Le journaliste n’aura pas passé deux heures dans les locaux de la Police. Interpellé et menotté par les éléments de sécurité, juste après l’incident qui s’est passée dans la salle où se tenaient les débats sur la presse, le journaliste qui signe une célèbre chronique dans le site seneweb.com, a été libéré. Souleymane Jules Diop expliquera d’ailleurs que c’est pour des raisons de sécurité que la Police l’a embarqué, mais qu’il n’a nullement été inquiété. Aussi, annonce-t-il une plainte contre ses agresseurs.
Selon plusieurs témoignages concordants, Souleymane Jules Diop qui a fait le déplacement depuis le Canada où il vit pour assister à la communication du Président Wade, suivie d’une conférence de presse, a été attaqué par un conseiller du chef de l’Etat vraisemblablement Alioune Diop alors que le journaliste se préparait à interpeller en pleine séance Me Wade. L’ancien conseiller en communication du Premier ministre Idrissa Seck a été ensuite pris à partie par des gardes du corps du chef de l’Etat sénégalais qui l’ont violemment tabassé.
La police de Chicago a dû intervenir pour l’extraire des mains de ses bourreaux qui ont commis la forfaiture devant la presse américaine. Indigné par cet acte de violence les journalistes américains n’ont depuis lors de cesse de critiquer les agissements du régime wadien en ayant une preuve concrète de ses rapports conflictuels avec la presse notamment sénégalaises. Un responsable de CNN, Roland Martin a interpellé le Président Wade pour lui dire que cette agression qui s’est passée devant les journalistes noirs des Etats-Unis était sans doute la preuve que les accusations exprimées par la presse sénégalaise contre le régime libéral n’étaient pas totalement fausses.
Quelques minutes plus tôt, Me Wade accusait les journalistes sportifs sénégalais Boubacar Kambel Dieng de la Radio Futurs Médias (Rfm) et Karamokho Thioune de la West african democracy radio (Wadr), d’avoir provoqué leur bastonnade par des éléments de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip-police). Le chef de l’Etat a expliqué à la presse américaine présente dans la salle de sa conférence que les deux journalistes, menottés et sauvagement battus par des policiers après la victoire fin mai du Sénégal sur le Liberia (3-1) à Dakar, ont voulu « agresser les joueurs ».
Selon plusieurs témoignages concordants, Souleymane Jules Diop qui a fait le déplacement depuis le Canada où il vit pour assister à la communication du Président Wade, suivie d’une conférence de presse, a été attaqué par un conseiller du chef de l’Etat vraisemblablement Alioune Diop alors que le journaliste se préparait à interpeller en pleine séance Me Wade. L’ancien conseiller en communication du Premier ministre Idrissa Seck a été ensuite pris à partie par des gardes du corps du chef de l’Etat sénégalais qui l’ont violemment tabassé.
La police de Chicago a dû intervenir pour l’extraire des mains de ses bourreaux qui ont commis la forfaiture devant la presse américaine. Indigné par cet acte de violence les journalistes américains n’ont depuis lors de cesse de critiquer les agissements du régime wadien en ayant une preuve concrète de ses rapports conflictuels avec la presse notamment sénégalaises. Un responsable de CNN, Roland Martin a interpellé le Président Wade pour lui dire que cette agression qui s’est passée devant les journalistes noirs des Etats-Unis était sans doute la preuve que les accusations exprimées par la presse sénégalaise contre le régime libéral n’étaient pas totalement fausses.
Quelques minutes plus tôt, Me Wade accusait les journalistes sportifs sénégalais Boubacar Kambel Dieng de la Radio Futurs Médias (Rfm) et Karamokho Thioune de la West african democracy radio (Wadr), d’avoir provoqué leur bastonnade par des éléments de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip-police). Le chef de l’Etat a expliqué à la presse américaine présente dans la salle de sa conférence que les deux journalistes, menottés et sauvagement battus par des policiers après la victoire fin mai du Sénégal sur le Liberia (3-1) à Dakar, ont voulu « agresser les joueurs ».