Moments forts pour les supporteurs, les « face to face » n’ont qu’un intérêt limité pour le sponsoring comme technique de marketing.
Spécialiste dans le marketing, la communication, la distribution, Issa Ndiaye, ancien directeur commercial de Samsung et directeur général de l’entreprise Impact MTC, ne dit pas autre chose. « Vous proposez à un chef d’entreprise des face to face ou de la visibilité, le jour du combat ; ça ne l’intéresse pas».
S’il reconnaît la lutte comme un bon vecteur de communication, en particulier les grands combats, il reste sceptique quant à la capacité des promoteurs de capitaliser sur ces opportunités.
« Le sponsoring est un métier. Ce n’est pas à radio ou à la télévision qu’on les appelle, les sponsors. Il faut aller les voir et leur faire des propositions qui sont en phase avec leurs objectifs », précise-t-il tout en regrettant un peu le manque de professionnalisme car poursuit-il, « il ne faut pas se mettre dans une position de demandeur ».
« Il m’est arrivé de recevoir une même offre venant de deux promoteurs. Le dernier à me soumettre sa proposition avait oublié d’enlever les notes de bas de page avec le nom du premier promoteur ! » argumente-t-il pour justifier la nécessité pour les promoteurs d’aller vers les gens qui s’y connaissent en matière de sponsoring.
Selon lui, les grandes affiches offrent d’excellentes opportunités de capitaliser sur l’événement puisque pour les grands combats, il se passe quelques mois entre la signature du combat et sa tenue.
Pour ce spécialiste du marketing, la lutte a encore de beaux jours devant elle nonobstant les problèmes de violence qui en ternissent l’image mais qui ne sont pas particuliers à la seule lutte.
« Ma plus grosse campagne a été faite par Samsung avec Balla Gaye 2 et Modou Lô en 2011 avec des ventes extraordinaires », reprend Issa Ndiaye pour qui la recette gagnante serait, des lutteurs qui « vendent » comme Balla Guèye 2, Modou Lô, Siteu, des promoteurs professionnels aux dossiers de sponsoring béton, et… de bons sponsors.
Source sunu lamb
Spécialiste dans le marketing, la communication, la distribution, Issa Ndiaye, ancien directeur commercial de Samsung et directeur général de l’entreprise Impact MTC, ne dit pas autre chose. « Vous proposez à un chef d’entreprise des face to face ou de la visibilité, le jour du combat ; ça ne l’intéresse pas».
S’il reconnaît la lutte comme un bon vecteur de communication, en particulier les grands combats, il reste sceptique quant à la capacité des promoteurs de capitaliser sur ces opportunités.
« Le sponsoring est un métier. Ce n’est pas à radio ou à la télévision qu’on les appelle, les sponsors. Il faut aller les voir et leur faire des propositions qui sont en phase avec leurs objectifs », précise-t-il tout en regrettant un peu le manque de professionnalisme car poursuit-il, « il ne faut pas se mettre dans une position de demandeur ».
« Il m’est arrivé de recevoir une même offre venant de deux promoteurs. Le dernier à me soumettre sa proposition avait oublié d’enlever les notes de bas de page avec le nom du premier promoteur ! » argumente-t-il pour justifier la nécessité pour les promoteurs d’aller vers les gens qui s’y connaissent en matière de sponsoring.
Selon lui, les grandes affiches offrent d’excellentes opportunités de capitaliser sur l’événement puisque pour les grands combats, il se passe quelques mois entre la signature du combat et sa tenue.
Pour ce spécialiste du marketing, la lutte a encore de beaux jours devant elle nonobstant les problèmes de violence qui en ternissent l’image mais qui ne sont pas particuliers à la seule lutte.
« Ma plus grosse campagne a été faite par Samsung avec Balla Gaye 2 et Modou Lô en 2011 avec des ventes extraordinaires », reprend Issa Ndiaye pour qui la recette gagnante serait, des lutteurs qui « vendent » comme Balla Guèye 2, Modou Lô, Siteu, des promoteurs professionnels aux dossiers de sponsoring béton, et… de bons sponsors.
Source sunu lamb