Les Reds, bousculés pendant plus d'une heure, se sont mis sur la route des quarts de finale dans le dernier quart d'heure, grâce à une déviation de la tête de Roberto Firmino (75e) puis une reprise de l'inévitable Mohamed Salah (83e).
Avec ce 8e but de la saison en Ligue des champions, Salah le grand voyageur (buteur lors des huit dernières rencontres des Reds en Ligue des champions), a conforté la septième victoire en sept matches des Reds, cette saison, sur la scène européenne.
L'Inter Milan, pour sa première apparition à ce stade de la Ligue des champions depuis dix ans, a pourtant fait mieux que résister. Elle aurait peut-être même pu faire douter Liverpool et changer le sens de ce match intense, avec un peu de chance, quand Hakan Çalhanoglu a vu sa frappe heurter la barre en début de match.
Pour les Nerazzurri, la tâche s'annonce quasi-impossible le 8 mars à Anfield. Ils pourront se consoler en se disant qu'ils auront été à la hauteur de ce huitième de finale de gala, l'un des deux seuls avec Benfica-Ajax, à opposer deux anciens vainqueurs.
Car Nerazzurri et Reds se sont rendu coup pour coup, lors d'une opposition emballante, avec des duels intenses et un ballon voyageant rapidement d'un but à l'autre, dès les premières minutes.
Avec ce 8e but de la saison en Ligue des champions, Salah le grand voyageur (buteur lors des huit dernières rencontres des Reds en Ligue des champions), a conforté la septième victoire en sept matches des Reds, cette saison, sur la scène européenne.
L'Inter Milan, pour sa première apparition à ce stade de la Ligue des champions depuis dix ans, a pourtant fait mieux que résister. Elle aurait peut-être même pu faire douter Liverpool et changer le sens de ce match intense, avec un peu de chance, quand Hakan Çalhanoglu a vu sa frappe heurter la barre en début de match.
Pour les Nerazzurri, la tâche s'annonce quasi-impossible le 8 mars à Anfield. Ils pourront se consoler en se disant qu'ils auront été à la hauteur de ce huitième de finale de gala, l'un des deux seuls avec Benfica-Ajax, à opposer deux anciens vainqueurs.
Car Nerazzurri et Reds se sont rendu coup pour coup, lors d'une opposition emballante, avec des duels intenses et un ballon voyageant rapidement d'un but à l'autre, dès les premières minutes.
Leçon de réalisme
Outre une grosse frayeur quand la tentative de Çalhanoglu a rebondi sur sa barre (16e), Alisson Becker n'a pas été mécontent d'avoir vu passer à côté de sa cage une tentative de Lautaro Martinez (5e) et une tête de Milan Skriniar (40e).
Arturo Vidal ne s'est pas économisé pour faire oublier Nicolo Barella, le grand absent côté Nerazzurro, suspendu pour la double confrontation contre les Anglais.
Les Reds, où Jürgen Klopp avait joué la carte jeune en titularisant Harvey Elliott, 18 ans, à peine revenu d'une longue blessure (fracture de la cheville), n'ont pas été en reste.
Mais ils ont d'abord manqué le cadre, sur un tir de Thiago Alcantara (9e), une tête puis un retourné de Sadio Mané (14e, 23e) et un coup franc de Trent Alexander-Arnold (29e).
Salah ayant été bien muselé pendant ce premier acte, Jürgen Klopp a rapidement changé de plan en lançant Roberto Firmino dès la reprise, à la place de Diogo Jota.
L'Inter a encore fait illusion pendant vingt minutes, avec notamment un centre brûlant de l'intenable Ivan Perisic (53e). Mais avec de nouveaux changements Liverpool a peu à peu pris l'ascendant et l'Inter a fini par craquer, sur un corner dévié par Firmino, puis sur le ballon repris par Mohamed Salah en renard des surfaces. Comme contre le Real Madrid en phase de poules, l'Inter a pris une leçon de réalisme.
Outre une grosse frayeur quand la tentative de Çalhanoglu a rebondi sur sa barre (16e), Alisson Becker n'a pas été mécontent d'avoir vu passer à côté de sa cage une tentative de Lautaro Martinez (5e) et une tête de Milan Skriniar (40e).
Arturo Vidal ne s'est pas économisé pour faire oublier Nicolo Barella, le grand absent côté Nerazzurro, suspendu pour la double confrontation contre les Anglais.
Les Reds, où Jürgen Klopp avait joué la carte jeune en titularisant Harvey Elliott, 18 ans, à peine revenu d'une longue blessure (fracture de la cheville), n'ont pas été en reste.
Mais ils ont d'abord manqué le cadre, sur un tir de Thiago Alcantara (9e), une tête puis un retourné de Sadio Mané (14e, 23e) et un coup franc de Trent Alexander-Arnold (29e).
Salah ayant été bien muselé pendant ce premier acte, Jürgen Klopp a rapidement changé de plan en lançant Roberto Firmino dès la reprise, à la place de Diogo Jota.
L'Inter a encore fait illusion pendant vingt minutes, avec notamment un centre brûlant de l'intenable Ivan Perisic (53e). Mais avec de nouveaux changements Liverpool a peu à peu pris l'ascendant et l'Inter a fini par craquer, sur un corner dévié par Firmino, puis sur le ballon repris par Mohamed Salah en renard des surfaces. Comme contre le Real Madrid en phase de poules, l'Inter a pris une leçon de réalisme.