Cette nouvelle trouvaille des promoteurs de lutte est le moyen le plus sûr pour saboter la saison de lutte qui s’annonce et prendre les lutteurs en otage. Sous le slogan «Plus de cachets mirobolants au-delà des 75 millions», les promoteurs cachent vraisemblablement leurs problèmes financiers. La situation actuelle qui fait plus aucun promoteur n’est capable de payer certains cachets est la résultante d’une politique menée par Gaston Mbengue, celui là-même qui rue aujourd’hui dans les brancards et qui est à l’origine de ce mouvement, et d’autres grands promoteurs pour arracher les grandes affiches.
Pendant longtemps, les Gaston Mbengue, Luc Nicolaï et autres Alioune Petit Mbaye, ont surenchéri sur la côte des lutteurs et les combats de lutte. L’hypocrisie et l’égoïsme veulent aujourd’hui que les mêmes promoteurs veuillent mettre sur pied un front contre les cachets mirobolants des lutteurs. Selon nos informations, Gaston Mbengue est l’instigateur de ce mouvement frondeur des promoteurs. Une de nos sources de nous dire que le célèbre promoteur sénégalais n’est plus en mesure d’honorer certains de ses contrats avec les sponsors et les banques. Notre source de nous dire que Gaston Mbengue a contracté énormément de dette à cause de la lutte et qu’il voudrait limiter la casse. D’où son option de se coaliser avec les autres promoteurs pour arrêter la flambée des cachets. De fil en aiguille, le patron de Gaston Productions est parvenu à convaincre les autres promoteurs de se rallier à la cause. Le discours de Gaston est simple : «Si nous ne faisons front commun, nous allons disparaitre alors que la lutte va continuer avec d’autres moyens.»
Les jeunes promoteurs, les Aziz Ndiaye, Kandji Productions, Assane Ndiaye et consorts, ont été sensibles à l’appel de Gaston Mbengue puisque y trouvant leur compte. Pourtant, nos sources de nous rappeler qu’il n’y a pas si longtemps la majeur partie de ces promoteurs ne s’entendaient et étaient dans une concurrence farouche pour décrocher les grandes affiches de l’arène. Un seul promoteur, Luc Nicolaï, a refusé le diktat de Gaston Mbengue et semble vouloir payer les mêmes cachets aux lutteurs. Selon nos informations, Luc Nicolaï et Gaston Mbengue, qui ne sont pas les meilleurs amis du monde, essaient chacun de tirer les ficelles de ce jeu de dupes. Pendant ce temps, ils prennent les lutteurs en otage et servent de l’impopularité du Cng pour régler leurs comptes.
Pendant longtemps, les Gaston Mbengue, Luc Nicolaï et autres Alioune Petit Mbaye, ont surenchéri sur la côte des lutteurs et les combats de lutte. L’hypocrisie et l’égoïsme veulent aujourd’hui que les mêmes promoteurs veuillent mettre sur pied un front contre les cachets mirobolants des lutteurs. Selon nos informations, Gaston Mbengue est l’instigateur de ce mouvement frondeur des promoteurs. Une de nos sources de nous dire que le célèbre promoteur sénégalais n’est plus en mesure d’honorer certains de ses contrats avec les sponsors et les banques. Notre source de nous dire que Gaston Mbengue a contracté énormément de dette à cause de la lutte et qu’il voudrait limiter la casse. D’où son option de se coaliser avec les autres promoteurs pour arrêter la flambée des cachets. De fil en aiguille, le patron de Gaston Productions est parvenu à convaincre les autres promoteurs de se rallier à la cause. Le discours de Gaston est simple : «Si nous ne faisons front commun, nous allons disparaitre alors que la lutte va continuer avec d’autres moyens.»
Les jeunes promoteurs, les Aziz Ndiaye, Kandji Productions, Assane Ndiaye et consorts, ont été sensibles à l’appel de Gaston Mbengue puisque y trouvant leur compte. Pourtant, nos sources de nous rappeler qu’il n’y a pas si longtemps la majeur partie de ces promoteurs ne s’entendaient et étaient dans une concurrence farouche pour décrocher les grandes affiches de l’arène. Un seul promoteur, Luc Nicolaï, a refusé le diktat de Gaston Mbengue et semble vouloir payer les mêmes cachets aux lutteurs. Selon nos informations, Luc Nicolaï et Gaston Mbengue, qui ne sont pas les meilleurs amis du monde, essaient chacun de tirer les ficelles de ce jeu de dupes. Pendant ce temps, ils prennent les lutteurs en otage et servent de l’impopularité du Cng pour régler leurs comptes.