaux n’est plus possible dans un contexte de mondialisation où la communication et l’information sont les maîtres-mots d’une génération en quête perpétuelle de repères.
Le respect des normes républicaines et des règles démocratiques aussi bien que les conventions onusiennes est garant d’une stabilité internationale.
C’est la raison pour laquelle, lorsque d’aucuns ont voulu s’opposer à la volonté des populations qui les avaient élus, la réaction internationale a eu raison de l’entêtement de ces chefs d’Etats qui n’ont pas su apprécier les réalités sociopolitiques d’un monde en mutation. Et je ne souhaiterais pas que vous quitteriez le pouvoir dans ces conditions alors que vous avez beaucoup apporté à la consolidation de la démocratie au Sénégal et en Afrique.
La longévité au pouvoir du Colonel Khadafi, fait qu’il est aujourd’hui dans une situation qui tranche, malheureusement, avec son aura et son apport à la construction de l’Unité africaine. Mais, nul n’ignore que vous êtes l’une des voix les plus autorisées pour demander aux membres du CNT libyen en accord avec l’ONU de faire preuve d’indulgence à son égard pour au moins, ce qu’il a accompli pour la construction du pays et l’unité africaine, et afin que le processus de réconciliation et la reconstruction de la Libye puissent se faire dans les meilleures conditions.
Monsieur Le Président de la République,
Les conditions de vie des Sénégalais se détériorent de jour en jour. Même la jeunesse qui vous avait porté au pouvoir se met à désespérer. Il est de votre devoir de trouver des solutions urgentes au renchérissement de la vie, à la misère qui atteint toutes les couches sociales et d’entendre la voix du peuple.
Le respect des institutions républicaines et de la volonté populaire comme de l’opinion internationale, n’est pas un aveu de compromission, mais plutôt une propédeutique de paix sociale et d’équilibre économique. Votre intelligence des situations, votre expérience de combattant de la liberté et pour la démocratie vous permet d’apprécier cela de la meilleure manière. J’y fais entièrement confiance et ai bon espoir que vous mettiez tous ces acquis au service de l’intérêt supérieur du Sénégal.
Cheikh Ahmadou Kara MBACKE Noreyni
Ambassadeur International de la Paix
Guide Fondateur du PVD – Parti de la Vérité pour le Développement
A cet effet, je me permettrais de vous livrer les propositions suivantes pour juguler les crises qui guettent notre nation. Tout le monde connaît l’affection que j’ai pour vous, Monsieur le Président de la République et vous ne pouvez l’ignorer. Tout le monde sait mon souhait de vous voir sortir par la grande porte. Mais le devoir de vérité est au-dessus des exigences de l’amitié et de l’affection.
C’est fort de cela que, je vous invite, solennellement, à ne pas solliciter un troisième mandat. Et pour cela, il me semble plus sage et bénéfique à la paix sociale de ne même pas attendre la décision du Conseil Constitutionnel. Je vous le dis au nom de la paix et de la stabilité du Sénégal qui me sont précieuses.
Monsieur Le Président de la République, vous méritez d’être honoré au regard de votre parcours et de vos immenses réalisations. Votre image devant l’Histoire ne doit pas être entaché par un combat de trop.
Je vous invite, à nouveau, solennellement, à ne pas se représenter aux élections présidentielles de 2012.
Pour l’Afrique et le monde, notre continent a connu durant ce dernier semestre des bouleversements politico-militaires comme en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Egypte, en Libye, etc., qui montrent que le règne des potentats locaux n’est plus possible dans un contexte de mondialisation où la communication et l’information sont les maîtres-mots d’une génération en quête perpétuelle de repères.
Le respect des normes républicaines et des règles démocratiques aussi bien que les conventions onusiennes est garant d’une stabilité internationale.
C’est la raison pour laquelle, lorsque d’aucuns ont voulu s’opposer à la volonté des populations qui les avaient élus, la réaction internationale a eu raison de l’entêtement de ces chefs d’Etats qui n’ont pas su apprécier les réalités sociopolitiques d’un monde en mutation. Et je ne souhaiterais pas que vous quitteriez le pouvoir dans ces conditions alors que vous avez beaucoup apporté à la consolidation de la démocratie au Sénégal et en Afrique.
La longévité au pouvoir du Colonel Khadafi, fait qu’il est aujourd’hui dans une situation qui tranche, malheureusement, avec son aura et son apport à la construction de l’Unité africaine. Mais, nul n’ignore que vous êtes l’une des voix les plus autorisées pour demander aux membres du CNT libyen en accord avec l’ONU de faire preuve d’indulgence à son égard pour au moins, ce qu’il a accompli pour la construction du pays et l’unité africaine, et afin que le processus de réconciliation et la reconstruction de la Libye puissent se faire dans les meilleures conditions.
Monsieur Le Président de la République,
Les conditions de vie des Sénégalais se détériorent de jour en jour. Même la jeunesse qui vous avait porté au pouvoir se met à désespérer. Il est de votre devoir de trouver des solutions urgentes au renchérissement de la vie, à la misère qui atteint toutes les couches sociales et d’entendre la voix du peuple.
Le respect des institutions républicaines et de la volonté populaire comme de l’opinion internationale, n’est pas un aveu de compromission, mais plutôt une propédeutique de paix sociale et d’équilibre économique. Votre intelligence des situations, votre expérience de combattant de la liberté et pour la démocratie vous permet d’apprécier cela de la meilleure manière. J’y fais entièrement confiance et ai bon espoir que vous mettiez tous ces acquis au service de l’intérêt supérieur du Sénégal.
Cheikh Ahmadou Kara MBACKE Noreyni
Ambassadeur International de la Paix
Guide Fondateur du PVD – Parti de la Vérité pour le Développement